Derniers Avis : Dans Paris - Page 16

je m'attendais à rien de précis, juste un film sympa, et bien c'est raté! .L'ensemble manque de chaleur, on a du mal à rentrer dan le film, car trop verbeux et pédant, le naturel des situations a du mal à émerger. Il y a une certaine esthétique des hommes à poil, et celà, dès la 1ere scène...(racoleur ?). Romain Duris joue encore et tjs le même rôle qui devient lassant : le sale con qui ne connait pas son bonheur, puis la rédemption où il devient humain et se met à parler et à comprendre la vie. On peut y ajouter la scène de la drague (dans le bois), dans le ton verbeux, cabotin, etc...est-ce de l'autoparodie ??? Guy Marchand s'en sort pas mal du tout de son côté, tout en justesse et discrétion. Beaucoup de référence alourdit aussi ce film (nouvelle vague, années 80, ...) Beaucoup de scène qui tombent à plat : chanson au téléphone, romain qui chante faux (prévisible) sur Kim Wilde...Principal intérêt : les beaux yeux de Duris et Garrel, et leur charme certain (pour celles et ceux qui n'ont pas marre de cette répétition inlassable et reste hypnotisé(e)s...mais ça a un côté rassurant...), ce qui fera dire à la plupart que ce film est bien, même génial (comme quand on dit d'un restau qu'il est bien parce que le cadre nous a plu et nous a fait oublier que la cuisine n'avait rien d'extraordinaire)Romain et Louis à poil, c'est pour ça ?...
Et cerise sur le gateau, déjà indigeste : il n'y a pas de fin, hé oui, certains réussissent ça très bien mais là, c'est la première fois que je suis aussi surpris (et heureux finalement) par l'arrivée du générique. A éviter, alleez plutôt voir " quand j'étais chanteur", mais il n'y a pas romain duris...donc il faudra faire un petit effort pour y aller et voir un acteur qui sait jouer des rôles inattendus, sait émouvoir et sait donner de lui même pour que le fim soit tout simplement bon. Bon, allez, une étoile pour Guy Marchand.

le film le plus ennuyeux depuis bien longtemps. Un debut poussif avec des dialogues artificiels.
Un scenario absent

Christophe Honoré se pose en héritier de Godard, Truffaut and co en nous proposant ce long métrage typiquement nouvelle vague : rupture des continuités, facéties de caméra, dialogues intello-loufoques frisant l'imposture, bouffée d'oxygène des esprits libres dans le décorum parisien. Il en résulte un bel exercice de style même s'il n'est en rien novateur, et sur le fond, à consistance variable, Honoré s'en sort grâce à la désinvolture fragile de Louis Garrel et Romain Duris : il se dégage autant de frivolité que de monticules d'humanité.

Par quel prodige un producteur a t il accepté de financer un concept nouvelle vague soixanuitarde en 2006? Garrel est cloné en JP léaud, la réalisation est caricaturale. La prétention de ce film est malheureusement à l'image de ce que produit le cinéma d'auteur Francais: DEs pensums insondables.
J'ai tenu 55 mns et n'en pouvant j'ai quitté la salle. Je tiens particulièrement à remercier la critique dans son ensemble pour ce grand moment de bonheur.

J'ai voulu partir la première demi heure du film tellement je trouvais celà mauvais, mal joué et l'effet théatral tant dans la mise en scène que dans le language horripillant.
L'histoire entre Romain Duris et Alice est chiante comme la mort, en plus stylisé de manière nouvelle vague que je hais de tout mon coeur, genre on fait n'importe quoi c'est à vous de comprendre, les sens cachés.
Ca s'arrange lorsque Romain Duris rentre chez son père. Là à part les batiffollements amoureux stylisés insupportables de Louis Garrel, l'histoire est sympa et bien.
En fait la personne qui sauve tout ce film c'est tout de même Guy Marchand qui est vraiment un excellent acteur.
La critique presse a adoré personnellement j'ai trouvé que le film avait certains moments de grace mais que l'ensemble était tout de même décevant.

Le meilleur film de l'année..

Je ne sors jamais d'une salle avant la fin d'un film. hier je suis sorti au bout de 30mn. Le cinéma français dans tout ce que j'exècre, nombriliste, sale, mal tourné, mal cadré, sous prétexte de restituer une soit disant "ambiance".
Et dites a christophe honoré que les seventies et le trip alter dans le larzac, c'est passé de mode...

un ovni ....le film commence plutôt mal, on se demande comment on va s'interesser à un truc qui est aussi prétentieux dans sa narration. puis le film évolue, et au début pas forcément bien car les scènes se succèdent sans avoir grand intérêt; et curieusement, le film évolue jusqu'à atteindre certaines fois le paroxysme du beau, du simple et del'émotion à l'état pur. dommage pour les détails qui tuent, genre écouter un 45 tours sans l'enlever de la pochette, ou lire un livre à haute voix,sans respecter ce qui réellement écrit dans le livre alors qu'on le visualise, ou encore des étudiants qui se prêtent 3000 euros en 6 mois (ils habitent dans le seizième mais quand même !) . Guy marchand et Romain Duris sont tous les deux épatants, Louis Garrel aussi mais une grande partie de son rôle est assez ininterressant. Marie France Pisier comme d'habitude capable du pire comme du meilleur,Bref, de très bons moments, mais un film trop inégal pour en faire un chef d'oeuvre.

"Nouvelle Vague", du cinema francais? si tel est le cas, c'est accablant... comment des soit disant professionnels du cinema peuvent-ils en toute bonne conscience encenser un film ou le scenario, les dialogues et le jeu des acteurs sont profondement mauvais. Les acteurs sont excuses car on imagine la difficulte de faire vivre des dialogues si peu credibles. Par contre, le realisateur n'a aucune excuse. Il nous prouve avec ce film qu'il s'est trompe de carriere mais qu'il est aussi narcissique (mais que font ses parents et ses amis!). Et que dire de la personne qui a fait le cheque? On imagine pouvoir l'excuser en se disant qu'elle avait certainement mieux a faire que de lire le scenario...

Film sur la dépression qui mêle gravité et humour. Les dialogues sont excellents et les personnages attachants. Quant à l’interprétation elle est impeccable. Rien d’étonnant au vu du casting (Romain Duris, l’énorme Guy Marchand…). Et la bande son est au diapason du reste (jazz, rock et… Kim Wilde). A voir.

Prenez une famille ordinairement mélancolique, les parents séparés, un deuil encore récent, des relations particulières entre deux frères... bref du bonheur pour un scénariste inspiré.
Mais ici, il y a tant d’efforts pour briser l’émotion potentielle, que le réalisateur parvient (avec l’aide, il faut bien le dire, de dialogues littéraires tout à fait irritants), à nous désintéresser de ses personnages.
Pourtant, beaucoup de qualités émergent : une incontestable profondeur de l’analyse des traumatismes familiaux, un Guy Marchand énorme et faisant passer l’émotion malgré le texte, des idées de mise en scène vraiment originales.
Mais l’ensemble laisse une impression bien lourde, ampoulée, gavée de références dont on se passerait bien.
À côté de quelques jolies scènes, on le droit à des séquences complètement fabriquées, artificielles, où l’on se dit que tout cela est bien long.

Ben, comment dire ? D'habitude j'adore les films intimistes, lents et atypiques... Mais là je suis sorti avant la fin car je mourais d'ennui. Le film n'est qu'une suite de clichés pseudo nouvelle vaguienne sans consistance. Les dialogues sont totalement creux et ne portent aucune émotion à part un malaise chronique qui semble être l'unique message que le film ait pour ambition de transmettre. Il y a de scènes carrément anthologiquement nulles comme les 3 minutes pendant lesquelles Joana Preiss se dandine les seins nus avec une grâce quasi éléphantesque devant un Romain Duris en pamoison et celle où Romain Duris et encore Joana Preiss se chantent, tout à coup, et de préférence faux, une chanson à faire tomber la pluie... En bref, encore une tartine de branlette psycho-bourgeoise navrante. Fortement déconseillé...

Après une première partie irritante qui évoque "17 fois Cécile Cassart", le premier film intello-chiant d'Honoré, le film trouve sa voie dans un hommage assez appuyé de la Nouvelle Vague. Citant Truffaut, Godard ou encore Rohmer, le cinéaste trouve une liberté de ton qui donne un grand coup de frais sur son film jusqu'alors très dépressif. Le duo Romain Duris - Louis Garrel fonctionne à merveille, tandis que Guy Marchand est irrésistible en père complètement dépassé par les événements. Au final, on rit souvent en compagnie de cette famille de branques, et on arrive à être ému dans une séquence intimiste sous forme de comédie musicale. Un film finalement léger et très sympathique.

Très bon film. Une histoire simple, bien traitée, avec de bons acteurs. Un paris aperçu autrement...

j'ai été tres agréablement surpris... quel festival de bon moments... il etait temps pour le cinema francais. merci.