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Un visiteur
5,0
Publiée le 24 août 2007
Super film, les amateurs de comédie aimeront...Avec une Hande Kodja que je ne connaissais pas ( trop belle ) dans un grand rôle, jéspère la revoir . Bon film !
road movie sans intéret... deux poufs vetu comme des pouilleuses qui voudraient vendre leur corps (pas cher !) qui vadrouillent sans but et sans penser !... C'est ennuyeux et navrant.
On sent très bien que ce film a un bon fond, que les actrices veulent emmener le film vers quelque chose de différent. Mais il manque un truc dans cette descente aux enfers. Peut être des images plus choquantes, plus provoquantes. Toujours est-il que le film a le mérite d'exister et de faire découvrir 2 actrices pleines de talents.
Vous appelez ça un film ? j'appelle ça un medley des pires clichés qui puissent exister dans un film d'"actrices". D'abord on choisit deux morues à moitié à poil (une sans sous-tif sous son haut de satin... SIC!!! et l'autre avec une mini-jupe et un décolleté pas possible) on les fait courir perchées sur des talons aiguilles (ben oui quoi, c'est plus glam, non ?) avec si possible vue plongeante sur les décolletés et surtout pour bien coller à l'image on les entraine dans un voyage sans aucun sens ni but en les affublant pour finir d'un qi d'huitre. Génial ! Pour ceux qui disent que cette "oeuvre" leur fait penser aux grands films des années 70 pleins de bruit de fureur et de révolution moi je ne vois que le reflet exact de notre société bien contemporaine c'est à dire le corps avant tout et l'ode à la fatuité et la glande. Belle image pour la nouvelle génération !
Ne surtout pas se laisser décourager par l'aura de film d'auteur pompeux que dégage l'affiche de MEURTRIERES : sous ces oripeaux se cache une très belle histoire d'amitié (ou plutôt d'amour , mais ce n'est jamais dit ouvertement) , portée par une réalisation juste et deux actrices sidérantes. Alors oui , le message est parfois un peu lourd à avaler (les hommes sont fondamentalement mauvais) mais l'intérêt est vraiment ailleurs , MEURTRIERES étant avant tout une magnifique ballade au quatre coins de la France. Pendant 1h45 , je n'étais plus dans la salle , mais avec elles , en train de suivre leurs déambulations fascinantes. Pour une fois qu'un film d'auteur français ne repose pas à 60% sur ses dialogues , on ne va pas se plaindre. Une excellente surprise.
Comment meubler 1h40 de long (très long) métrage quand on na pas de scénario ? Première astuce, on commence par passer la scène de la fin une première fois au debut. Cela renforce le coté inéluctable de la conclusion, et cest toujours 3 minutes de gagnées. Présentation des personnages. Nina est triste parce que son papa et sa maman sont morts. Résultat, elle fait la gueule pendant la première demi-heure de film. A lissue de laquelle on nous parachute une crise de prostration qui lenvoie à lhôpital psychiatrique. Là elle rencontre Lizzy, internée après une tentative de suicide. Les scènes à lhôpital nous offrent les rares bons moments du film. Ensuite les deux complices senfuient, et on va suivre leurs interminables et soporifiques pérégrinations en quête dune douche puis dun sandwich. Déprimante succession de rencontres de personnages sans interet, aussi antipathiques que les deux héroïnes. Le spectateur, lui, se demande lequel va enfin recevoir le coup de couteau tant attendu qui mettra fin au film. Les deux actrices sont excellentes (letoile est pour elles) mais leur talent ne remplace pas un scénario. A éviter.
Tout d'abord, ce film bénéficie d'un excellent casting avec les deux magnifiques révélations que sont Hande Kodja et Céline Sallette. Ce road movie/thriller psychologique traite bien la descente aux enfers de ces deux jeunes femmes et la quasi-impossibilité de s'en sortir lorsque l'on se retrouve dans le genre de situation à laquelle elles doivent faire face. Cependant, j'ai trouvé le début de ce film relativement confus et un peu long, ce qui m'a empêché d'appréhender correctement la suite de cette oeuvre.
Deux jeunes filles qui vivent des desillusions se rencontrent dans un HP. Ensembles, elles vont faire le mur et vivre une escapade. Commence alors un road moviequi va les marginaliser un peu plus. L'interprétation n'est pas toujours très convaincante notamment Alexis (Gianni Giardinelli, dommage, c'est un beau gars), mais les deux actrices donnent réellement vie à leur personnage. Ce film a aussi une vocation sociale. En effet, se focalisant sur le fait que ces jeunes filles sont souvent prises en tant qu'objets sexuels, Grandperret met en évidence le cercle vicieux qui les enferme dans cette position. Elles (les deux héroïnes) vont prendre conscience de cette condition tout en tentant de retrouver leur route. Un beau film que Catherine Breillat n'aurait pas renier!
je ne sais pas vraiment comment prendre ce film. il n'est en effet pas courant du tout de voir un tel objet dans les salles aujourd'hui. le film n'est pas tellement d'actualité. et pourtant, il parle surtout de la vie d'aujourd'hui. Grandperret parvient, par une mise en scène discrète, à montrer comment faire des images aujourd'ui. Plus question de faire du grand cinéma ou la série B, juste un film avec de belles réussites d'acteurs, des moments forts et fins, de la vie. J'aimerais en voir plus.
Le film est assez étonnant. S'il est vrai le film s'enlise un brin vers la moitié, c'est vrai aussi que c'est le film d'une descente, de la perte de moyens de ces deux filles, et le fait qu'il prenne son temps est entièrement justifié. Surtout par la fin, on la redoute durant le film, on les voit qui s'en rapprochent, qui s'égarent, on a peur, et ça arrive. C'est une histoire vraie et c'est vraiment édifiant.
une beau film. Beaucoup de moments légers, dans le meilleur sens du terme. Actrices brillantes, comme le cinéma français a oublié de les montrer. Beaucoup de beauté aussi, en dehors du "drame social", c'est avant la vie du monde que montre Patrick Grandperret. Avec une grande justesse et un esprit vif, comme l'air qui souffle dans les paysages de Vendée dans le film.