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    Très bien, merci
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    161 critiques spectateurs

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    fboss
    fboss

    4 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2007
    Documentaire ou fiction ? Ayant hélas des proches qui ont été confrontés à des événement similaires à ceux vécus par Alex, il semblerait malheureusement que la 1ère hypothèse soit la bonne. Je ne parle pas là du conflit avec les policiers (mais la vérité, par expérience, ne doit pas en être très éloignée), mais plutôt de la descente aux enfers d'une personne qui perd pied et doit être placée dans ce que j'appellerai par pudeur une maison de repos. D'après les descriptions qui m'en ont été faites, il semblerait que l'univers décrit ici est très crédible. Les personnages de cet hôpital peuvent paraitre très caricaturaux, mais la réalité est encore plus dure.
    Gilbert Melki transmet bien les émotions de cet homme qui en vient quasiment à accepter "sa folie", et Sandrine Kiberlain est très bien en épouse dévouée qui veut sauver son mari.
    Peut-être une invraisemblance lorsque Béatrice signe sans le lire le document fatal à son époux, mais pourquoi pas ?
    En conclusion, un très bon film porté par de très bons acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 mai 2007
    Très bien interprété, "Très bien merci" pêche par l'excès des situations dans lesquelles Mekki se trouve plongé.
    Dommage que ce scénario qui aurait tant gagné à être une critique lucide de la société actuelle s'emmêle dans cette vision manichéenne : Un Mekki trop bon mais surtout trop con pour essayer de se défendre et le reste du monde policiers, monde médical, employeur inhumains.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 mai 2007
    Melki demontre une fois de plus qu'il n'est pas un bon comédien. L'histoire est peu crédible même si on voit bien que la réalisatrice hésite entre realisme et ambiance kafkaienne. Comme le demande Kiberlain à la psy:"on vous recrute où?" Effectivement , je n'ai jamais vu des medecins pareils. Les policiers sont aussi caricaturaux. Passez votre chemin.
    petithom
    petithom

    10 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2007
    Voila un film citoyen.Melki joue un personnage qui se "révolte" contre son quotidien et qui en paie le prix.Le sujet est dramatique,le traitement comique et le malaise s'installe.Le film parait caricatural et pourtant tout parait crédible.Melki est formidable comme toujours.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 mai 2007
    Ce n'est pas que les acteurs soient si mauvais que ça même s'ils ne sont pas tès bons. Mais le film en lui même n'a aucun intérêt. On sourit au départ et on sombre rapidement dans l'ennui. Nous étions une dizaine dans la salle. 3 d'entre nous ont quitté la salle avant la fin. A voir à la télé avec des mots croisés dans les mains.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 mai 2007
    NUL !! je me suis ennuyée du début à la fin. Pourtant, j'apprécie les films français d'habitude... je ne le conseille pas, même à la télé !
    pitch22
    pitch22

    170 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mai 2007
    A certaines critiques: arrêtez avec vos références stupides à l'actualité, ce film vise beaucoup plus large. A travers l'histoire de gens assez banals, il dénonce l'absurdité de la "société de contrôle" qui vient, un système dans lequel chacun est continuellement mis sous contrôle/pression, inséré comme un pion, avec exigence de soumission esclavagiste. La sanction n'est plus réellement celle de l'enfermement (dix-neuvièmiste) mais celle de la transparence totalitaire à l'air libre, qui implique "soin" et stigmatisation/exclusion. Par le biais de l'argent et de la reconnaissance, la machine, terriblement froide, au désir de toute puissance, cherche à se rendre séduisante (l'honneur=s'y soumettre). En fait, la communication soi-disant libre qu'elle implique se réduit à des rapports d'intérêts. Cette société malade du Marché ne tolère pas l'échec, même petit, dans l'humain: celui-ci devant être comme machine, c'est une société inhumaine. Ou bien l'on "marche" et on finit donc machine, avec stress et pétage de plombs en arrière-plan, ou bien l'on se joue des règles du contrôle, en résistance, en se les réappropriant tout en s'en moquant. La seule solution pour ne pas se retrouver exclu du terrible système, c'est donc d'utiliser hypocritement ses méthodes, d'en contourner ironiquement les vices... au prix d'un retour à la normalité/banalité. Le film part d'une bonne idée mais son traitement manque cependant nettement de punch ainsi que d'une certaine crédibilité. Je n'ai pas trouvé très bon le jeu des deux principaux acteurs, peut-être à cause du scénario. Sandrine Kiberlain joue une taxiwoman plutôt tarte mais sa prise de distance sur cette société folle l'aide à tenir ; jeu plat. Gilbert Melki incarne un personnage assez pâlot. L'intérêt se passe pourtant davantage au niveau du regard porté. Reste que, en raison de sa lenteur, d'un aspect peu cinématographique, on patauge et on s'ennuie souvent. L'esprit critique et ironique est LE point intéressant, sinon niveau bof.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mai 2007
    Film magnifiquement interprété par Gilbert Melki, en homme maniaque, fustigant les injustices.
    Comment un homme ordinaire (ou presque) peu s'écrouler, et comment pourra-t-il faire pour s'en sortir.
    Je mets trois étoiles pour le film et la quatrème pour l'interprétation des acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 mai 2007
    La très rare Emanuele Cuau nous livre, avec "Très bien, merci" un de ses films les plus abouti. Sa grande réussite est de suivre la progression schizophrène de son héros, suite à un simple accident de police, et de brouiller les marques entre le monde réel et celui fantasmé par le personnage de Gilbert Melki et celui de Sandrine Kiberlain, chacun projettant ses aspirations et ses frustrations sur la machine destructrice de toute individualité qu'est l'administration.

    On sent bien que la réalisatrice essaye de ne pas tomber dans le panneau des clichés écculés, or elle en frôle souvent beaucoup. En filmant de manière décomplexée et jouissive ce qui devient finalement une grande tragédie, celle d'un être à la recherche de sa propre identité, elle impose un ton à son oeuvre. Mais c'est aussi la grande faiblesse du film : il arrive un moment où la réalisatrice elle-même semble perdue dans son jeu sur les registres, et c'est le film tout entier qui perd de sa saveur.

    Hormis les qualités indéniables de mise en scène, c'est le rôle-clef de Gilbert Melki qui impressione : on ne l'a jamais vu aussi borderline et charismatique. Dans ce melange de fermeté et d'incompréhension, il nous rappelle le Dustin Hoffman du début de carrière, celui piégé de Marathon Man, acceptant à contre-coeur son statut de héros. A l'inverse, le personnage de Sandrine Kiberlain apparaît comme très plat, et en devient fade, soulignant de manière plus insistante la prestation de celui qui d'impose, depuis Anna M., comme l'acteur de l'année 2007.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 mai 2007
    0 étoile, ca vaut meme pas un flocon d'avoine, pourquoi ce film est sorti ? Ca n'est ni pour l'histoire, ni pour les dialogues, ni pour l'image, ca cache quelque chose.
    Bref, film sans ancun intéret.
    Vladimir.Potsch
    Vladimir.Potsch

    20 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mai 2007
    Ce parti pris de naturalisme, pour mieux accentuer le côté kafkaïen, est la seule idée efficace d'un film par ailleurs complètement phagocyté par ses références beaucoup trop conscientes. On est à la fois dans Le procés, dans Vol au dessus d'un nid de coucou, dans Shock corridor, dans un film un peu gauchiste qui dénonce la brutalité policière, dans Taxi driver, dans un film contemporain sur la détresse liée au chômage, et j'en passe... La cinéphilie de la réalisatrice ne fait aucun doute, sa capacité à créer un univers propre, original, hors des sentiers battus, reste à prouver.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 mai 2007
    Ancré dans une réalité oh combien tangible (et qui risque de le devenir plus encore...), "Très bien, merci" sans jamais chercher à dénoncer pour dénoncer, par son propos d'une froideur totale, frappe fort. Très fort. L'abus d'autorité de petits flics ratés, d'une employée d'hôpital aussi humaine qu'une balance de charcutier et bien d'autres encore nous renvoie sans coup férir à notre quotidien. Si la narration peut sembler surréaliste parfois, la mise en scène, d'une précision d'horlogerie suisse, se veut naturaliste au possible. Pas de doute, il s'agit bien d'un film politique, sorti quelques jours trop tard peut-être. Et puis enfin le plaisir de retrouver Sandrine Kiberlain, absente depuis trois ans des écrans. Ca ne se boude pas, d'autant qu'elle est épaulée par un Gilbert Melki rarement aussi bien employé et dont le jeu tout en nuances explose à chaque plan. La morale du film (ne reste pas pur et candide, tu réussiras mieux en jouant la carte du faux) n'est pas jolie jolie. Mais tellement vraie hélas...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 mai 2007
    Je ne comprends pas que le films soit autant apprécier. Soit, le début annonce quelque chose de prometteur, mais on sombre vite dans l'ennui. Des scènes de voitures interminables, une réalsaition plate, des comédiens qui semblent y croire une fois sur deux...Malgré quelques instants comiques, le film n'exploite pas assez le ton sarcastique sur lequel il avait commencé. Il aurait très bien pu se limiter à un court métrage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 mai 2007
    Douloureusement d'actualité, le film d'Emmanuelle Cuau grossit à peine la dérive imminente qu'est en train de frapper la société française avec, à en croire les journaux, la bénédiction de près de 54 % de la population.
    L'absurdité avec laquelle les événements s'enchainent ici est totalement crédible. Nous avons tous, de façon édulcorée, à un moment de notre vie, vécu ce genre de situation.
    En ce sens, "Très bien, Merci" fait froid dans le dos car il est foncièrement ancré dans un réel tangible dont nous possédons tous des bribes similaires.
    Formellement, la volonté jusqu'au-boutiste de son auteure plonge le film dans une austérité âpre, dénuée d'effets et de pathos. Dès lors, difficile de s'apitoyer sur le personnage d'Alex, si lunaire et désabusé qu'il en devient fadouille qui prend ici les traits d'un Gilbert Melki terne.
    Les sourires grinçants que certaines scènes procurent parfois ne relèvent la sauce que partiellement et l'ennui gagne dans la dernière partie du film où la pirouette ultime tue définitivement tout espoir d'une société meilleure...


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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 mai 2007
    Un véritable navet. Des plans d'une longueur insupportable. Un sujet convenu. Une réalisation plate.
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