film inegal,un peu trop mou à mon gout,sans veritable rythme, on accroche puis decroche dans l'histoire de la déchéance d'un homme confronté à un incroyable concours de circonstance,ou la chute est dure et rapide.
0 étoile, ca vaut meme pas un flocon d'avoine, pourquoi ce film est sorti ? Ca n'est ni pour l'histoire, ni pour les dialogues, ni pour l'image, ca cache quelque chose. Bref, film sans ancun intéret.
Il n'y a pas de manichéisme facile dans ce film, mais une réalité froide, une réalité suffisamment crue pour qu'elle en devienne terrifiante. L'idée de départ est excellente et on connait le potentiel de Kiberlain et de Melki...tout est là mais rien ne prend à mesure que le temps passe si ce n'est une grande déception, le malaise d'assister à une démonstration pompeuse et morne d'un sujet si excitant. C'est du cinéma laid.
ok pour dire qu'on oscille entre le comique et le tragique, mais quand on rit, on rit jaune. La question a laquelle ce film répond par son titre, c'est celle que la société ne pose plus. Le rouleau compresseur nous guette à chaque coin de rue et ce n'est pas de la parano, c'est la réalité ! Il y a pour moi 2 scènes clés dans ce film : L'une est le contrôle par les agents du métro au sujet de la cigarette, avec ce "vous savez que c'est interdit de fumer dans le métro" implacable qui symbolise ici l'application de la loi dans toute sa rigidité. L'autre, que je mets en parralèle ou plutôt en opposition, est la scène à l'hôpital psy quand cette femme demande à Alex une cigarette, lui en prend 4 et s'exclame : "je me suis permise". J'ai vu là le geste d'une femme en détresse, cherchant dans ce bref échange un peu d'humanité, un semblant de communication. (j'en profite pour souligner la justesse d'Emmanuelle Cuau quand elle nous montre les psychotiques, dont la communication passe souvent par l'affect débordant, ils ont déjà adopté Alex quand il quitte l'hôpital) La cigarette devient donc ici un vecteur symbolique par lequel transite soit l'interdit, soit la communication. C'est dans cet entre-deux que navigue le personnage, comme tout un chacun. On sait très bien que la loi n'a pas pour vocation de verser dans l'humanitaire... Une réussite, un film à voir car il nous renvoie à la place que la société d'aujourd'hui accorde à l'être humain: celle d'être son objet.
Je n'ai pas aimé ce film. L'histoire est peu crédible. Il y a des longueurs.L'hôpital psychiatrique y est caricaturé de façon négative. Pour y avoir été hospitalisé 2 fois les conditions humaines et de soins n'ont pas été celles inhumaines décrites dans le film A oublier
Un film faussement décalé. J'entends parlé de Kafka dans certaines critiques, c'est n'importe quoi !! Un scénario qui a des longueurs, certains gags deviennent lourds parce que trop longs. une réalisation d'une platitude rarement égalée (même si c'est un premier film). seul, Gilbert Melki tire son épingle du jeu. Je n'ai jamais vu autant de spectateurs dormir dans la salle (ou partir). J'y suis allé avec un ami italien pour lui montrer une production française, j'ai eu honte. Je me suis proposé de lui rembourser sa place, il a refusé.
Nul, nul, nul .... Un film lent, mou, sans envergure ... Des acteurs peu convaincus (à part G.Melki) ... Bref, un grand moment de solitude. Dire que tant de petits films ne voient pas le jour faute de budget ... De l'argent foutu en l'air. J'aurai mieu fait de me casser une jambe: le temps m'aurait paru moins long. Mention spéciale à S. Kimberlain qui est plus molle que jamais. J'ai jamais vu un film qui porte si mal son titre!
Film cynique qui réussit à tirer un bon parti d'une non histoire. Les caricatures sont poussées à l'extrême, et une ambiance se crée autour de ces évènements évidemment peu crédibles, mais illustrant des faits de société bien réels. Banal, mais plutôt réussi.
Barbant du début jusqu'à la fin. je ne suis pas partie pendant le film, espérant une amélioration, mais franchement j'aurais dû. un scénario bidon, un jeu d'acteur médiocre (mise à part Sandrine Kiberlain, qui est la seule actrice de ce film à avoir bien joué), une histoire qui ne tient pas la route. en bref : un vrai navet !!