Je ne savais pas en visionnant Boarding gate que c'était Olivier Assayas le réalisateur de Carlos, qui ce dernier m'avais plutôt intéressait et pas déplus. Ce Boarding gate est également intéressant mais plutôt inégale, certain passage sont un peut lent et quelques mouvement de caméra sont agaçant. On trouve quelque beaux plans et de belles images de Hong-Kong. L'histoire n'est pas trop mal et les acteurs sont tous correct. Asia Argento est très charmante, a vrai dire le film tourne surtout autour d'elle. Un film plutôt correct dans l'ensemble, mais pas non plus exceptionnel. Moyen.
En lisant certaines des critiques de la presse je me suis demandé s'il l'avait rédigé dans un état second car franchement ce film est nul, on perd son temps A éviter
Cinquante pour cent de la note pour un film à 50% réussi. Excellent film sur la mondialisation (que de conteneurs, que de grues, que d'hôtels anonymes, que de hangars et d'entrepôts identiques !) et doté d'une excellente seconde partie (tournée à Hong Kong et qui rappellera aux cinéphiles le fourmillement de "Chungking Express"), Boarding Gate souffre de sa première partie. Je m'explique : on s'ennuie ferme parce qu'on arrive au milieu d'un film alors qu'on est au début. Vu ? Disons que le film d'Assayas aurait été excellent s'il s'était étiré en trois parties au lieu de deux(Paris et Hong Kong), une première racontant la vie de Sandra (jouée par Daria Argento, toujours excellente n'importe où) avant sa rupture avec le personnage joué par Madsen (mieux dans Kill Bil que dans ce rôle à contre-emploi). Ou alors il aurait fallu faire des flash-back, mais je crois qu'Assayas ne peut se résoudre à utiliser cet artifice si américain, qui pourtant fonctionne bien dans des films comme "usual suspects" ou "la mémoire dans la peau". Dommage, donc, que cette première partie du film nous entraîne dans une histoire alambiquée où l'on ne comprend pas grand chose avec des dialogues un peu longuets. Heureusement que tout s'éclaircit plus tard.
Je n'ai pas été très emballé par ce film au scénario brouillon et mou. Seule Asia Argento montre un peu d'intérêt au film sinon, franchement, c'est très moyen.
Mais où Olivier Assayas a-t-il voulu en venir avec "Boarding Gate" ? On peut se le demander tellement sa démarche s'avère bancale et (surtout) incompréhensible. Dans un premier temps on croit que le cinéaste nous invite au creux du quotidien d'un couple autodestructeur. Un prélude déjà porteur de maladresses dans lequel Madsen fait du Madsen et où tout tourne franchement en rond. On enchaine ensuite avec un passage en Asie où Assayas n'a (toujours) rien à dire et enfile les incohérences. Seule Asia Argento parvient à briller ; mais même avec elle, "Boarding Gate" demeure un long-métrage d'une platitude incroyable, à la mise en scène brouillonne, très mal écrit et anodin.
Le film se divise en deux parties distinctes et de durées à peu près égales. Elles sont en revanche très diffèrentes dans leur nature et leur traitement. La première partie se déroule à Londres et décrit les retrouvailles entre un homme d'affaires dans une mauvaise passe et une jeune femme perturbée, les deux semblant avoir vécu une relation amoureuse ambigüe et basée sur des rapports de domination et de soumission. Malgré la présence de quelques éléments de polar, la tonalité de cette partie est essentiellement psychologique, ce qui se traduit notament lors de la longue joute verbale dans l'appartement entre les deux amants. D'une durée importante et brillament interprêtée, elle se conclut qui plus est de manière inattendue. Dès lors, le film bascule dans une deuxième partie plus nerveuse, prend la forme d'un thriller et se délocalise à Hong Kong. Assayas capte avec une certaine aisance l'énergie de cette mégapole qui a toujours été cinégénique avec ses grandes artères grouillantes de monde et ses petites ruelles qui forment un véritable dédale. Le scénario utilise bien quelques ficelles usées mais maintient malgré tout un rythme qui permet de conserver l'attention du spectateur.
Un gros navet sans intérêt, la rencontre cinématographique entre m madsen et asia argento est un ratage complet sous la caméra d'olivier'assayas(réalisateur surestimé)un scénario creux qui va nulle part,une photographie assez laide et une asia argento en roue libre.
A une première partie très noire à l'intrigue intéressante qui nous donnait envie d'aller fouiller un peu plus loin vient se greffer une seconde partie bien difficile à approuver se payant le luxe de nous offrir de très grosses longueurs. Un film râté qui méritait beaucoup mieux.
Un film d'un ennuie totale qui n'a aucun intérêt, pourtant je suis quand même assez défenseur du cinéma Français mais avec avec ce genre la il n'y a rien à faire. Le résumé avait l'air assez intriguant et puis Michael Madsen dans un film Français, pourquoi pas! La mise en scène est très mollasone, et le scénario très brouillon. On s'ennui fortement aux bout de 10 minutes, et bien entendu sa ne change pas.
film a deux penchants : scénario pas banal, jolie actrice qui joue bien la fille accro à un gars à un point de faire des choses trash cependant le déroulement de l'action est au ralenti, les dialogues souvent dépourvus de sens et au final ça donne qqchose de très moyen donc 2 étoiles !
Film intello à l'intrigue inexistante, où il ne se passe absolument rien. Dans le style des autres films du réalisateur style "demonlover", beaucoup de dialogues peu de suspens. A éviter, vraiment.