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    Pas de larmes pour Joy
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    3,5
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    13 critiques spectateurs

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    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 166 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 février 2024
    Adapté du roman éponyme (pour le titre original, littéralement, pauvre vache, dont on a du mal à voir le rapport avec le film, qui ne se déroule pas à la campagne, loin de là !) (1967) de la romancière anglaise Nell DUNN (1936- ) dont c’était le 2e livre après un recueil de nouvelles [« Up the junction » (1963) que Ken Loach avait adapté à la télévision] et le 1er roman, c’est l’histoire misérabiliste de Joy (Carol WHITE, 24 ans), blonde décolorée, mariée à Tom, petit voleur qui est en prison et dont elle a un fils, Jonnie Elle se met en couple avec un autre voleur, Dave (Terence STAMP, 29 ans) spoiler: qui lui aussi se fait arrêter (après un vol dans une bijouterie) et condamner à 12 ans de prison, l’obligeant à élever seule son enfant grâce à des petits boulots (serveuse dans un pub, photographies dénudées, etc.).
    Pourquoi pas mais Nell Dunn n’est pas Victor Hugo (1802-1885) avec « Les misérables » (1862) ! il n’y a pas de scénario bien construit et le film, lent (séquence mièvre de vacances en camping au Pays-de-Galles, ressemblant à un film amateur en Super 8 mm), est trop long (1h41), malgré la musique de Donovan [21 ans à l’époque, connu pour son tube « Mellow Yellow » (1966)]. C’est de la même veine (ennuyeuse) que « Les amours d’une blonde » (1965) de Miloš Forman. Seul intérêt, outre de montrer les quartiers pauvres de Londres [sous le Premier Ministre (1964-1970) Harold Wilson (1916-1995) du Parti Travailliste], et de dénoncer, déjà, la toxicité masculine (celle de Tom, dont elle veut divorcer pour violence physique et cruauté mentale). Par indulgence, disons que Ken Loach cherchait sa voie.
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2020
    Pour son premier film, Ken Loach dresse à la manière d'un reportage audiovisuel, le portrait à la fois tendre et plein d'humanité, d'une femme déracinée mais émancipée dans l'Angleterre des années 60.
    Y Leca
    Y Leca

    33 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 septembre 2020
    A part le physique de l'héroïne ( une écervelée qui aime des voleurs et couche avec n'importe qui) tout est laid dans ce film. Loach se complaît à filmer la misère sociale et les pires tronches du royaume. L'absence de scenario et de montage plus les longueurs et la bande son achèvent de plomber ce premier film. A oublier.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    136 abonnés 2 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2017
    L'ANGLAIS. Espérez en l'avenir sans oublier le passé. La misère sociale dans les bras de Carol White et dans l'oeil du spécialiste anglais Ken Loach. Du cinéma pas très accrocheur. Elle était de ces femmes dont les yeux ont versé trop de larmes pour croire encore au cieux.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    297 abonnés 3 152 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 février 2016
    Premier film de Ken Loach et déjà on retrouve ses thèmes de prédilection : la misère sociale, le chômage, le mal de vivre...Malheureusement ici la monotonie de l'héroine et les longueurs indéniables nuisent vraiment au film ! On s'ennuie vite, c'est répétitif et on ressort avec un avis un peu mitigé ! Début d'une immense carrière certes mais pas son plus grand chef d'oeuvre ! Reste la B.O de Donovan !
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    331 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2013
    On retrouve dans Poor Cow les thèmes qui seront abordés dans les futurs films de Ken Loach. Même à ses début le réalisateur anglais avait un sacré talent pour dépeindre avec réalisme et tendresse l'angleterre populaire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 avril 2012
    Film magnifique, lumineux, une dureté sous-jacente développée dans des films ultérieurs de Ken Loach mais ici désamorcée par la légèreté... Et une bande-son magnifique.
    foch1800
    foch1800

    48 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 octobre 2010
    pour moi le meilleur film de Ken Loach et de loin. C'est réaliste, voir ultraréaliste, on passe de l'enfer à la joie, un film brillant et très sous estimé, y compris par le réalisateur lui même. Terence Stamp au générique est surprenant car il est à l'opposé de sa vie de dandysme de l'époque
    Maqroll
    Maqroll

    164 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 août 2010
    Premier film de Ken Loach, Poor Cow est avant tout un portrait de femme qui se bat pour arracher une place dans la vie et qui tire la conclusion que « le bonheur, ça se bricole… » Si le propos est déjà tiré du côté de la satire sociale, l'auteur est loin ici de montrer la même maîtrise que lors de ses films suivants. Le scénario est un peu faible, la mise en scène sans relief… Mais certains passages emplis de cette authenticité sans pathos (pas de larmes...) associés à une direction d’acteurs déjà au sommet peuvent faire penser que l’on a affaire à un futur grand.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juin 2010
    4 étoiles, il faut remonter la note de ce film qui reste un modèle du genre bien qu'un peu complaisant au niveau de la critique sociale, avec surtout la performance de Carol White qui contre toute attente donne un coté positif et rafraichissant à ce film même après 40 ans.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 septembre 2009
    J'ai regardé ce film après avoir vu Family Life. À comparer avec ce dernier, il peut paraître désuet bien que le sujet traîté ne soit pas le même mais la trame de fond reste identique : l'Angleterre des années soixantes. Quant à Joy elle est à l'opposé de Janice. Elle paie cher pour son émancipation...: le bonheur c'est au rayon bricolage!
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    305 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 septembre 2009
    La vie de Joy une femme libre gérant sa vie comme ses amours au petit-bonheur-la-chance hélas cette logique conformiste finit par se retourner contre elle comme un entourage beauf sur les bords: toutefois le point de vue naturaliste sinon franchement complaisant de Ken Loach finit par plomber l'ensemble, et puis pourquoi pas de larmes ?
    Jean-François S
    Jean-François S

    54 abonnés 668 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2010
    Après une solide formation à la BBC, Ken Loach inaugure une longue série de films sociaux au cinéma. "Pas de larmes pour Joy" est sa première oeuvre pour le grand écran et son style est déjà affirmé. Loin du cinéma des studios, le réalisateur privilègie les tournages en extérieur proche du documentaire, sans aucun parti pris esthétique. Chez Loach c'est le scénario et le message qu'il doit passer qui est important. Ce premier film montre la déchéance d'une jeune fille déracinée qui s'est mal engagée dans la vie et sa subsistance au quotidien. Loach y dépeint d'emblée la misère, le chômage, la sclérose des classes sociales anglaise. Si cette première oeuvre à déjà tous les éléments du cinéma loachien, il lui manque encore la réussite. Loach reconnait lui-même ne pas être satisfait de ce film. Il est trop long et finit par lasser. La monotonie existencielle de l'héroine gagne le film, qui finit d'ailleurs en queue de poisson tant l'histoire de cette vie incertaine parait sans fin.
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