Un François Cluzet plus que juste une fois de plus, des personnages secondaires attachants, une histoire envoutante car bien menée. C'est comme ça que je l'aime le cinéma Français, rien de plus...
Bande annonce attrayante, déçu par le film mais ça se laisse regarder. François Cluzet n'est pas à son top et Mélanie Thierry à le rôle d'une gamine plus qu'énervante, et avec ça une histoire trop prévisible,presque dans le cliché.
Un film sensible qui donne une approche particulièrement juste et touchante du grand tabou français, l'alcoolisme. Le casting est brillant, le film évolue dans la lenteur voulue d'une longue remontée à la surface. Un hymne à la vie qui ne tombe jamais dans le mélo ni n'essaie de nous donner de leçon. Une réussite!
Je pense sincèrement que les bonnes critiques que le film a reçu sont dues au thème qui y est abordé : l'alcoolisme. Mis à part ça, le film est plat, lent, sans véritable objectif. Et il se fini sans morale, sans suspense, comme il avait commencé... Bref, le film ne m'a pas plu plus que ça... Je m'attendais à mieux !
quelle claque de françois cluzet. à mettre absolument entre toutes les mains des personnes qui ont des alcooliques dans leur entourage, ils ne peuvent que réagir à ce film. très belle interprétation.
François Cluzet montre encore une fois qu il est un des plus grands acteurs français. Melanie Thierry luidonne la replique parfaitement. Film sur les alcooliques et comment s'en sortir. Tres bon film
Un film sur l'alcoolisme.... un film sur l'alcoolisme... hummmm oui ça me dit vaguement quelque chose... mais je suis pas sur de l'avoir vu! Je me rappelle juste d'un château avec des gens dedans et on les filmait en train de vivre... à moins que je confonde avec la star ac'! dans les deux cas c'est nul... (Bon je mets une étoile parce que la salle où j'étais assis était bien! )
Le sujet est dur, l'alcoolisme, et ce poison le détruit à petit feu. Ce journaliste a toujours la flamme pour son métier mais autour de lui tout dégringole. Il part donc faire une cure dans un établissement spécialisé et la famille qu'il a perdu, il va la regagner là-bas à travers les autres pensionnaires. Ils sont tous dans le même bateau alors autant se serrer les coudes. Le Dernier pour la route ne donne pas de faux espoirs. L'addiction restera à vie dans un coin de leur tête à tous. Rien ne dit que le traitement qu'ils sont en train de suivre donnera des résultats. A court terme peut-être en étant solidement encadré mais à long terme...L'alcoolisme n'arrive pas non plus comme ça d'un claquement de doigts. C'est la conclusion d'un long processus : la perte d'un travail, des relations familiales difficiles, de mauvaises fréquentations, un manque de confiance en soi. On peut même être dépendant sans le savoir. Ça fait flipper. Je suis sûr que certains auraient de drôles de surprises rien qu'en répondant à un simple questionnaire. On assiste au parcours d'Hervé tentant de remonter la pente en se liant d'amitié avec la jeune Magali. Je comprends qu'il puisse en être attiré. Elle est jeune. Elle est belle. Elle paraît inaccessible pour ces raisons-là. Or, on est attiré par ce qu'on ne peut pas avoir. Et surtout, elle est paumée. Elle peut tout aussi bien lui rouler une pelle comme l'envoyer promener. C'est suivant son humeur. Suivant ce qu'elle a bu ou sniffé. Ces gens-là, intelligents, touchants par leur parcours, en plus de tout le reste, sortent du lot. Ils font office de lumière là où Hervé serait le papillon avec les risques que ça comporte. Une relation qui pourrait lui apporter beaucoup. Mais sur la durée, elle pourrait être destructrice. A sa place, je la fuirai. A sa sortie, je ne sais pas si le plus dur est fait. Au fond, tout commence. Il faut qu'il se reconstruise. Reconstruire alors que sa famille n'est plus qu'un tas de ruines fumantes. Il est passionné par son agence de presse. Comme ça a l'air de bien marcher, c'est une bonne base pour repartir du bon pied.