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gimliamideselfes
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3,0
Publiée le 26 novembre 2011
Si j'ai beaucoup aimé le début et la fin (surtout la fin d'ailleurs) et pleins d'aspects du film, comme ce héros qui ressemble à monsieur tout le monde, qui ne paye absolument pas de mine, l'absence de manichéisme, le combat final tout en silence. Des qualités ce film en a. Malheureusement j'avoue avoir été moins passionné par tout ce qui se déroule au milieu. Il y a quelques dialogues intéressants, mais j'ai comme l'impression que pendant 30 ou 40 minutes, il ne se passe juste rien du tout, on a beau parler de cette guerre de gangs à venir, je n'arrive pas à sentir une tension quelconque. Et j'en suis le premier déçu. Pour moi ça vaut surtout pour sa fin, et le personnage assez fascinant, à jouer comme ça de son handicap, je pense à la scène des dés qui est bien foutu et bien marrante. Seulement je pense que c'est un film que j'oublierai bien vite. Bien plus vite que le film avec Kitano. Malgré tout j'ai tout de même envie de voir les suites (bon pas toutes, parce qu'il y en a un paquet), mais quelques unes pour approfondir l'univers et le personnage. Intéressant, mais pas sur toute la durée du film, mais malgré tout agréable. Surtout qu'il y a une belle mise en scène, une utilisation du silence, et des vrais personnages de cinéma.
Enfin je découvre les aventures de Zatoïchi et ce 1er film du célèbre sabreur aveugle se suit avec grand plaisir, on s'attache de suite à ce héros malicieux qui peut paraître au premier abord un peu lourdaud mais montrant rapidement ses talents. C'est dans le final que Le masseur aveugle nous offre le plus de combats. Le film aborde même le romantisme avec cette scène ou la serveuse déclare son amour à Ichi (autre nom du sabreur aveugle). En tout cas ce 1er film me donne très envie de découvrir les autres.
Amoureux du katana, c'est ici que cela se passe... Que du bonheur de revoir cette saga ultra culte dont vous le savez tout comme moi, Takeshi Kitano en personne réalise une nouvelle adaptation et surtout un petit coup de génie en plus, j'y reviendrais sur ce sujet. Donc Zatoichi premier volet, image en noir et blanc sublime, le grand Shintaro Katsu pour le rôle de Zatoichi, on s'y attache dès sa première apparition sous ses airs d'un vagabond paumé, comme dans le film de Kitano, Zatoichi se focalise sur l'acte de dégainer le sabre et de trancher en un seul mouvement, c'est à dire l'art L’iaido. Les acteurs au complet sont tous je dis bien tous parfait, des prestations et des textes limpide et qui nous plonge direct dans le film, il y à notamment de la romance ou une jeune serveuse dont la beauté est égal à la lune. Cela tombe bien, une des scènes entre elle et Zatoichi se passe un soir sous la pleine lune, passage magnifique. Vous y retrouvez les fameuses parties de dés, puis des plans quasi identique à la réalisation de Kitano. Maintenant il y à un petit malaise malgré tout, un petit petit. Il faut se rendre compte du génie de Kitano ou il rajoute le léger bruit, "le clic" quand il rengaine ou dégaine son sabre, ce qui est pas le cas dans ce Zatoichi là, autre chose aussi, les combats manque pas d'intensité mais il est étonnant de voir le manque d'impact pour les coups de sabre, quasi pas de sang non plus. Bref tout cela est un simple détail pour une si grande saga, car c'est à voir impérativement. On en redemande, on est captivé par l'histoire et on ne peut que voir la suite avec hâte.
La ressortie en salles de plusieurs titres de Kenji Misumi (1921/1975), permet de voir ou de revoir ce classique du cinéma japonais.
"Zaitochi" (1962) est le premier d'un longue série de films (26 au total) qui mettent en scène les aventures d'un samouraï aveugle, expert en maniement du sabre.
Située pendant la dynastie Edo ( entre le XVII ème et le XIX ème siècle) l'action du " masseur aveugle" est soutenue par un scénario dont on a vu des variantes dans le western (" une poignée de dollars " S.Leone) et chez Akira Kurosawa (" Yojimbo").
Deux clans, aussi antipathiques l'un que l'autre, se préparent à l'affrontement ( certainement pour de simples enjeux de pouvoir car rien ne sera dit de façon explicite). Ils recrutent chacun un maître dans l'utilisation du sabre. Ces derniers font connaissance et se prennent de sympathie l'un pour l'autre.
Filmé dans un magnifique scope noir et blanc (la réédition est superbe), "Zaitochi" est malheureusement desservi par un scénario qui manque d'inventivité.
Il offre une intrigue parallèle, pas toujours très bien traitée (selon moi) en raison d'un petit manque de clarté dans l'exposition de ses détails.
Derrière le premier niveau de lecture ( la préparation avant l'affrontement entre deux talents), on peut émettre l'hypothèse que Zaitochi en offre d'autres.
Le titre est aussi ,sans doute, une invitation à la résilience ( la perte de la vue, n'empêche nullement le héros de réussir dans son art ). Il y a aussi la présentation de deux types d'individus : ceux motivés par leur intérêt matériel et ceux, humbles, modestes, mais animés par le sens de l'honneur et la droiture morale ( ce sont ces derniers qui pourront éventuellement connaître l'amour sincère).
Les aficionados de la période de l'âge d'or du cinéma japonais ne manqueront pas ce film rangé aujourd'hui parmi les classiques de la période.
Toutefois, même si le talent du cinéaste est indéniable, il n'atteint pas (selon moi) celui de A Kurosawa ou de M. Kobayashi quand ils s'aventureront dans le genre.
Quant à l'acteur principal, Shintaro Katsu ( acteur connu pour ses comportements hiératiques dans sa vie personnelle) son charisme souffre grandement (de mon point de vue) de la comparaison à celui exceptionnel de T. Mifune ou de celui de Tatsuya Nakadai.
Premier film de la série des Zatoichi. Un personnage très populaire du cinéma japonais joué par Shintaro Katsu qui interprétera 26 fois le rôle au cinéma jusqu'en 1989 (!) et plus d'une centaine de fois pour une série télé. Ce premier film avec ce masseur aveugle maniplant le katana d'une façon très particulière (selon les spécialistes en arts martiaux), eut un très grand succès au Japon à sa sortie. En cinémascope noir et blanc particulièrement soigné, on est loin d'un film de second ordre et on retrouve beaucoup d'éléments du "Garde du corps" de Kurosawa tourné l'année précédente, qui lui-même sera repris par Sergio Leone dans "Une poignée de dollars". Takeshi Kitano fera un remake de cet épisode dans son film "Zatoichi" en 2003.
Tout premier film de la (longue) saga, encore en noir et blanc, Le masseur aveugle s’avère être une excellente présentation de l’univers de Zatoichi, avec son humour décapant et moralisateur, ses querelles, sa passion pour les dés et bien sûr ses combats à l’épée. Kenji Misumi réalise ici un film magnifique, avec un scénario sobre mais puissant, exposant les coutumes de l’époque d’Edo avec une simplicité apaisante. Les décors naturels sont somptueux, la musique d’Akira Ifukube (principal compositeur de la série et de celle de Godzilla) est excellente et l’interprétation est admirable, sans cabotinage nippon ni situations excessives. Dans le rôle-titre, Shintarô Katsu est tout simplement attachant du début à la fin et on redemande immédiatement de ses aventures. Reste un léger petit manque de combats, l’unique véritable affrontement étant celui de la fin à travers le massacre sans pitié des deux camps suivit de l'inévitable duel à mort, mais on aurait aimé un peu plus de violence pour un chambara. Ceci dit, ne boudons pas notre plaisir, Zatoichi nous réserve bien des surprises…
1er volet de cette saga mythique qui est la saga "Zatoichi". Ce film est un must dans le cinéma japonais. Je viens tout juste de le finir est je suis heureux d'avoir acheté "L'intégrale". Zatoichi est un film de sabre banal, mais magnifiquement bien fait. Le personnage de Zatoichi est attachant, et l'histoire ce déroule comme ça et nous on le regarde avec grand plaisir. J'ai hate de voir ce que va donner les films souvants.
Loin des héros classiques de l'époque Shintaro Katsu incarne pour la première fois le rôle de Ichi de Kasamon dit Zato no ichi, premier volet d'une longue série de films. Plus sombre, un peu torturé mais aux sentiments humains particulièrement réaliste Zatoichi masseur yakuza aveugle, vagabond et justicier cache dans sa canne un katana. Combattif à la dextérité rare, le personnage interprété par Shintaro Katsu, plein de paradoxe excelle dans l'art du sabre mais garde avant toute chose un cœur pur et noble protecteur des opprimés. Le premier volet est mis en scène par Kenji Misumi notamment connu pour avoir mis en scène la série des Kozure Okami (alias Baby Cart) avec en rôle titre Tomisaburo Wakayama, le propre frère de Shintaro Katsu. Il est dit que Misumi a réécrit presque entièrement le scénario. Celui-ci est fasciné par les destins tragiques, et ceux d’Ichi et d’Hiraté lui offrent une belle opportunité d’approfondir les thèmes de la moralité, de la droiture et de l’honneur, véritables obsessions qui nourriront toute son œuvre. Le schéma assez shakespearien rappelle une amitié impossible se substituant à l'amour impossible de Roméo et Juliette. Misumi aussi adroit dans l'action que dans le drame nous offre un film fort mais poétique qui fait de ce premier volet en noir et blanc une franche réussite, départ parfait pour une saga qui n'aura cesse de vous étonner.
Tous les zatoichi valent le coup d'être vu, c'est la meilleure série de chambara qui ai été fait avec Baby Cart, tout les zatoichi comporte des scènes d'anthologie.
Ce tout premier volet de la saga Zatoichi (26 films quand même) est signé du grand Kenji Misumi qui a par la suite officié sur la série culte des Baby Cart. Même si ce premier opus est en noir et blanc, on y retrouve le style inimitable du réalisateur qui préfère construire une lente montée de la tension avant de faire exploser une violence aussi brutale que rapide. Il développe ici un thème qui lui est cher, à savoir celui du code d’honneur des samouraïs qui est magnifié par des séquences aussi touchantes qu’inattendues. Ainsi, le personnage principal acquiert un plus grand respect pour son adversaire que pour celui qui l’a engagé. En prenant le temps d’exposer la psychologie de ses personnages, mais aussi en créant des antagonismes forts, toujours basés sur le respect de valeurs chevaleresques, Misumi parvient à bouleverser le spectateur et signe un petit chef d’œuvre que les cinéphiles peu habitués à regarder des films d’arts martiaux se doivent d’avoir vu.
Un très bon western spaghetti, digne des Sergio Leone, excepté que les cow boys et les flingues sont remplacés par des yakuzas et des katanas. Seule la forme est différente. Le personnage de Zatoichi est excellemment bien interprété, la mise en scène et la photographie superbes.
un petit bijou de cinema que nous délivre misumi comme d habitude dans un film de sabre ce réalisateur excelle
les acteurs sont juste impeccables et que dire shintaro Katsu qui s approprie et donne corps au personnage qu il ne quittera d ailleurs plus jusqu'à a la fin
du rythme et des temps mort ( avant le duel par exemple ) extrêmement bien ponctues l utilisation du silence dans ces moments d attentes sont juste magique
une musique et une photographie de très très bonnes factures elles aussi
en bref pas spécialement de bémol meme le noir et blanc reste de mise pour un classique indémodable comme celui ci
premier et memorable opus de cette série en quelques mots
Merci monsieur Misumi Merci de nous proposer un tel cinema
Premier film de la saga. enorme. le perso que shintaro katsu a créé est vraiment sublime avec ses airs tantot bonnet tantot fin stratège et malin. un super scénario et une très bonne réalisation, accentuée par une photo magnifique. une seul mot, chef-d'oeuvre
Ecrire ma critique (50 caractères minimum)Ce film ma littéralement couper le souffle, au départ j'ai eu du mal car moi et les film en noir et blanc sa fait deux mais après quelque minute je ne fessais même plus attention a ce manque de colorie. tout sa pour dire que ce film ma ouvert les yeux vers une nouvelles voie ... les bon vieux film en noir et blanc x)