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Gregg S.
23 abonnés
377 critiques
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3,5
Publiée le 28 juin 2022
Un beau portrait de famille décalé avec un Mickael Douglas au top de sa forme dans le rôle d'un père maboule. Cette comédie sans prétention est simple, touchante, et particulièrement réussie.
Une comédie géniale avec une histoire belle et touchante. Un duo qui tient ce film à bout de bras et qui réussit à nous faire passer un très agréable moment devant lequel on se rend compte que nous avons tous des rêves différents avec comme point commun qu'ils sont importants à nos yeux et que quel que soit les conséquences, nous en tirerons toujours des enseignements et des opportunités. Magnifique film!!
Premier long-métrage pour Michael Cahill, avec lequel, nous faisons la rencontre d’un sexagénaire plutôt loufoque que schizo. Certes un peu à côté de la plaque et légèrement instable niveau mental, King of California est avant tout l’histoire d’un père, interné dans un hôpital psychiatrique pendant deux ans. Durant ces longues années, en l’absence de parent, Miranda abandonne les études pour se trouver un travail. Seul le Macdo du coin parviendra à lui faire gagner sa vie, jusqu’au jour où son père est enfin libre. Libre de retourner chez lui, semer le désordre dans la petite vie si tranquille que menait sa fille. Qu’est ce qui le préoccupe autant ? On découvrira plus tard, qu’il est à la recherche d’un trésor, enfouit depuis des décennies en Californie. Seulement, les années ont passé, l’immobilier a proliféré, et il découvre tant bien que mal que son trésor se trouve sous un supermarché ! Si le scénario est plutôt original, la mise en scène manque de punch, mais l’humour très présent dans le film ne nous permet pas de nous ennuyer ! Les mimiques et les répliques de Michael Douglas valent le coup d’œil, au côté de la magnifique Evan Rachel Wood (Thirteen - 2003). A la fois tendre et très drôle, King of California sera réjouir les amateurs de Michael Douglas, qui est tout simplement méconnaissable avec son look hirsute et sa barbe imposante !
Un petit film sympa et drôlement barré porté par Michael Douglas secondé de Rachel Evan Wood. Malheureusement, le réalisateur s'éparpille dans la présentation des personnages et de leur plan, et la première partie du film, saupoudrée ici et là de quelques moments de tendresse et d'humour, nous empêche de plonger pleinement dans l'histoire. Quelques faiblesses scénaristiques qui se font moindre à mesure que l'on avance dans cette aventure et lorsque le moment du casse commence, même s'il est un peu tard, le film prend son envol jusqu'à un final en forme de clin d'oeil qui vous laisse le sourire aux lèvres...et c'est déjà pas mal.
Première réalisation de l'acteur américain Michael Cahill, King of California joue clairement (du moins veut en donner l'impression) dans la catégorie des comédies dramatiques indépendantes douces-amères, surfant sur la vague Little Miss Sunshine. Si le film est assez morne, voire inconsistant, dans sa mise en scène, il gagne à être vu pour son scénario superbement écrit, ses dialogues à vif, mais surtout pour l'exceptionnel duo d'acteurs qui le porte.
Bien entendu, ce n'est pas la première fois qu'une telle histoire sur l'autre face du rêve américain est portée à l'écran, surtout dans le cinéma "indé" U.S., mais ici le réalisateur a créé des personnages bien vivants, de surcroit incarnés par un magnifique tandem, aussi détonnant qu'inédit : Michael Douglas - Evan Rachel Wood. Si le premier trouve là l'un de ses plus grands rôles, sorte de grand enfant tout en folie, la seconde, révélée chez Catherine Hardwicke (Thirteen), illumine l'écran de sa grâce et de sa fragilité de femme-enfant devant assumer les tâches d'une mère disparue et d'un père absent.
Ajoutez à tout celà une géniale B.O (du jazz à un superbe California Stars de Woody Guthrie) et une fin politiquement très forte, et vous obtenez un plaisant film indépendant américain.
Un petit deux étoiles pour ce film finalement assez déroutant de par sa photographie très clair et la vie menée par les deux personnages principaux. Michael Douglas revient en tout cas en grande forme. Dommage pour lui que ce film ne trouvera certainement pas de grand succès.
Près de 15 ans après sa « Chute Libre », Michael Douglas pète à nouveaux les plombs, un peu moins violemment cette fois, dans KING OF CALIFORNIA. Une fable moderne, tendre, fantaisiste et imprévisible, à mi-chemin entre le rêve et la réalité, qui comporte sa dose de moments drôles, de moments émouvants, et de morceaux de bravoure (Douglas, plus attendrissant que jamais !!!). En compagnie de la jolie Evan Rachel Wood, laissez vous aller au rythme de ce moment de folie douce, de sa fraîcheur et de son charme.
Une gentille petite fable avec un Michael Douglas dans un registre qu'on lui connait peu : la comédie. Les personnages sont touchant, le père devant se débrouiller avec sa maladie, est constamment sur la brèche entre réalité et fantasme et sa fille essaye de ne pas le braquer en l'accompagnant dans son délire. Au final un bon moment à passer en famille devant ce conte moderne
Exemple type du cinéma indépendant américain, il faut avouer que ce King of California contient dans son propos une certaine sensibilité, et même une certaine honnêteté. Hélas, la sauce ne prend pas vraiment, et il est vrai que l'ensemble est un peu lent, un peu long. On a du mal à être vraiment concerné par nos deux protagonistes, qui se révèlent être deux personnages pourtant plutot attachants. On retiendra alors une composition touchante de Michael Douglas (sans aucun doute l'un de ses meilleurs rôles depuis plusieurs années) et une Evan Rachel Wood lumineuse, une véritable révélation. Pas totalement convaincant, sans être déshonorant.
Ça y est. Le crack de 1929 est passé tel une tornade dans les rues friquées de New York, le pauvre Gordon Gekko est ruiné, traqué par la police, et décide de partir vers l'est lointain pour refaire fortune, en commençant naturellement à creuser au rayon patisserie d'un Castorama. Et miraculeusement ça marche ! Tout le monde il est content, la joie de vivre empli nos coeurs, on passe un bon moment mais inévitablement ce chaleureux instant est très vite entâché par l'arrivée d'un avocat de la Fox, promettant encore plus fric pour la très attendu suite "Wall Street 2".
Une comédie douce amère en forme de conte triste et surtout beau. Hélas un manque de rythme en début de métrage et une histoire qui met du temps à se mettre en place, mais ces défauts sont compensés par des acteurs et des scènes de comédies excellentes et une vrai belle fin. Si vous ne me croyez pas...allez vérifier !
Des situations cocasses voir droles, des acteurs attachants dont un mister douglas completement déjanté, mais hormis cela une historiette assez basique et vide de sens....Bref cela ce regarde mais c'est loin d'être le film du siècle !!!
"King of California" est une comédie gentillette sans prétention aucune. Le divertissement n’est pas exceptionnel, aussi je vais coller parfaitement à sa moyenne actuelle qui est de 2,5/5. Ici est traité le sujet du maniaco-dépressif qui sort de l’hôpital psychiatrique, avec une idée bien en tête. Michael Douglas y est excellent dans la peau de ce personnage, et brille de talent avec ces petits moments de regards d’halluciné complet. Le scénario tient relativement bien le suspense quant à la tournure des événements, mais il est gâché par beaucoup trop de raccourcis faciles, alors que de subtiles contradictions ont été mises en placespoiler: comme quoi Charlie était soigné pour arrêter de réfléchir avant que sa fille ne lui reproche de ne jamais réfléchir… Personnellement, j’ai eu l’impression que des scènes manquaient, plus ou moins déjà agacé par une musique aussi déjantée que le personnage principal. Outre la performance de Michael Douglas, il n’y a donc pas grand-chose à retenir de ces 90 minutes, pas même la comédienne Evan Rachel Wood qui manque cruellement de charisme, mais dont la relative maturité colle bien au personnage qu’elle incarne, âgé de bientôt 17 ans. Sur un scénario relativement originalspoiler: avec cette chasse au trésor qui finit sous un grand magasin de bricolage , je mets une option spéciale sur cet immense acteur qu’est Michael Douglas, et une toute petite sur la photographie qui offre parfois des clichés intéressants, qu’ils soient cocasses ou empreints de bienveillance.
Un film loin d'être banal car en plus d'avoir une histoire original ce film à une ravissante actrice Evan Rachel Wood qui gagne à être connue . Un bon film qui malheuresement met trop de temps à demarrer .
Dans la veine de "Sideways",cette comédie douce-amère arrive sur grands écrans,avec la mention 'par les créateurs de',justement.Mais "Sideways" n'a rien à envier à ce Roi de la Californie mollasson,reposant sur un thème éculé (l'énième tentative de rapprochement père/fille),et boursouflé de métaphores creuses et puériles (le lave-vaisselle par exemple...).Les situations sont parfois un brin originales,mais ne suffisent pas à pallier un scénario prémâché et une mise en scène sans grande valeur.Grâce aux deux acteurs (en particulier Michael Douglas,hilarant de cabotinage professionnel),le divertissement se laisse regarder,et dégage par moments un léger charme de ciné indé américain,sans pour autant avoir la force de nous faire rire ou de nous toucher.Rabâché des centaines de fois,le sous-thème ne gagne pas en originalité ici,d'autant plus que sa construction est absolument identique à tout autre film traitant du même sujet.Quant à la fin,elle se vautre dans la guimauve plus qu'attendue,laissant derrière elle un message d'amour des plus hideux.En gros,mieux vaut revoir maintes fois "Sideways",LA vraie perle du genre!