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Nicolas V
92 abonnés
1 283 critiques
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2,0
Publiée le 2 juillet 2014
le film repose sur ses personnages, mais le probleme est qu'ils ne sont pas assez développés. le resultat est un ennui qui commence des les premieres minutes malgrè la presence de michael douglas.
Michael Douglas m'a étonné dans ce rôle de bipolaire à la recherche d'un trésor du XVI ème siècle dans un supermarché. C'est assez comique et sympathique à visionner. Une production sans ambition qui se regarde facilement.
Le cinéma indépendant US a encore de beaux jours devant lui.Surtout lorsqu'il croque l'Amérique profonde avec tant de douceur et de métaphores.On pense à "Sideways" par exemple,dont le réalisateur Alexander Payne est ici le producteur,le monde est petit... Au-delà de ces considérations théoriques,"King of California" est empreint d'une langueur attirante,concrétisée par un duo contraire.Un père un peu dingue sur les bords se met à la recherche d'un trésor espagnol de plus de 300 ans.Une idée farfelue que sa fille de 17 ans,précoce et cartésienne,doit bien finir par appuyer.La relation entre ces 2 personnages est bien évidemment la clé de voûte du film.Michael Douglas,hirsute et planeur,insuffle une folie douce bienvenue.Evan Rachel Wood,petit génie du cinéma,intelligente et coriace,lui emboîte le pas.Des aventures qui paraissent peu importantes,pourtant empreintes de messages optimistes.Il faut croire en ses rêves,se laisser porter par eux.Jolie fin,pour un conte de désert californien.
Je me demande encore ce qui m'a passé par la tête de voir ce film. Peut-être la présence de Michael Douglas, mais malheureusement, le père Douglas est mort cinématographiquement parlant depuis la fin des années 90, se contenant d'apparitions dans des films ou de rôles dans des films indépendants comme celui-ci. Le film se résume à 1h30 d'histoire père-fille avec comme message "crois en ton vieux papa". Disons que question subtilité, on repassera. Idem pour tout le reste : la mise en scène n'arrive pas à nous faire aimer ce vieux papy un peu fou et sa fille qui doit se faire à la vie adulte, cette histoire de trésor, métaphore au bulldozer des sentiments inavoués entre le père et sa fille (je m'attendais à des dialogues type : "le vrai trésor, c'est toi, mon poussin"). C'est long, inintéressant, des acteurs mal dirigés et pas mis en valeur. En somme, une alternance de séquences sur les champs d'orangers et des plans sur cette banlieue de Californie. N'arrive même pas au niveau d'une vieille comédie familiale des années 80 type les Goonies...
King of california est un film très original de Michael Cahill, cependant il manque un peu de bon sens à mon goût. A l’affiche du film on retrouve des acteurs comme Michael Douglas, Evan Rachel Wood ou encore Willis Burks II, le scénario est original mais trop déjanté, une bonne mise en scène du réalisateur, un bon dynamisme, de bons dialogues… Bref je mets une note de 11/20.
Une comédie sans grand intérêt mais qui par la prestation talentueuse de Michael Douglas n’est pas sans charme. Ce dernier est vraiment époustouflant en père indigne hirsute et barbu qui en sortant de l’hôpital psychiatrique, où il a séjourné deux ans, est persuadé qu’il va trouver le trésor en doublon d’un missionnaire espagnol. Il est accompagné de sa fille, jeune ado de 17 ans, qui s’est débrouillée toute seule durant son absence, et qui malgré l’amour qu’elle lui porte, est désespérée par son père tout en voulant croire que cette histoire de trésor a une réalité. Malheureusement les loufoqueries du père opposées au pragmatisme de la fille ne parviennent pas sur la longueur du film à compenser son manque de rythme. L’invraisemblance de cette chasse au trésor est accentuée par la situation de celui-ci : à savoir environs deux mètres sous un supermarché, apparemment en Californie on ne creuse pas de fondation sous les bâtiments, parce que sinon on aurait déjà trouvé le trésor ! Bref un film qui perd de son attrait au fils du temps qui passe et qui laisse un arrière goût de déception.
Film inutile, scéniaro décousu et pas très épais. On s'ennuie pendant 1h30 pour un film qui n'a strictement pas de dialogue ni d'interet quelconque. Dommage
Film indépendant sympa avec Michael Douglas dans un rôle assez inattendu mais à mon gout, le personnage joué est un peu trop plat et n'arrive pas à nous surprendre. Le problème de ce long métrage se trouve dans sa narration un peu trop lente et qui manque de punch. Cependant on notera un certains nombre de scènes et de répliques bien sympa car c'est certainement cette gentille dérision (et la ravissante Rachel Evan Wood) qui nous font apprécier ce film touchant malgré tout.
Une comédie gentillette qui n'arrive pas à décoller malgré le charme de Michael Douglas qui s'avère être le principal atout du film. Malheureusement, Michael Douglas ne suffit pas pour nous faire adhérer au film. Il aurait fallu une histoire plus inspirée...
Un film qui n'a que très peu d'intérêt au final et qui ne semble avoir été réalisé que pour capitaliser sur la présence inimaginable d'un Michael Douglas bien fade ici.
King of california m'a fait passer un très bon moment. C'est vraiment un film intéressant , une très belle aventure , je n'ai pas vu le temps passer , de plus evan rachel wood est encore une jeune actrice dont j'ai le béguin...
Dès les premières images on ressent la patte d'Alexander Payne au commande en tant que producteur, hélas n'est pas Payne qui veut. Le film peine ainsi à trouver un rythme juste et reste dans le convenu. Nous sommes vraiment dans les méandres (divers et variés) du cinéma indépendant avec, hélas, pas uniquement des points positifs. Le jeu des comédiens reste le point le plus intérssant du film. Evan Rachel Wood n'arrivant (contrairement à d'autres comédiennes qui use du même jeu de film en film) à être détestable. Manque de consistance de par le sujet, le film se regarde avec une légère complaisance coupable d'aimer le jeu de Michael Douglas (enfin de retour)...On s'avoure et on se laisse finalement porter jusqu'à une fin qui flirt avec le mélo sans jamais l'atteindre...C'est sans doute ça les clés d'un film "juste plaisant"...
Est-ce parce que sa barbe lui en donne l’allure que Charlie se lance sur les traces d’un conquistador, et de son trésor enfoui quelque part dans le sol californien depuis le XVIIIè siècle ? Ça n’est pas impossible, tant l’olibrius, à peine sorti d’un séjour de plusieurs années en asile psychiatrique (pour une raison qui nous restera inconnue de bout en bout), n’est pas à une facétie près. Constamment dans son sillage, le premier long métrage de Mike Cahill s’accorde avec le caractère imprévisible de son personnage principal, nous offrant ainsi quelques répliques et situations, aussi inattendues qu’hilarantes. Mais lorsque ce n’est pas nos zygomatiques, c’est notre résistance que ce “King of California” met à l’épreuve, avec un rythme à la limite de la léthargie, en particulier dans la première partie du film, lorsque se mettent en place les éléments de l’histoire, à commencer par la relation qui unit l’ex-interné à sa fille, interprétée par une Evan Rachel Wood (la révélation de “Thirteen” en 2003) bien sage face au numéro gentimment déjanté de Michael Douglas, en grande forme. L’ensemble s’anime, heureusement, un peu plus, lorsque se met en place la chasse au trésor, et que le long métrage, au lieu de lorgner vers un “Ocean’s 11” bis, développe une tendre relation père-fille, et glisse vers la comédie douce-amère sur les ratés, dont le film aurait pu faire partie, s’il ne se révélait drôle, touchant et chaleureux comme ces beaux plans de la Californie qui le ponctuent.