Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,0
Publiée le 18 juin 2012
Reboot d'un classique de l'horreur, Massacre à la tronçonneuse le commencement place la barre de la perversité, du sadisme, du gore et du malaise à son paroxysme. Jonathan Libesman, après son Nuits de terreur peut convaincant reviens au films de genre. Et heureusement. Les origines de Leatherface sont intéressantes ainsi que la réponse à certaines questions (pourquoi le vieux est en fauteuil, comment le shérif a perdu ses dents etc). Mais ce n'est pas forcément par son scénario que ce reboot brille mais par son ambiance qu'il installe dès les premières minutes et le générique. La photographie sépia est reprise, mais accentué. Les scènes de boucheries également. La perversité du shérif et de la famille aussi. En bref, cet opus est à l'image du premier mais accentué puissance 10. Un commencement qui nous prend aux tripes, jusqu'à les dégobiller. Une réussite
Du classique au niveau de la violence, mais depuis que j'ai vu ce film je vois les autres films d'horreur comme des films pour enfants, il y a des moments énormes dans celui-ci, et je m'en souviens comme si c'était hier j'ai adoré. A pas faire voir au enfants c'est clair et net .
Revenant aux origines du mythe de la saga, ce long métrage de Jonathan Liebesman se trouve être une incontestable réussite dans le genre. La réalisation possède des moments de pures terreurs, notamment en ce qui concerne les scènes de meurtres qui sont filmées de manière bien barbare, réaliste et sans concessions. Le casting est aussi bien surprenant : R. Lee Ermey ( " Full Metal Jacket " ) est impérial dans le rôle du shérif Hoyt, Andrew Bryniarsky est impressionnant dans la peau de Leatherface et on a également le plaisir de retrouver le joli minois d'une Jordana Brewster ( " The Faculty " ) qui me fait toujours une bien forte impression dans ce film. On est donc en présence d'un survival vraiment étonnant, mais qui est évidemment fortement déconseiller aux personnes sensibles.
Jonathan Liebesman est vraiment...comment dire..inspiré ! Un préquel carrément flippant, une dose d'intensité, une piqûre d'adrénaline et d'horribles événements pour rendre n'importe qui totalement parano durant le visionnage de ce film. Je plains l'acteur qui a dû jouer la victime torturé et atrocement mutilé et tuée par Leatherface(qui impose une pression de taré, sérieusement, il possède une carrure énorme, et correspond parfaitement pour ce rôle, car il montre bien qu'il n'a strictement aucune morale, ce qui se confirme à la dernière minute du film), et qui a dû rester, là, spoiler: allongé sur la table, en train de se faire tronçonner les bras et le ventre, avec sa copine juste en-dessous de la table, qui devait faire le moins de bruit possibles. C'est dans ce genre de scènes-là qu'on réalise le talent de Jonathan Liebesman, c'est que même après cinq Massacre à la tronçonneuse, il arrive à recréer quelque chose de perturbant, traumatisant, mais aussi d'intelligent. Bref, je l'ai vu quand j'avais 13 ans, je crois, donc...Je ne l'oublierais jamais ! Cette ambiance du Texas-Ancien-Sur-Les-vielles-Routes-Poussièreuses ne prendra jamais une ride. Ce film....est contre-nature. Si vous voulez le voir, mais alors là, vraiment le voir, quoi, eh bien, allez-y, mais c'est une heure et d'mie de pure folie inhumaine.
Excessivement gore et complaisant mais avec une mise en scène maîtrisée: on est légèrement au dessus des films du genre ("Détour mortel"...). Le film est immoral à souhait au point qu'on a une folle envie de faire mordre la poussière au shérif (toujours aussi tête à claque depuis Full Metal Jacket). Malsain, à réserver pour ceux qui aiment l'horreur avec un grand H.
Rien a voir avec le premier un film gore très gore, il y a des scènes dur a voir.... Ce film a été issu d'une histoire vrai. 35 personnes tuer par un homme
Bien que sur le papier, "Massacre à la tronçonneuse : le commencement" ne val pas grand chose, on ne peut nier l'impact qu'a ce déferlement de violence extrême sur nos esprits saints. Scénario d'horreur plus que classique, ce film qui nous explique les débuts d'une des plus célèbres et anciennes sagas du gore, se révèle tout bonnement horrible. Se joignant à une joyeuse bande de fanfarons composés de deux jeunes couples, le spectateur se laisse vite piégé dans cette abominable maison perdue du Texas. Générant une frustration et une colère sans nom puis nous fait voyager dans la douleur physique mais surtout psychologique, le long-métrage de Jonathan Liebesman terrifie et parvient à créer une ambiance qui valse entre la série B et le chef-d’œuvre horrifique. N'obtenant rarement satisfaction tout comme les personnages du film, le spectateur quittera cette aventure qu'avec une rage intérieure difficilement contrôlable devant tant d'injustice. Une bien grosse prise de risque qui aurait nécessité un travail plus approfondie sur le script pour générer le respect des maîtres de l'horreur.
Les scénaristes n’ont plus grand-chose à raconter et l’histoire commence vraiment à tourner en rond. Le film en lui-même n’est pas mauvais mais on a bien du mal à se passionner pour cette énième variation sur le même thème. A quand un peu d’originalité dans le cinéma d’horreur?