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David M.
13 abonnés
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3,0
Publiée le 9 octobre 2015
les films d'horreur ne sont pas mon style me ce film est pas mal gore rythmé une bonne ambiance flippant.. Non carrément pas mais c'est un bon film a voir la nuit de préférence haha
Préquelle au premier film mais aussi au remake de 2003, ce "Beginning" vaut la chandelle en version non censurée. C'est très gore à certains moments, faut arriver à tenir, sérieusement. Ce film vaut le titre qui lui est attribué, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde, tous les personnages "mauvais" sont absolument fabuleux, des vrais malades.
Le Commencement apport un vrai coup de jeune à la saga, ce qui permet de mettre à jour beaucoup de choses. Après un remake plus ou moins bancale du film de 1974, Nispel apporte à Massacre à la Tronçonneuse une nouvelle vie. Coté casting on reste sur du basique mais rien a dire sur leurs interprétation. Le Commencement nous permet de mieux comprendre Leatherface dans sa façon d'agir ou d'ailleurs de comprendre que ce n'est pas lui le vrai "méchant" de l'histoire. Le meilleur de la saga à ce jour.
Ce nouvel épisode de la saga "Massacre à la tronçonneuse" est surement le plus gore de tous mais pas le meilleur. Cette préquelle nous montre le début des meurtres à des fins cannibales de la famille Hewitt, comment ils en sont arrivé là etc. c'est effectivement intéressant mais on ne s'y intéresse finalement trop peux, on repasse directement au film d'horreur de base, où les meurtriers tuent une bande de jeunes qui passaient par là. Le scénario n'est donc pas original et nous laissent sur notre faim. Au niveau des acteurs, ils jouent assez bien et c'est avec surprise que l'on retrouve Jordana Brewster dans le rôle de la parfaite victime mais avec un tempérament fort et elle incarne très bien ce personnage. En résumé "Massacre à la tronçonneuse : le commencement" n'est pas vraiment indispensable car il nous apprend finalement peu de choses sur cette famille de cannibales.
Moins bien que le précédent se prequel continu toujours de nous faire monter en tension. Encore plus malsain encore plus horrible les séquences gores sont insupportables, c'est atroce ! C'est trop pour moi pour que j'accroche.
Préquel de l'excellent remake réalisé par Marcus Nispel, "Massacre à la tronçonneuse le commencement" s'attache donc à décrire les débuts de Leatherface et de sa famille tels qu'on pouvait les voir dans le film de 2003. L'intrigue prend le prétexte (bien trouvé, à mon sens, car permet quelques savoureuses interactions entre les deux frères et entre les deux frères et Hoyt) de la guerre du Vietnam et de l'enrôlement de deux frères qui partent s'offrir une dernière virée avec leurs petites amies. Bien évidemment, ce petit monde ne tardera pas à tomber sous les griffes de Thomas Hewitt et du sadique autant que redoutable shérif Hoyt. C'est d'ailleurs un vrai bonheur de retrouver R. Lee Ermey dans ce rôle semble-t-il taillé sur mesure tant son jeu est glaçant! Même si les jeunes gens sont destinés à servir de pâture, on s'attache un tant soit peu à eux, ce qui est, somme toute, assez rare dans le cinéma d'épouvante! Bien évidemment, qui a vu le remake avant de découvrir ce film saura spoiler: qu'il ne pourra pas y avoir de survivants, à la fin, parmi ce groupe de jeunes mais cela importe peu. On ne boudera pas notre plaisir devant cette préquelle tout à fait honorable. Les scènes gores sont bien plus présentes que dans le film de Nispel, ça charcute, les victimes hurlent et on aurait presque mal pour elles (je pense notamment à cette scène durant laquelle spoiler: Bailey se fait "harponner" le bras ). Si "Massacre à la tronçonneuse le commencement" n'est pas exempt de défauts (un "commencement", justement, peut-être un peu trop rapide puisque se réduisant à un simple générique, quelques idées assez faciles telles cette vache au beau milieu de la route -un classique, un développement moins "effrayant" que dans le remake mais qui se rattrape par l'abondance de scènes gore), le film n'en reste pas moins tout à fait passionnant.
Enfin un vrai prequel de Massacre à la Tronçonneuse, qui a pour but de revenir sur la naissance du psychopathe qu’est Leatherface. Ce qui, a priori, aurait déjà dû faire Leatherface – Massacre à la Tronçonneuse 3 depuis bien longtemps (1990, pour être exact). Il aura donc fallu attendre un remake initié par Michael Bay pour voir cette occasion se profiler un jour. Cette fois-ci, ce n’est plus Marcus Nispel qui est en charge du projet, mais Jonathan Liebesman (dont c’est le second long-métrage), que nous connaîtrons par la suite via World Invasion : Battle Los Angeles, La Colère des Titans et Ninja Turtles. Autant dire qu’en connaissant déjà son pedigree, vous savez à quoi vous attendre de la qualité de ce film…
Pour être honnête, ce Commencement rempli aisément son cahier des charges et ce sur bien des points. À commencer par son statut de prequel, qui le forçait à nous donner bien des réponses sur Leatherface et sa famille cannibale. En parlant de cela, le Commencement n’est lié qu’au film de Marcus Nispel (le remake de 2003) et n’a donc aucun rapport avec la saga d’origine. Vaut mieux prévenir ! Et comme le remake n’indiquait pas que les Hewitt étaient en proie au cannibalisme, ce nouvel opus apporte la réponse avec un grand oui. Pourquoi le sont-ils ? Pour survivre à la fermeture de l’abattoir local, seule industrie qui leur permettait de gagner leur croûte. spoiler: En plaçant l’histoire en parallèle avec la guerre du Viet-Nam et en insistant bien sur le passé militaire du personnage de Charlie Hewitt/le shérif Hoyt (pour faire resurgir la notion de survie), cela nous permet de s’attacher à une famille pourtant composées de dégénérés. De comprendre leurs diverses actions pour le moins macabres voire inhumaines.
De plus, ce Massacre à la Tronçonneuse iconifie enfin Leatherface, déjà rendu terrifiant dans le film précédent. Ici, nous assistons à sa naissance et, par le biais d’un générique récapitulatif, nous le voyons grandir et se faire rejeter de tous à cause de ses malformations physiques qui le pousseront à envier le visage des autres (d’où le fameux masque). Une mise en scène pour le moins classique qui parvient tout de même à mettre en valeur chaque détail reconnaissable de la saga, notamment grâce à la musique de Steve Jablonsky qui fait ressortir tout le côté « symbolique » de cet antagoniste : la première utilisation de la tronçonneuse, la conception du masque, sa silhouette…
Malheureusement, le film ne va pas plus loin que cela, en se présentant comme un énième opus de Massacre à la Tronçonneuse. Alors que son statut de prequel aurait pu lui permettre d’oser un scénario inédit, le Commencent se montre comme une sorte de remake en reprenant les mêmes situations et séquences des autres films, que le long-métrage de Nispel avait pourtant évité. Ainsi, nous nous retrouvons à nouveau en compagnie de jeunes gens qui vont se retrouver bloqués dans le Texas et qui vont être les cibles de notre famille de cannibales. spoiler: Tout en passant par la scène du dîner, qui répond une nouvelle fois présente, et en se terminant par un final qui se déroule une nouvelle fois à l’abattoir comme pour le film précédent. Était-ce si compliqué de s’attarder sur la prise de pouvoir des Hewitt dans la région et le fait qu’ils aient commencé à tuer pour survivre ? Le résultat est sans appel : comme pour le The Thing de 2011, Massacre à la Tronçonneuse : le Commencement n’est en réalité qu’un remake caché derrière une étiquette de prequel.
Et qui propose les mêmes et éternels défauts du cinéma d’horreur, en pire que le remake. Comme il est dit, la mise en scène est si classique qu’à aucun moment nous ne retrouvons le côté poisseux et glauque du film de Nispel. À la place, nous avons une caméra qui s’attarde sur les séquences de tortures et de tueries (sans doute l’opus le plus gore de la saga) au lieu d’essayer d’instaurer une ambiance. Les jeux de lumière sont là, mais pas le reste ! Du coup, on se retrouve avec un film visuellement crade et qui ne jure que par ça, suivant des acteurs littéralement mauvais (sauf un R. Lee Ermey qui s’éclate) et sans jamais s’oser dans le second degré (encore une fois, le remake s’y risquait de temps à autre, et cela fonctionnait !).
Massacre à la Tronçonneuse : le Commencement ne sera pas l’opus le plus marquant de la saga, mais il reste néanmoins dans les bonnes grâces du remake grâce à sa participation scénaristique au mythe et à son côté divertissement qui fonctionne. Ce qui le sauve de son manque d’originalité vis-à-vis de la saga et de son manque d’envergure avec le film précédent. Mais pas d’un rendu final qui en blasera plus d’un.
Préquelle du film culte de Tobe Hooper retraçant les origines du tueur Leatherface, "Massacre à la Tronçonneuse : Le Commencement" fut une déception. La réalisation très paresseuse de Jonathan Liebsman nous entraîne au Texas dans une famille de dégénérés cannibales mal exploités. En effet, le scénario de ce film n'est pas abouti est assez travaillé au niveau de la psychologie des protagonistes et au niveau de la tension. Le film se veut horrible mais les scènes gores ne sont, pour ma part, pas insurmontables ; l'atmosphère sensée être anxiogène n'a pas d'efficacité ; le jeu des acteurs est crédible et offre de très bonnes scènes mais sans être extraordinaires ; la bande sonore n'est pas "puissante" ; les clichés du genre sont, comme toujours, présents ; les scènes font du déjà vus ; etc,... Seul les personnages de Leatherface et du Shérif Hoyte, excellemment bien interprété par R. Lee Ermey m'ont donné du plaisir devant ce long-métrage américain. J'ai préféré le remake de Marcus Nispel qui était plus stressant.
Lorsque Tobe Hooper a réalisé et sorti "Massacre à la tronçonneuse" en 1974, il ne pressentait sûrement pas un tel engouement pour son long-métrage. Celui-ci a donné naissance à une saga dont à ma connaissance aucun des volets n'a jamais atteint le niveau de l'original. Et ce film ne fait pas exception à la règle. Se contentant de ressasser sans recycler intelligemment le genre du slasher initié par son illustre aîné, Leatherface made in 2007 ennuie vite par son scénario déjà connu et éculé à l'extrême, son écriture et sa réalisation paresseuse qui malgré les effets gores ne convainc jamais. Cependant, au vu des trop nombreuses productions faites en matière d'horreur depuis le début du siècle, le film se révèle suffisamment efficace pour ménager quelques effets horrifiques réussis, et bénéficie d'un casting honorable à défaut d'être exceptionnel. Ce n'est pas une réussite mais ce n'est pas un navet non plus.
Le debut de l horreurUn nouveau film reprenant le mythe de LEATHERFACE un remake lui aussi (comme celui de Marcus Nispel)du film de Tobe Hooper ou on en apprend un peu plus sur les origines du monstre.Meme si ce film est legerement inferieur a celui de Marcus il en reste pas moins une veritable surprise gore et angoissante. Du debut a la fin on ne decollera pas de ce cauchemar ultra realiste. A regarder dans le noir je vous le recommande. On rajoute 1h de bonus pour prolonger le plaisir
Le Commencement est le meilleur Massacre à la Tronçonneuse sorti a ce jour, une ambiance ancienne, glauque et un sujet bien traité. Beaucoup plus gore et sadique que les autres de la série. On a dans cet épisode droit a un démembrement ou Leatherface s'acharne vraiment sur une personne. Aussi comique par moments (je pense notamment à la scène ou Leatherface découpe les jambe de son grand père qui est vraiment excellente). Après le style du film reste bien spécial et ne se tourne vraiment pas vers un large public. Mention spéciale a la fin, quand Leatherface est caché dans le coffre de la voiture !
Le Commencement est le meilleur Massacre à la Tronçonneuse sorti a ce jour, une ambiance ancienne, glauque et un sujet bien traité. Beaucoup plus gore et sadique que les autres de la série. On a dans cet épisode droit a un démembrement ou Leatherface s'acharne vraiment sur une personne. Aussi comique par moments (je pense notamment à la scène ou Leatherface découpe les jambe de son grand père qui est vraiment excellente). Après le style du film reste bien spécial et ne se tourne vraiment pas vers un large public (pas comme celui de 2003). Mention spéciale a la fin quand Leatherface est caché dans le coffre de la voiture !
Divertissement horrifique pour adolescents ou adulescents qui écoeure plus qu'il n’effraie spoiler: (moisissures, urine, vomie et selles,...) Là où l'original innovait dans la mise en scène et la narration, ce dernier se contente de recycler les différentes scènes de slasher movies maintes fois vues et revues au cinéma. Ne mérite pas sa réputation de bon remake.
Excellent du début à la fin. À mes yeux,c'est de loin le meilleur de la saga. Les acteurs sont très crédibles,l'histoire nous raconte l'origine du massacre à la tronçonneuse du Texas,l'origine de la famille,pourquoi Leatherface porte un masque de peau,et comment il en est venu à tuer des gens avec une tronçonneuse. Très gore et une ambiance bien flippante,comme celui de 1974. Leatherface plus terrifiant que jamais contrairement au Leatherface de 2013. L'ambiance des "Texas chainsaw massacre" est plus présente dans celui là que dans les autres. Dommage qu'on ait pas sursauté une ou deux fois. Excellent quand même,à voir si vous avez aimé le tout premier.