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Serpiko77
58 abonnés
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3,0
Publiée le 12 février 2019
Surfant sur le succès du remake de 2003, le producteur Michael Bay décide de produire une séquelle, plus gore. Coté acteur Jordana Brewster ne s'en sort pas si mal et le regretté R. Lee Ermey nous sort un grand numéro (grosse dédicace à son personnage d'agent instructeur dans Full Metal Jacket). Ça casse pas de brique mais lorsqu'on compare à certains film de cette franchise le résultat est plutôt honnête.
Pas aussi bon que son prédécesseur, ce Massacre à la tronçonneuse : le commencement se laisse néanmoins gentiment suivre. Il nous raconte les origines de Leatherface et de sa famille cannibale. Toujours produit par Michael Bay, ce préquel n'est pas trop mal réussi dans son ensemble. La réalisation est correcte, les acteurs ne sont pas ridicules (R. Lee Ermey est excellent) et la tronçonneuse tue toujours autant. Cependant, l'atmosphère est moins tendue que dans le film de 2003 de Marcus Nispel et la dernière scène est un peu un copier-coller de celle du film de Nispel. Néanmoins, ce commencement reste un bon opus de la saga Massacre à la tronçonneuse.
Préquel de l’époustouflant remake de "Massacre à la tronçonneuse", ce nouvel opus ne renouvelle malheureusement pas l'exploit de son illustre aîné. La faute en incombe sans doute au remplacement au poste de réalisateur de Marcus Nispel par Jonathan Liebesman puisqu’il s’agit de la seule réelle différence formelle entre les 2 films. Et il faut admettre que, outre la disparition de l’effet de surprise, on sent bien que la mise en scène est bien moins fluide. Pour le reste, on retrouve cette même ambiance poisseuse (avec sa ferme maudite et ses routes désertes), ce même travail concernant les mises à mort toujours plus imaginatives et surtout toujours aussi traumatisantes (le biker coupé en deux, le dépeçage d’Eric avec sa petite amie aux premières loges contrainte au silence pour survivre…) et surtout le retour de la terrible famille Hewitt dont ressortent l’hallucinant Hoyt (R. Lee Ermey) et évidemment le terrifiant Leatherface (Andrew Bryniarski). J’attendais d’ailleurs davantage concernant les révélations du passé du tueur à la tronçonneuse, dont l’enfance est trop rapidement expédiée (aucune scène de brimades de camarades de classe ou de moqueries d’adultes à se mettre sous la dent alors qu’elles étaient indispensables) pour faire place à une intrigue mettant en scène un nouveau groupe de victimes en devenir (avec, à sa tête, la belle Jordana Brewster) certes intéressante (on notera l’effort des scénaristes qui n’ont pas fait de ces personnages des débiles en puissance) mais qui fait redite par rapport au 1er opus. Ce préquel aurait ainsi gagner à se consacrer davantage à la description de cette famille de malades. On ne s’étonnera d’ailleurs pas si les meilleures scènes du film sont celles qui voient la famille Hewitt sombrer peu à peu dans la folie avec l’oncle Hoyt qui tue le shérif pour prendre sa place, le vieux Monty qui se voit amputer des 2 jambes par Leatherface… pour éviter de boiter, ou encore la réunion finale où toute la famille se livre aux joies du cannibalisme à table (l’un des défauts du 1er opus est ainsi comblé). Ainsi, bien qu’il ne brille ni par son originalité, ni par son rythme, ce préquel reste un film d’horreur de haute volée et surtout un passage obligé pour les fans.
1969, année traumatique : alors que le conflit au Viêtnam se prolonge, la fermeture dun abattoir au Texas met au chômage les membres de la famille Hewitt. Cest là que Thomas (futur Leatherface) va découvrir les joies du massacre à la tronçonneuse, au contact de quatres adolescents, dont le seul tort aura été de se perdre dans le coin. Et cest peu dire que loutil pré-cité lui sied, puisquil le fait tourner à plein régime dans la dernière demi-heure de ce nouveau volet de la saga initiée par Tobe Hooper en 1973. Après loriginal, ses trois suites, puis son remake en 2003, voici son prequel. Une forme de suite très en vogue à Hollywood (James Bond ou Hannibal Lecter y ont récemment eu droit), et qui permet de continuer à exploiter un filon en revenant dans le passé. Retour donc, sur les événements qui ont amené Thomas Hewitt à devenir lun des plus célèbres serial-killer de toute lHistoire du cinéma : sa naissance, son premier meurtre , de quoi offrir aux fans quelques révélations, aussi bien sur lui que sur dautres figures de la saga, au début du film. Le reste, bien que très efficace (malgré un grand nombre de sursauts inutiles), tend plus, quant à lui, vers un énième remake du long métrage dHooper. Les jeunes héros vont donc - ô surprise ! - avoir lhonneur dêtre les premières victimes du fameux psychopathe, désireux den faire des ados en kit avant la dernière bobine. Du coup, la tronçonneuse vrombit, les acteurs crient (fort), le sang coule à flots, et le malaise sinstalle, le réalisateur ne nous épargnant aucun détail, à tel point que son film effleure souvent la complaisance. Pour loriginalité, on repassera, mais pour la barbaque, cest ici que ça se passe. Contrat rempli, donc, pour lépisode 0 des Massacre à la tronçonneuse qui, loin de loriginal, se hisse tout de même au niveau de son impressionnant remake. Les fans peuvent commencer à faire la queue
L'idée plutôt bonne, le film pas mal foutu mais au final, pour une soit disant préquel, ça n'apporte pas beaucoup d'eau à notre moulin car après le premier quart d’heure, on tombe ni plus ni moins dans un remake de l'original. Même si c'est gore, trash, drôle, flippant pafois, je laisse un 2,5 car ne se démarque pas plus que ça.
Lorsque Tobe Hooper a réalisé et sorti "Massacre à la tronçonneuse" en 1974, il ne pressentait sûrement pas un tel engouement pour son long-métrage. Celui-ci a donné naissance à une saga dont à ma connaissance aucun des volets n'a jamais atteint le niveau de l'original. Et ce film ne fait pas exception à la règle. Se contentant de ressasser sans recycler intelligemment le genre du slasher initié par son illustre aîné, Leatherface made in 2007 ennuie vite par son scénario déjà connu et éculé à l'extrême, son écriture et sa réalisation paresseuse qui malgré les effets gores ne convainc jamais. Cependant, au vu des trop nombreuses productions faites en matière d'horreur depuis le début du siècle, le film se révèle suffisamment efficace pour ménager quelques effets horrifiques réussis, et bénéficie d'un casting honorable à défaut d'être exceptionnel. Ce n'est pas une réussite mais ce n'est pas un navet non plus.
Les origines du tueur au masque de cuir sont bien gores (les séquences de découpent, d'os qui craquent, et de peau pelée ne manquent pas !) et dérangeantes (l'oncle qui se fait couper les deux jambes "pour égaliser"...), mais un peu au détriment de l'intrigue parfois succincte. La problématique du Vietnam est par exemple de trop, car elle n'est pas nécessaire au scénario et fait encore trop patriotique. Mais le shérif et le tueur à la tronçonneuse sont vraiment effrayant, surtout le shérif qui apparaît presque pire que son "fils" par sa folie destructrice et imprévisible. Les adolescents vont passer un sale quart d'heure... Le sang et la chair tombent en masse, les cris de douleur et les instruments rouillés nous font transpirer... La fin est l'apothéose de la course-poursuite gore, mais le début qui explique la naissance du tueur ne m'a pas convaincue, la séquence à l'abattoir est maladroite et risque de décevoir les puristes du classique de Hopper... Sans avoir le charisme du film culte, ce prequel se distingue par ses séquences de gore.
Vraiment très déçu de ce film. Moi je m'attendais aux origines de leatherfaces pas à un remake du premier opus. Bon il reste les scènes sanglantes mais hormis cela on apprend quedal on ce contente de survoler sa jeunesse dans le générique d'ouverture. Hormis ça le film est prévisible du début à la fin vu qu'on connaît le destin de la famille. Un film donc très décevant et pas indispensable. Qui plus est c'est pas terriblement mis en scène. Un petit film à voir entre potes un samedi soir mais ça vaut pas le prix du cinéma. Déçu..
Après le succés du remake, On pouvait craindre qu'une suite ou un prequel opportuniste verrait le jour et bien c'est le cas. On pouvait s'attendre à un film qui raconterait comment Leatherface et sa famille sont devenus ces monstres mais le tout est règlé en 15 minutes ( L'abattoir a fermé donc je commence à tuer tout le monde)et voila en plus que 4 jeunes crétins viennent à passer par là dans la plus grande originalité. On se retrouve donc avec un copier/coller du premier, le tout en beaucoup plus mal filmé.
Pourquoi est-il si difficile de faire comprendre aux apprentis réalisateurs comme ici que le sang, la boucherie, les tortures détaillées... ne font pas peur une seconde! C'est tellement inutile, débile, dispensable et pourtant tous les films d'horreurs de ces dernières années semblent fonctionner de cette manière. Quand je pense que les réalisateurs d'y a 30 ans faisaient encore plus peur avec des budgets risibles, il y a vraiment des réalisateurs qui n'ont aucun talent et pondent des bouses fades sans envergures comme ici. Franchement qui se souviendra de ce film qui à part du sang nous offre quoi? Ecoeurant mais nullement effrayant...
« Massacre à la tronçonneuse, le commencement », c’est du lourd, très lourd ! Pas forcément innovant, mais peut-on l’être quand on réalise une préquelle ? Par contre la franchise a été impeccablement respectée, et déjà là c’est un exploit. Si le contenant n’étonne pas, le contenu lui est à la limite du supportable. En regardant certaines scènes, je me suis demandé si un film m’avait déjà autant filé la nausée ? J’excepte le vénal et gratuit « Hostel » abject jusqu’au concept même. Et je n’ai trouvé aucune autre œuvre aussi gore. Genre sur lequel repose des scènes d’atrocité, de l’humour noir au pire moment et un rythme soutenu de l’action. Toutes ces qualités se trouvent dans le film de Liebesman. On pourrait demander plus, mais est-ce le but recherché ? A la vue des spectateurs dans la salle, visiblement amateurs et connaisseurs, il en ont eu pour leur argent.
Le retour du sergent allumé de Full Metal Jacket, la longue montée vers l’horreur de Leathersface, un geyser d’hémoglobine à la framboise, y aurait plein de bonnes raisons de jouir devant un tel spectacle mais on est loin du génie psychologique qui a fait le succès de l’œuvre originelle.
Bien que sur le papier, "Massacre à la tronçonneuse : le commencement" ne val pas grand chose, on ne peut nier l'impact qu'a ce déferlement de violence extrême sur nos esprits saints. Scénario d'horreur plus que classique, ce film qui nous explique les débuts d'une des plus célèbres et anciennes sagas du gore, se révèle tout bonnement horrible. Se joignant à une joyeuse bande de fanfarons composés de deux jeunes couples, le spectateur se laisse vite piégé dans cette abominable maison perdue du Texas. Générant une frustration et une colère sans nom puis nous fait voyager dans la douleur physique mais surtout psychologique, le long-métrage de Jonathan Liebesman terrifie et parvient à créer une ambiance qui valse entre la série B et le chef-d’œuvre horrifique. N'obtenant rarement satisfaction tout comme les personnages du film, le spectateur quittera cette aventure qu'avec une rage intérieure difficilement contrôlable devant tant d'injustice. Une bien grosse prise de risque qui aurait nécessité un travail plus approfondie sur le script pour générer le respect des maîtres de l'horreur.
Celui-là franchement est très bon, de l'angoisse, du sang, de suspense, ambiance sombre, le fait de raconter son enfance donne du piquant au film. Bref à voir !!
Hyper décevant ! Mal orchestré , Massacre à la tronçonneuse est trop prévisible . Souvent incohérent , le film s'appuie que sur du gore , en oubliant l'histoire . En plus, les acteurs sont ridicules . Bon , il y a du suspense , mais le reste reste faux . Certes , on prend bien , mais de longues scènes restent ennuyeuses . Ca tient limite comme un film d'horreur français , et ça reste bien trop mou pour être un incontournable . Ca démarre lentement , ça finit lentement , et en fait, tout est lent dans ce film .