Avis : Massacre à la tronçonneuse : le commencement - Page 4

Un film toujours aussi insoutenable par son sadisme mais qui relève d'un suspense assez virevoltant.

exellent, angoissant, flippant, gore a souhait, pour moi le meilleur de la série.

Enfin un vrai prequel de Massacre à la Tronçonneuse, qui a pour but de revenir sur la naissance du psychopathe qu’est Leatherface. Ce qui, a priori, aurait déjà dû faire Leatherface – Massacre à la Tronçonneuse 3 depuis bien longtemps (1990, pour être exact). Il aura donc fallu attendre un remake initié par Michael Bay pour voir cette occasion se profiler un jour. Cette fois-ci, ce n’est plus Marcus Nispel qui est en charge du projet, mais Jonathan Liebesman (dont c’est le second long-métrage), que nous connaîtrons par la suite via World Invasion : Battle Los Angeles, La Colère des Titans et Ninja Turtles. Autant dire qu’en connaissant déjà son pedigree, vous savez à quoi vous attendre de la qualité de ce film…

Pour être honnête, ce Commencement rempli aisément son cahier des charges et ce sur bien des points. À commencer par son statut de prequel, qui le forçait à nous donner bien des réponses sur Leatherface et sa famille cannibale. En parlant de cela, le Commencement n’est lié qu’au film de Marcus Nispel (le remake de 2003) et n’a donc aucun rapport avec la saga d’origine. Vaut mieux prévenir ! Et comme le remake n’indiquait pas que les Hewitt étaient en proie au cannibalisme, ce nouvel opus apporte la réponse avec un grand oui. Pourquoi le sont-ils ? Pour survivre à la fermeture de l’abattoir local, seule industrie qui leur permettait de gagner leur croûte. spoiler: En plaçant l’histoire en parallèle avec la guerre du Viet-Nam et en insistant bien sur le passé militaire du personnage de Charlie Hewitt/le shérif Hoyt
(pour faire resurgir la notion de survie), cela nous permet de s’attacher à une famille pourtant composées de dégénérés. De comprendre leurs diverses actions pour le moins macabres voire inhumaines.

De plus, ce Massacre à la Tronçonneuse iconifie enfin Leatherface, déjà rendu terrifiant dans le film précédent. Ici, nous assistons à sa naissance et, par le biais d’un générique récapitulatif, nous le voyons grandir et se faire rejeter de tous à cause de ses malformations physiques qui le pousseront à envier le visage des autres (d’où le fameux masque). Une mise en scène pour le moins classique qui parvient tout de même à mettre en valeur chaque détail reconnaissable de la saga, notamment grâce à la musique de Steve Jablonsky qui fait ressortir tout le côté « symbolique » de cet antagoniste : la première utilisation de la tronçonneuse, la conception du masque, sa silhouette…

Malheureusement, le film ne va pas plus loin que cela, en se présentant comme un énième opus de Massacre à la Tronçonneuse. Alors que son statut de prequel aurait pu lui permettre d’oser un scénario inédit, le Commencent se montre comme une sorte de remake en reprenant les mêmes situations et séquences des autres films, que le long-métrage de Nispel avait pourtant évité. Ainsi, nous nous retrouvons à nouveau en compagnie de jeunes gens qui vont se retrouver bloqués dans le Texas et qui vont être les cibles de notre famille de cannibales. spoiler: Tout en passant par la scène du dîner, qui répond une nouvelle fois présente, et en se terminant par un final qui se déroule une nouvelle fois à l’abattoir comme pour le film précédent.
Était-ce si compliqué de s’attarder sur la prise de pouvoir des Hewitt dans la région et le fait qu’ils aient commencé à tuer pour survivre ? Le résultat est sans appel : comme pour le The Thing de 2011, Massacre à la Tronçonneuse : le Commencement n’est en réalité qu’un remake caché derrière une étiquette de prequel.

Et qui propose les mêmes et éternels défauts du cinéma d’horreur, en pire que le remake. Comme il est dit, la mise en scène est si classique qu’à aucun moment nous ne retrouvons le côté poisseux et glauque du film de Nispel. À la place, nous avons une caméra qui s’attarde sur les séquences de tortures et de tueries (sans doute l’opus le plus gore de la saga) au lieu d’essayer d’instaurer une ambiance. Les jeux de lumière sont là, mais pas le reste ! Du coup, on se retrouve avec un film visuellement crade et qui ne jure que par ça, suivant des acteurs littéralement mauvais (sauf un R. Lee Ermey qui s’éclate) et sans jamais s’oser dans le second degré (encore une fois, le remake s’y risquait de temps à autre, et cela fonctionnait !).

Massacre à la Tronçonneuse : le Commencement ne sera pas l’opus le plus marquant de la saga, mais il reste néanmoins dans les bonnes grâces du remake grâce à sa participation scénaristique au mythe et à son côté divertissement qui fonctionne. Ce qui le sauve de son manque d’originalité vis-à-vis de la saga et de son manque d’envergure avec le film précédent. Mais pas d’un rendu final qui en blasera plus d’un.

Préquelle au premier film mais aussi au remake de 2003, ce "Beginning" vaut la chandelle en version non censurée. C'est très gore à certains moments, faut arriver à tenir, sérieusement. Ce film vaut le titre qui lui est attribué, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde, tous les personnages "mauvais" sont absolument fabuleux, des vrais malades.

Massacre à la tronçonneuse, un grand classique. Quel amateur d'épouvante n'a jamais vu ou même entendu parler de cette famille texane dégénérée qui capture les voyageurs et se les sert en ragout ?!! Un grand classique j'vous dis!! Cette version préquel de 2006 est en quelque sorte une consécration de barbarie humaine, une vraie boucherie. Derrière un contexte de guerre du Vietnam, on retrouve deux vétérans en compagnie de leurs petites amies qui ne feront pas un pli devant une armoire à glace tout droit sortie de la fange d'un abattoir. L'homme en question est impressionnant, aussi bien bourreau que boucher, défiguré dès la naissance par une maladie dégénérative. Dans la catégorie bande de jeunes qui se font massacrés, ceci est une référence de qualité ayant inspiré bon nombre de navets pas frais. Ici les geysers de sang sont suffisamment réalistes pour alourdir l'atmosphère et dépeindre le glauque en épouvante de premier ordre. Le mythique sergent-instructeur de "Full metal Jacket" refait surface sous le grade falsifié de shérif dépravé. Tout un programme... 4/5

"Massacre à la tronçonneuse, le commencement" de Jonathan Liebsman a été tourné en 2006. Par rapport à l'ensemble des films sur le sujet, celui ci constitue la "prequel" du script se déroulant de 1939 à 1969. Michael Bay producteur de ce film et du film de Marcus Nispel de 2003 est parvenu à conserver une certaine cohérence scénaristique entre les 2 films et a fait appel à des acteurs communs notamment R Lee Earney, dans le rôle du shériff.

Pour autant, cet opus ne révolutionne pas la saga ni le genre. Le scénario d'une pauvreté affligeante reproduit le schéma original (et celui de nombreux films d'horreur)avec 2 couples dans une voiture qui auront la malchance de croiser la famille de dégénérés cannibales. La réalisation n'a rien d'exceptionnel, ce film demeure donc dispensable dans la saga.

Casting agréable pour les yeux avec les 2 bimbos Diora Biard et Jordana Brewster mais seul R Lee Earney tire véritablement son épingle du jeu.

Voilà un vrai film d'horreur: sang, violence, démembrements, femmes qui reviennent toujours au lieu de partir, garçons à deux qui n'arrivent pas à s'échapper d'un seul vieil homme conduisant etc
En reprenant la genèse de Leatherface vu dans le remake trois ans plus tôt, le réalisateur arrive à reprendre tous les acteurs et nous offre encore plus de sang et d'horreur.
Culte, ce film peut le devenir avec du tronçonnage en règle, des actrices jolies mais au destin tout tracé.
Est il mieux que l'original; était il nécessaire? Nécessaire sûrement pas mais le résultat étant excellent et le film plus gore que le premier jet, moi je signe!
A noter que les réponses à toutes les questions que l'on se posait dans l'original sont ici et bien trouvées! Hein papy sur ton fauteuil roulant!
Un très bon film d'horreur, fait avec des moyens (Michael Bay à la prod.), qui ravira tous les amateurs du genre!
Un must!

Enfin la préquelle tant attendue. Non seulement on découvre la naissance, et trop rapidement l'adolescence, du serial killer cannibale
le plus dérangé du cinéma. On apprend comment toute cette folie meurtrière a commencé et comment "face de cuir" est devenu le prédateur à la tronçonneuse qu'on connait. Certaines scènes sont très gores, sadiques, font mal aux tripes et donne parfois envie de vomir. Bref, on retrouve l'ambiance familiale unique de cette famille de gros tarés tortionnaires. A voir pour les fans et les gens au coeur bien
accroché!

Outre un passage à vide vers le milieu, une mise en scène moyenne lors de la scènes avec les bikers et des « héros » peu profonds, cette préquel de The Texas Chainsaw Massacre est une sacrée boucherie et donc, un film d’horreur américain comme on en a pas vu depuis longtemps.
Porté par la magnifique Jordana Brewster, le film de Jonathan Liebesman surpasse la version de Marcus Nispel les doigts dans le nez grâce à une violence gorissime rarement vue dans un film de studio (merci à Michael Bay de produire de tels films) et à un humour noir franchement tordant (notamment avec quelques scènes très drôles avec le shérif Hoyt).
En déca de l’original du désormais moyen Tobe Hooper (se reporter à Mortuary ou encore La Danse Des Morts) mais largement meilleur que tous les autres opus réunis : Leatherface est enfin au sommet de son art.
Déjà-vu certes, mais terriblement jouissif

Joli prequel qui clarifie les zones d'ombre du classique de 1974.
C'est plus gore, moins pudique, mais il manque un personnage au scénario, dommage

Les intentions ne sont mêmes pas masqués: "la grande mode est au prequel alors situons l'action avant les évenements du un. Mais le remake hein. Ba oui les djeuns ils connaissent pas l'original et la plupart le verront jamais. Ensuite la deuxième grande mode dans le films d'horreurs c'est le sadisme à la saw et le gore, parce que les djeuns ils kiffent le gore ça fait trop cool. Bon aller faut écrire un scénar................. oh et puis non c'est chiant, on va faire comme n'importe quel film d'horreur une bande de quatres trous du cul qui vont se faire zigouiller dont deux très jolies nanas."
C'est vraiment comme ça que j'imagine la réunion des types qui ont décidé de faire un prequel à massacre à la tronçonneuse. ça n'a de commencement que le nom. les raisons de la folie meurtrière de la famille sont torchés en quinze minutes et ces raisons sont débiles: l'abattoir à fermé alors on va tuer tout le monde et les manger. Pour ce qui est du cas leatherface c'est pas mieux il en a marre qu'on le traite de débile et il est véner que l'abbatoir est fermé, c'est la goute d'eau qui fait débordé le vase il tue son patron dans son bureau et aller savoir pourquoi il y a une tronçonneuse à cet endroit.... dans le bureau du patron...... ensuite c'est basique 4 jeunes qui se font zigouiller, jolies filles bla bla bla le scénar' on s'en fout c'est gore c'est le principal.
Que ce soit gore pour rendre ça un peu plus moderne je veux bien mais lorqu'on prétend expliquer les origines du mythe on écrit un bon scénar comme celui de halloween et tant qu'à faire mettre un réalisateur concerné à la barre.

Beurk! un film d'horreur aussi moite que la version de tobbe hopper, aussi sanglant et aussi ecoeurant. Il faut avoir le coeur bien accroché. Du bonheur pour las amateurs

On se demande parfois qui est le vrai méchant de l'histoire : leatherface, cet homme sans personnalité et mou qui attend qu'on lui donne des ordres, ou bien le shérif obscène vraiment bourrin et pas du tout charismatique ? Quoi qu'il en soit, je ne suis pas convaincu par ce préquel du remake qui se trouve juste être un prétexte de plus pour montrer de nouveaux meurtres à la tronçonneuse. Après, l'univers poisseux du Texas que l'on se doit de réclamer dans la franchise est toujours présent !

j'adore coup de tronçonneuse dans la gueules et éclatement de la tronche a coup de marteau what else lol

Bon film, assez gore mais malsain a souhait (moins que l'original mais bon) il reste un bon divertissement et une bonne "remake"