Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Africultures.com
par Olivier Barlet
Il faut un coeur de pierre pour ne pas être ému par un tel film. On peut être gêné par le choix de Radu Mihaiheanu (...) de développer la tonalité épique sur une musique très lyrique pour les scènes phare,(...) trouver en somme qu'il en fait trop, mais il serait dommage de ne pas se laisser aller à l'identification proposée car elle nous amène sur de passionnants terrains.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Une fresque émouvante d'une grande intelligence de coeur qui mêle histoire et destin individuel.[...] A travers l'incroyable épopée sur vingt ans de son jeune héros, Schlomo, le cinéaste soulève les questions d'identité, d'intégration, de racisme, d'amour filial. Un film monté comme un opéra à trois temps enfance, adolescence, âge adulte et marqué par une ultime note, le cri déchirant d'une mère qui, enfin, retrouve son fils.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Va, vis et deviens commence comme un film historique (...) se fait vite un film sur l'émigration, le choc des cultures.[...] tout cela est dépeint avec générosité, une volonté de glisser de la fiction documentaire à la fresque lyrique, de faire sourdre l'émotion. En sus de sa sensibilité, Radu Mihaileanu a su utiliser la musique parfois épique d'Armand Amar et l'extrême délicatesse de ces deux comédiens que sont Yaël Abecassis et Roschdy Zem.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Ce grand et long film aborde avec simplicité, humanité et humour les thèmes essentiels comme le déracinement, les cultures, le racisme, la judéité, le conflit israélo-palestinien, l'amour... Yaël Abecassis incarne, avec une bouleversante justesse, le personnage de la mère. Au delà du destin des juifs ethiopiens, c'est à tous les émigrés (...) que rend hommage ce film. Alors allez, voyez, vous n'en reviendrez pas !
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Elle
par Elisabeth Quin
Un très beau mélo documenté (un poil trop long peut-être), qui a l'avantage de nous éclairer sans didactisme sur "l'opération Moïse", le sauvetage des juifs falashas d'Ethiopie. Zoomant avec une immense délicatesse sur le destin d'un enfant chrétien [...] le réalisateur décortique les déchirements identitaires de ce jeune homme.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Le réalisateur ne s'appesantit pas sur les moments tragiques, évitant ainsi de sombrer dans le mélo, et ponctue le film de pointes d'humour, sans que cela nuise pour autant à l'équilibre et à la crédibilité de l'ensemble. Les trois jeunes interprètes de Salomon/Schlomo (...), sont convaincants, au même titre que les parents adoptifs, joués par la merveilleuse Yael Abecassis et Roschdy Zem. Seule fausse note, la musique, dont on regrette les nombreux moments emphatiques.
Ouest France
par La rédaction
(...) de multiples thèmes passionnants nourrissent un scénario touffu qui ne fuit aucune difficulté ou embûche. Au contraire on y voit une pertinente envie de mettre le doigt sur tout ce qui, sous couvert de bonne conscience, peut relever de l'ambiguïté, de la contradiction et de la lâcheté notamment. Dommage, alors, que Radu Mihaileanu (Train de vie) se laisse parfois aller à des effets de mise en scène boursouflés pour rajouter de l'émotion quand la force de son sujet y suffisait.
Première
par Sophie Grassin
L'élan lyrique d'une épopée en Scope.[...] Mihaileanu fouille les contradictions de ses personnages, rend hommage aux mères et suscite souvent l'émotion. Mais il confond aussi ampleur et longueurs. Le film s'en ressent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Pete Wakefield
Si la première partie aborde brillamment le sujet en créant le parallèle de l'adoption d'une mère et d'une foi, la deuxième, qui suit l'enfant devenu adolescent, perd de son intérêt par manque d'enjeu narratif.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
(...) une fresque épique et émouvante - parfois jusqu'à l'excès (...)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
On sent que Radu Mihaileanu s'est emparé de ce sujet avec un véritable élan du coeur, une envie de dire la souffrance et le courage de tous les enfants qui, comme Schlomo, ont subi les chaos du monde. Le héros de Va, vis et deviens est même presque trop emblématique.[...]Radu Mihaileanu voudrait tout embrasser, tout dire ou dénoncer. Cet excès d'ambition et de générosité est quand même un heureux défaut ! [...] Sur cette entrée(de Schlomo) dans l'existence, sur l'amour maternel et l'amour tout court, rien ne manque. Et c'est fort, émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
Surtout, ne vous fiez pas aux images emphatiques du début, car cette fresque s'avère beaucoup plus juste que ça. [...] Intégration, judaïté, adoption, racisme... Mihaileanu brasse une multitude de thèmes, parfois avec maladresse. Mais son film, sincère, universel, bouleverse et vous hante longtemps après.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Hésitant entre scènes didactiques façon téléfilm édifiant et grandes envolées lyriques avec force ralentis et musiques solennelles, (...) Va, vis et deviens semble souvent écrasé par son sujet et ne parvient pas à décoller des pages de son imposant scénario. Avec son flegme et sa prestance habituels, Roshdy Zem parvient à émerger de ce leur pavé à thèse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Samuel Douhaire et Gilles Renault
(...) quiconque ferait la moue devant Va, vis et deviens pourrait passer pour un monstre. Et pourtant... La saga de Shlomo est loin d'être exempte d'imperfections : trop longue, trop lacrymale, trop illustrative. Certes, (...) Radu Mihaileanu ne manque ni de bonne volonté, ni d'ambition, mais seul le pathos a ici droit d'écran.(...) la première époque recélait quelques motifs d'encouragement (...) que gâcheront par la suite des effets lelouchiens dont le sujet, par sa seule force, aurait largement pu faire l'économie.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Va comme tu vas, vis la vie, deviens rien. Degré zéro du récit, maximum ennui.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Africultures.com
Il faut un coeur de pierre pour ne pas être ému par un tel film. On peut être gêné par le choix de Radu Mihaiheanu (...) de développer la tonalité épique sur une musique très lyrique pour les scènes phare,(...) trouver en somme qu'il en fait trop, mais il serait dommage de ne pas se laisser aller à l'identification proposée car elle nous amène sur de passionnants terrains.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Une fresque émouvante d'une grande intelligence de coeur qui mêle histoire et destin individuel.[...] A travers l'incroyable épopée sur vingt ans de son jeune héros, Schlomo, le cinéaste soulève les questions d'identité, d'intégration, de racisme, d'amour filial. Un film monté comme un opéra à trois temps enfance, adolescence, âge adulte et marqué par une ultime note, le cri déchirant d'une mère qui, enfin, retrouve son fils.
Le Monde
Va, vis et deviens commence comme un film historique (...) se fait vite un film sur l'émigration, le choc des cultures.[...] tout cela est dépeint avec générosité, une volonté de glisser de la fiction documentaire à la fresque lyrique, de faire sourdre l'émotion. En sus de sa sensibilité, Radu Mihaileanu a su utiliser la musique parfois épique d'Armand Amar et l'extrême délicatesse de ces deux comédiens que sont Yaël Abecassis et Roschdy Zem.
Paris Match
Ce grand et long film aborde avec simplicité, humanité et humour les thèmes essentiels comme le déracinement, les cultures, le racisme, la judéité, le conflit israélo-palestinien, l'amour... Yaël Abecassis incarne, avec une bouleversante justesse, le personnage de la mère. Au delà du destin des juifs ethiopiens, c'est à tous les émigrés (...) que rend hommage ce film. Alors allez, voyez, vous n'en reviendrez pas !
Studio Magazine
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Elle
Un très beau mélo documenté (un poil trop long peut-être), qui a l'avantage de nous éclairer sans didactisme sur "l'opération Moïse", le sauvetage des juifs falashas d'Ethiopie. Zoomant avec une immense délicatesse sur le destin d'un enfant chrétien [...] le réalisateur décortique les déchirements identitaires de ce jeune homme.
Le Point
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MCinéma.com
Le réalisateur ne s'appesantit pas sur les moments tragiques, évitant ainsi de sombrer dans le mélo, et ponctue le film de pointes d'humour, sans que cela nuise pour autant à l'équilibre et à la crédibilité de l'ensemble. Les trois jeunes interprètes de Salomon/Schlomo (...), sont convaincants, au même titre que les parents adoptifs, joués par la merveilleuse Yael Abecassis et Roschdy Zem. Seule fausse note, la musique, dont on regrette les nombreux moments emphatiques.
Ouest France
(...) de multiples thèmes passionnants nourrissent un scénario touffu qui ne fuit aucune difficulté ou embûche. Au contraire on y voit une pertinente envie de mettre le doigt sur tout ce qui, sous couvert de bonne conscience, peut relever de l'ambiguïté, de la contradiction et de la lâcheté notamment. Dommage, alors, que Radu Mihaileanu (Train de vie) se laisse parfois aller à des effets de mise en scène boursouflés pour rajouter de l'émotion quand la force de son sujet y suffisait.
Première
L'élan lyrique d'une épopée en Scope.[...] Mihaileanu fouille les contradictions de ses personnages, rend hommage aux mères et suscite souvent l'émotion. Mais il confond aussi ampleur et longueurs. Le film s'en ressent.
Score
Si la première partie aborde brillamment le sujet en créant le parallèle de l'adoption d'une mère et d'une foi, la deuxième, qui suit l'enfant devenu adolescent, perd de son intérêt par manque d'enjeu narratif.
TéléCinéObs
(...) une fresque épique et émouvante - parfois jusqu'à l'excès (...)
Télérama
On sent que Radu Mihaileanu s'est emparé de ce sujet avec un véritable élan du coeur, une envie de dire la souffrance et le courage de tous les enfants qui, comme Schlomo, ont subi les chaos du monde. Le héros de Va, vis et deviens est même presque trop emblématique.[...]Radu Mihaileanu voudrait tout embrasser, tout dire ou dénoncer. Cet excès d'ambition et de générosité est quand même un heureux défaut ! [...] Sur cette entrée(de Schlomo) dans l'existence, sur l'amour maternel et l'amour tout court, rien ne manque. Et c'est fort, émouvant.
Zurban
Surtout, ne vous fiez pas aux images emphatiques du début, car cette fresque s'avère beaucoup plus juste que ça. [...] Intégration, judaïté, adoption, racisme... Mihaileanu brasse une multitude de thèmes, parfois avec maladresse. Mais son film, sincère, universel, bouleverse et vous hante longtemps après.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Hésitant entre scènes didactiques façon téléfilm édifiant et grandes envolées lyriques avec force ralentis et musiques solennelles, (...) Va, vis et deviens semble souvent écrasé par son sujet et ne parvient pas à décoller des pages de son imposant scénario. Avec son flegme et sa prestance habituels, Roshdy Zem parvient à émerger de ce leur pavé à thèse.
Libération
(...) quiconque ferait la moue devant Va, vis et deviens pourrait passer pour un monstre. Et pourtant... La saga de Shlomo est loin d'être exempte d'imperfections : trop longue, trop lacrymale, trop illustrative. Certes, (...) Radu Mihaileanu ne manque ni de bonne volonté, ni d'ambition, mais seul le pathos a ici droit d'écran.(...) la première époque recélait quelques motifs d'encouragement (...) que gâcheront par la suite des effets lelouchiens dont le sujet, par sa seule force, aurait largement pu faire l'économie.
Cahiers du Cinéma
Va comme tu vas, vis la vie, deviens rien. Degré zéro du récit, maximum ennui.
Studio Magazine
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