Les films de Jean Becker sont souvent l'occasion de belles rencontres improbables, dans un cadre idyllique, avec une camera reposante. Pour cet opus, c'est un sentiment d'un film trop bavard et pas suffisamment creusé qui s'impose, c'est dommage.
Vu et revu avec toujours autant de plaisir et bonheur par moments ! Le concerto pour clarinette de Mozart à la fin, avec Daroussin allongé au sol, me met tjrs autant de frissons.... J'adore !
Pas le meilleur film de Jean Becker car manquant d'intensité, mais un bon film tout de même. Une histoire simple, de bons acteurs, de l'émotion. Un beau film sur l'amitié et sur les choses simples avec, en prime, une critique du parisianisme mondain.
Très joli film sur l'amitié et la maladie qui vient tout bousculer. Des interpretes plus vrai que nature et scénario interessant. Un des meilleurs film français de ces 10 dernières années. A voir absolument.
deux mondes completement differents qui se rencontrent : Daniel Auteuil un peintre intellectuel qui vit d idées et Jean-Pierre Darroussin simple jardinier qui lui ne vit qu avec ses fleurs. Et leur rencontre va être profitable à eux d eux et du coup va nous être profitable aussi à nous
un film simple comme le jardinage plutôt très intéressant mais une doublette d'acteurs telle que Auteuil et Darroussin pouvaient faire mieux, beaucoup mieux. à voir cependant.
Un film has been : la campagne et ses pecnos, des gens qui parlent bien et poliment, des gens qui aiment la peinture et le jardinage, des gens qui n'aiment pas trop la Ville et ses faux airs, des gens qui ont des valeurs traditionnelles. Non ya pas de fric, pas de flics, pas de tueurs en séries, pas de djeuns, pas de sexe. Eh bien bordel ça fait du bien de temps en temps et remercions ce formidable trio Becker-Auteuil-Darroussin pour ce moment de détente et de poésie et d'amitié. Bravo !
Très beau film, simple. Oui c'est un film de bourgeois bohême sur les bouseux, enfin c'est ce que dit certaines critiques. Jean Becker après les enfants du marais nous à pondu son deuxième meilleur film. Mention spécial à Jean Pierre Darroussin.