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Xyrons
692 abonnés
3 360 critiques
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4,0
Publiée le 21 avril 2009
Une très belle comédie de Jean Becker avec une prestigieuse distribution, Daniel Auteuil, Jean-Pierre Darroussin, Fanny Cottençon. Une belle mise en scène et une histoire plutôt originale. Le film est dynamique et chaque scène se savoure. On passe un très bon moment devant le film, 12 / 20.
Bizarre est le terme exact pour décrire ce film. D'un coté c'est un film très caricatural au niveau de ses personnages mais d'un autre coté on accroche a cette amitié. Un film simple, émouvant par moment, drôle à d'autres. Darroussin est vraiment très bon.
un peintre parisien revient habiter dans sa maison de campagne, pour s'occuper de son jardin il embauche un jardinier qui s'avère etre son camarade de classe à l'époque. Un excellent film sur la simplicité de la vie. Un duo d'acteur brillant. Un scénario simple mais qui sent bon la vie! à voir!
Le duo Daroussin/Auteuil fonctionne à plein régime pendant 1h50 mais l'histoire est pourtant bien ennuyeuse. Le titre en dit long certes mais on apprécie ces moments de papotages avec quelques répliques bien vues et un Jean Pierre Daroussin émouvant. Un film simple et plein de bons sentiments sous un soleil qui sent bon l'été.
C' est vrai, c'est simple, bien joué, la conversation entre les deux rôles principaux est touchante. Mais parfois à la limite de la carricature et gluant de bons sentiments. Dommage : plus de sobriété une mise en scène et des dialogues plus fins aurait confiné ce film au chef d'oeuvre. On en est loin, mais on passe un bon moment.
Hymne à l'amitié entre 2 hommes que, pourrait on croire, tout oppose et qui pourtant sont en totale osmose. Très émouvant... d'une grande pureté... beaucoup de délicatesse, d'élégance et de pudeur... beau tout simplement !!
On a beau savoir ce qui nous attend, on est tout de même effaré par le côté moraliste, étriqué, simpliste. Tout le film repose sur les échanges épouvantablement bavards entre les deux personnages, truffés de bons mots de dialoguiste. La morale qui en ressort est d’une tristesse affligeante : pour vivre heureux, vivons pépère, sans excès, sans passions, de toutes façon la mort est au bout. La pseudo mise en scène est en accord avec cet état d’esprit : aucune surprise, aucun décalage, tout est banal, il n’y a pas la moindre véritable idée de cinéma. Les personnages sont des assemblages de clichés, absolument pas crédibles. Pourtant, les deux acteurs sont attachants, on a un petit pincement lorsque l’histoire penche du côté triste. Mais léger, très léger, le pincement.
Le film tient ses promesses... intelligence des dialogues pour un sujet finalement très proche de nous : le juste rapport à trouver pour chacun entre nature et culture (avec un petit jeu de mots à la clé).
Malgré l'aspect caricatural du scénario (l'artiste parisien et le prolo campagnard qui se retrouvent...) et une réalisation bof bof, ce film se laisse regarder dans déplaisir, grâce à de bons dialogues et surtout deux bons acteurs très bien à leur place.
J'avais regretté de n'avoir vu le film à sa sortie. Je regrette un peu de l'avoir vu tout simplement ! personnages stéréotypés, clichés en pagaille. Auteuil est conforme à lui même, cad pas mauvais... Daroussin pas vraiement crédible comme homme de la terre, une faux à la mai. QQ belles images campagnardes et la scène à répétition du toutou derrière la mob, voila ce que j'ai trouvé de bon dans ce film sans profondeur. Ce résume le meiux la teneur et le niveau du film c'est la scène de pêche à la carpe... de la poésie et de l amétaphysique à deux ronds... dans l'eau.
Ce n'est pas la meilleur Becker mais il aura au moins le mérite de nous divertir sans jamais nous ennuyer durant les plus d'une heure quarante de film. Et si l'on peut apprécier le côté ou plutôt la fusion entre le rapprochement entre la peinture et la nature, on pourra regretter le côté "Ah, c'était le bon temps" qui plaira certainement aux nostalgiques des années cinquante-soixante. Mais au final, Dialogue avec mon jardinier est un film plutôt sympathique qui permet de donner un bon petit courant d'air dans ce déluge de productions Hollywoodiennes submergeant notre box office français.
Jean Becker reprend les thèmes de son très réussi "Les enfants du marais" mais il le fait ici sans passion ni conviction, ainsi l'opposition entre ville et campagne ne devient qu'un dialogue pompeux sans émotion.