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Un visiteur
1,0
Publiée le 24 avril 2010
Interressant , le ton est léger sur thème difficile , la manipulation . C'est bien traité sauf la fin qui est qui tente de s'élever dans le symbolique mais pour ma part , je m'attendais à une fin avec conviction ou un véritable dénouement
C'est un film très efficace qui ne parait pas très interessant en vue du sujet mais qui suscite beaucoup d'interet au fil des minutes. Il y a une ambiance très oppressante et qui nous tient en haleine. Le personnage d'Emma est extra de par sa complexité mais aussi dans l'interprétation. Un bon film.
CET OBSCUR OBJET DU DESIR. La tourneuse de page partagerait appartement. Isild Le Besco toujours aussi givrée (notre Béatrice Dalle en blonde) met le feu au piano et surtout à la sensuelle, innocente et magnifique Judith Davis.
Mon dieu, quel film! il y avait longtemps que cela ne m'était pas arrivé...tout est beau et puissant, scénario, musique acteurs avec une mention spéciale aux deux actrices principales et surtout à Isild le Besco......belle et habitée de bout en bout
Je ne m'attendais pas tout à fait à cela en visionnant ce film.
Avant tout, un bon point pour la musique qui accompagne tout le film.
Je m'attendais à voir une Emma plus méchante, plus malsaine, plus vicieuse... Elle n'est en fait qu'une jeune femme devenue limite psycho-rigide par la force des choses qui tombe amoureuse passionnément d'une jeune femme "légère" respirant la joie de vivre.
Marie, l'héroïne, en revanche, m'est apparue comme la plus "mauvaise" des deux. Elle torture le coeur et l'esprit de la pauvre Emma à qui il a suffit un instant de tendresse pour ne plus pouvoir vivre sans elle.
Pour ceux qui n'ont pas vu le film, ne vous attendez pas à une fin en apothéose ou en catastrophe, les choses ne sont que suggérées pour ces derniers instants.
Un petit bémol tout de même pour les quelques scènes "intimes" entre les deux femmes... cela manque de passion, le désir de l'autre ne se fait pas beaucoup ressentir, ou peut-être n'ai-je pas été assez réceptive...
Le film a été vendu dans la presse spécialisée avec une image sulfureuse liée au thème développé de l’homoséxualisté féminine ; Ilsid le Besco étant une habituée du cinéma underground qui n’hésite pas à payer de sa personne pour des rôles à fort engagement personnel. Il s’agit en fait d’une histoire d’amour vue au travers d’une relation dominant dominé entre deux jeunes filles, amies d’enfance réunies après s’être perdues de vue pour terminer leur études supérieures (médecine pour l’une et académie de piano pour l’autre). Ilsid Le Besco intrigue par sa beauté étrange. Aidée par une une mise en scène prenant d’emblée le parti du suspense elle donne immédiatement par sa blondeur diaphane une tonalité hitchcockienne à cette relation passionnelle. Classiquement la relation s’inverse et la plus forte n’est pas celle que l’on croyait. La période de la fin de l’adolescence est l’écrin idéal pour servir le jeu troublant qui s’instaure entre les deux jeunes femmes. Au-delà de la relation perverse, on peut comprendre les réactions de chacune par leur histoire familiale et leur origine sociale.
Film prometteur qui n'est pas sans rappeler des films comme "La tourneuse de page" et "4 minutes". Malgré deux actrices parfaites le film s'engouffre dans un parallèle BO-scènes qui s'avère pas si facile, l'ambiance lourde recherchée n'est jamais aboutie. Le fil de l'histoire est vite éventée on devine que trop bien la suite sans que la réalisatrice ne puisse placée un chouïa de suspense. Le film reste superficielle car trop en surface des sentiments, c'est bien dommage.
"Je te mangerais" n'a pas bénéficié lors de sa sortie en salles d'un nombre de copie exceptionnel. Pourtant ce petit film brille par son ambiance très oppressante et son jeu d'actrice notamment celui de Judith Davis qui est très juste. La musique est splendide. Le scénario est habile et bien fait. Les sentiments de Marie sont ambigus et le film le démontre très bien. Isild le Besco n'a plus a prouver son talent mais j'ai vraiment du mal avec son jeu d'acteur. On ne s'attend pas a la tournure que le film prend. C'est un film étonnant et très troublant. On n'en ressort pas indemne. Une réalisatrice a suivre.
Je viens de regarder "Je te mangerais", je n'ai pas totalement accroché. Emma est assez troublante, bizarre je dirais, même si elle est amoureuse de Marie. Marie, sadique dans son genre et bouleversée à la fois. J'ai perdu le fil à plusieurs reprises. La musique classique n'est pas se que je préfère, mais ce film est à voir.
Première chose : le titre est moche , je ne vois pas le rapport avec le film sinon les plans rapprochés au début sur le personnage d'isilde le besco 1 étoiles à ce film qui à le mérite d'avoir en bande son une belle référence classique ! quant au reste dommage les deux actrices tente tant bien que mal de tirer leur épingle du jeu malgré un scénario manquant d'originalité , si certains verront une tendance a supposer que dans le milieu musical on verse dans le psychodrame , les rapports lesbiens ne sont pas en reste tant le cinéma français à cette manie de noircir les relations .La mise en scène est bourrée de scènes bâclées et ratées , alors que celles ci auraient méritées qu'on s'y attarde ...Le film en soi est froid et au final ne suscite aucune émotion véritable malgré les divers tentatives de la part du scénariste . Il ne restera pas dans les annales pour ma part .
Cette relation malsaine entre deux étudiantes est assez bien décrite. On est mal à l'aise à plusieurs reprises par rapport aux deux protagonistes. Le huit-clos presque omniprésent met bien en relief la tension qui existe entre ces jeunes filles qui peinent à se positionner dans leur vie.
Si les scènes d'extérieurs sont tournées à Lyon, pourquoi avoir tourné toutes les scènes d'intérieur au Conservatoire de Paris si l'histoire se passe dans celui de Lyon ? Le film patauge sans vraiment convaincre, la folie des actrices est mal exploitée/expliquée. Et la musique, trop présente, est lancinante et devient inefficace.
Waouh, jamais le cinéma français m'avait une aussi belle claque de ma vie. Deux actrices, deux interprétations, deux caracteres, sa fonctionne vraiment bien. Je dis bravo à la réalisatrice.
Une collocation entre deux amies qui virent à la passion fusionnelle et charnelle, jusqu’au point de non retour. Marie est une étudiante qui part vivre à Lyon pour y étudier le piano et Emma, une étudiante en médecine. Ce qui les rapproche, c’est qu’elles sont seules et vulnérables, toutes les deux vivant dans un grand appartement vide et aux couleurs chaudes. Le piano à une place prépondérante au sein de ce drame et pourtant, c’est cette relation « malsaine » qui prend le dessus. Premier long-métrage pour Sophie Laloy qui retranscrit parfaitement cet amour difficile avec une mise en scène travaillée et qui prend le temps de nous immerger au cœur de ce duo destructeur. Ajoutez à cela, la très belle distribution (Judith Davis & Isild Le Besco). Je te mangerais séduit mais reste trop sage face à un pareil sujet.