Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
1,0
Publiée le 4 février 2007
Un film très décevant : il n'a d'ambitieux que le titre..Le mélange des genres est inadéquat, le personnage de simon totalement inutile et le héros du film n'est absolument pas convaincant. La seule à donner de l'intéret du film reste évidemment Karin Viard mais elle méritait quand même mieux que ce film de placard...
Quel interprétation de Karin Viard et Eric Caravaca, énorme! Le film prend une trajectoir du déjà vu, mais l'histoire est assz original et la mayonnaise prend. Le dénouement est plutôt flatteur et intéressant, et surtout le reflet des écrivains et des maisons d'éditions est parfaitement décrite. Catherine Corsini apporte de l'énergie dans une comédie intelligente. Le rire en france manquait de souffle, vraiment merci à elle. Jacques Weber à la classe et le talent qu'on connait de lui. Bref, une agréable surprise en ce début d'année. En plus j'étais sceptique,mais rappelons il y avait des comédiens en pleine effervescence dans cette histoire, ça aide... Ils y croient donc nous aussi...
Ce n'est pas que le film soit mauvais, mais on n'arrive pas s'identifier ou à s'attacher aux personnages, l'histoire est tirée par les cheveux et décousue et certaines situations improbables...
Un bon divertissement. Pas plus profond que ça mais joyeux et plutôt intelligent. Karin Viard et Gilles Cohen sont tres tres bons. La critique du cynisme des gens du domaine littéraire est bien écrite et pourrait sans doute aussi s'adresser au domaine coonematographique et musical.
La presse en accord avec les spectateurs en accord avec moi. On se demande ce qu'il se passe au début du film, le son est décalé de 0.25 secondes par rapport à l'image (problème de la bande?), et puis de toute façon les acteurs jouent très mal. Et puis peu à peu , l'histoire s'anime, et on se laisse prendre sans jamais assister à un chef d'oeuvre. Voila il décroche deux étoiles, mais qu'il ne fasse pas appel car il pourrait les perdre facilement.
Karin Viard a un tel abattage qu'elle rend tous les films dans lesquels elle joue agreable à voir. Eric Caravaca a un peu de mal a existé , ce qui n'est pas le cas de la révélation Gilles Cohen qui est époustouflant. A part le happy end (sans doute nécessaire pour les spectateurs se déplacent), ce film de Corsini est un moment que je conseille.
Pas de quoi se réjouir follement, pas de quoi lâcher les chiens d'une négation agressive, un petit film "du lundi quand il pleut" qui se laisse regarder.
Bigre que ce film montre un côté bien particulier des relations professionnelles quand elles décident justement de ne pas lêtre. Ce film manque néanmoins de constance dans le jeu des acteurs, par moment bon au dessus de la moyenne, à dautres moments très en dessous, et sans explications plausibles. Karin Viard est surprenante dans les débordements de son personnage égoïste et envahissant. Les petits coups en traitres font parties du décor bien évidemment, mais contrairement à la réalité, ici larroseur se fait arroser et on nest pas mécontent de ce happy end ce qui fait une moyenne avec nos propres expériences avec des ambitieux, nest ce pas Mazarin ?
C'est enlevé, c'est bien joué (Karin Viard très belle, à son sommet). Mais c'est profondément irréaliste et immoral.Le pauvre petit libraire de village provincial terne et complexé dont s'éprend quasiment en un claquement de doigts la première lectrice hystérique et arrogante d'un grand éditeur parisien, déjà quelque chose de la confiance dans le récit est cassé. Donc les divers retournements psychologiques des personnages laissent sceptique trahissant méconnaissance et même mépris pour les finesses et subtilités de l'amour propre.Mais, surtout, surtout, le ressort principal du scénario, je nomme l'énorme indélicatesse, que dis-je, le VOL, de documents personnels par le petit libraire scribouillard, qui lui permet, après quelques péripéties, d'accomplir son destin de néorastignac, est totalement passé sous silence. Comme si c'était normal, voire bien. La victime n'en parle pas, pire elle remercie son voleur comme s'il avait foncièrement fait une bonne action. Les Ambitieux (2006) est un peu moins antipathique et un peu plus cohérent que La Répétition (2001), mais aussitôt vu aussitôt oublié. Malgré les allusions à Shakespeare, Dostoïeveski, malgré les retournements de situation, une sorte de même manque de vérité et d'humanité. Un cinéma moyennement sympa.
Je l'ai vu deux fois . La première j'ai pas accroché , n'en avait pas vraiment de souvenir. Puis il est passé à la télé . Il s'agit de l'histoire d'une éditrice manipulatrice et assez puante très bien interprétée par Karin Viard qui va se prendre dans les filets d'un jeune écrivain. Un ejolie comédie sentimentale .
Gentillet sans plus. Se laisse regarder, mais n'est pas Meryl Streep qui veut et K VIARD peine dans son rôle de pathétique névrosée qui fait la pluie et le beau temps dans la maison d'édition. Les acteurs eux sont bons, mais le copain clochardisé, que vient-il faire dans cette histoire sinon jouer les utilités. La chute téléphonée est plutôt sympa pour terminer ce film sans ambition et bien français.