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Prenez l'amant n°1 du cinèma français (Michel Piccoli) et l'èternel jeune premier du cinèma français (Jacques Perrin), opposez les tous les deux dans "La part du feu", rèalisè par Etienne Périer, en y ajoutant au milieu la très belle Claudia Cardinale, et vous obtiendrez à l'arrivèe un thriller en forme de drame sur les scandales immobiliers des 70's! Ce thème a ètè souvent traitè à l'ècran! Heureusement, les acteurs sont bons! Piccoli est remarquable où il tient un rôle ambigu à souhait, que son personnage de promoteur immobilier n'a pas fini de surprendre! Perrin, lui, livre une interprètation aussi incertaine que son partenaire! Mais ce n'est pas tous les jours qu'on peut voir la Cardinale aussi dèsorientèe et vulnèrable! Regrettons l'alternance de temps forts à vous donner le vertige et de temps faibles! Reste qu'à la fin, le spectateur est bousculè! La vie doit continuer, les affaires aussi! Et que pour en arriver là tous les moyens sont bons, n'importe lesquels [...] Notons la prèsence de Hèlène Vincent en veuve èplorèe et celle, plus anecdotique, de Mr Univers 76...
soniadidierkmurgia
Etienne Périer est un cinéaste belge aujourd'hui complètement oublié qui avant de se consacrer à partir des années 1980 à la télévision aura tourné 14 longs métrages dont plusieurs coproductions européennes dans les années soixante avant de signer quatre films noirs plutôt réussis dont "La part du feu" écrit par Dominique Fabre . Michel Piccoli qui est alors abonné aux rôles de grands bourgeois ou de patrons cyniques campe un promoteur sans scrupule qui découvrant que sa femme (Claudia Cardinale) l
spoiler:
e trompe avec son jeune adjoint (Jacques Perrin) choisit de s'accommoder de la situation pour tenter de garder le contrôle sur ceux qui l'ont trahi
. Sur près de deux heures étouffantes, le scénario plutôt malin et retors diffuse un parfum toxique permettant aux trois acteurs en parfaite osmose de délivrer chacun à sa manière une prestation ambigüe totalement convaincante. Le spectateur ne sachant plus très bien qui spoiler: manipule qui , finit pas accepter avec soulagement la fin douloureuse qui clôt ce jeu de dupes dont il était écrit dès le départ qu'il serait mortel
. Une réussite méconnue rappelant combien Michel Piccoli était un immense acteur ayant la particularité rare de faire briller ses partenaires.
. Sur près de deux heures étouffantes, le scénario plutôt malin et retors diffuse un parfum toxique permettant aux trois acteurs en parfaite osmose de délivrer chacun à sa manière une prestation ambigüe totalement convaincante. Le spectateur ne sachant plus très bien qui spoiler: manipule qui , finit pas accepter avec soulagement la fin douloureuse qui clôt ce jeu de dupes dont il était écrit dès le départ qu'il serait mortel
. Une réussite méconnue rappelant combien Michel Piccoli était un immense acteur ayant la particularité rare de faire briller ses partenaires.
pierrre s.
Michel Piccoli est très bon en homme d'affaire manipulateur et prêt à tout. Pour le reste, le film évolue dans un faux rythme et ne parvient pas à tenir la distance.
Il y a quand même largement plus de pornos de la même époque qui ont plus d'intérêt pour raconter exactement la même histoire
Un film de la grande période des scandales immobiliers où frayent toutes sortent d' arrivistes, promoteurs immobiliers, banquiers, homme politiques et fonctionnaires qui n'ont qu'une devise tout les moyens sont bons pour en arriver là. Malheureusement la réalisation d' Etienne Périer n' est pas fantastique. Si Michel Piccoli tient parfaitement son rôle de promoteur manipulateur et ambigu les autres personnages ne sont pas très convaincants. De plus Le film n'arrive jamais à trouver son rythme.
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