Bon film, une histoire qui sort un peu du commun, du bon suspence et des acteurs crédible. Le point faible selon moi, c'est le dénouement qui est trop baclé, trop facile, trop sans intérêt quoi...
Un polar filmé dans un Paris méconnaissable, à l'ambiance suffocante et pestilentielle. C'est à partir d'un roman de Fred Vargas que Regis Wargnier nous entraine sur la piste d'un "semeur" de peste. Une intrigue aux allures de moyen-age. Pourtant, on ne retrouve pas beaucoup de l'interêt du bouquin très documenté et truffé de références à cette période. Bon, Serrault et surtout José Garcia sont formidables dans cette adaptation noire. On se régale aussi de quelques scènes d'actions dans lesquelles finalement Wargnier excelle. Mais ce sont les seules compensations. A choisir, on fini par préférer le choléra!
Interprétation médiocre, personnages plats, histoire bancale et réalisation particulièrement ratée… Malgré une intrigue qui semblait un peu originale tous les effets tombent à plat : comme ce film.
Honnête adaptation du roman de Fred Vargas qui reste fidèle à l'intrigue. Se reposant sur un casting brillant (Garcia & Gourmet en tête, Régis Wargnier a tourné un bn polar où l'intrigue se mêle à une étude psychologique de chaque protagoniste. Ca manque tout de même d'un peu de rythme et d'humour, 2 éléments qui existent pourtant dans les romans de Fred Vargas.
Dès les premières minutes, on se demande ce que l'on fait dans la salle tellement la musique est hideuse... Très vite, la sortie semble nous appeler à grands cris. Je suis resté jusqu'au bout ! Une mise en scène ampoulé d'effets stylistiques inutiles et immondes ! Des acteurs en petite forme ! Des scènes d'action risibles ! Et surtout un scénario baclé ! Vite à oublier !!!!!!!!
Le sénario comme bien, bon rythme et personnages crédibles, mais on se doute assez vite que Marion Cotillard n'a pas été engagé comme figurante et qu'elle a son rôle à jouer...du coup c'est un peu trop téléphoné vers la fin ! Dommage... Allez, tout de même 2 étoiles, une pour Garcia (toujours au top) et une autre pour la beauté de certaines prise de vue...en bref, un bon divertissement !
13/20 "Pars vite du cinéma et n'y reviens pas." Régis Wargnier brosse (à ne pas comprendre avec Warner Bros) un joli Paris, mais son pari de nous distraire est raté. Les acteurs: bof, bof... mais ce qu'est bien: la BOF. Amateur de peste, donc de rat, préférez le film Ratatouille (je dois vraiment être désespéré pour faire la promo de ce film...). Bref un film à ne pas fuir comme la peste... mais presque.
Se laisse ragarder pour les prestations de José Garcia et des acteurs de ce film,on attend qu'il se passe quelque chose d'intéressant dans ce film mais rien,peu d'action,peu de supsense,...Je m'attendais franchement à mieux!
Quel calvaire pour arriver au générique de fin!! ça commence pas trop mal... mais alors après, quelle pitié! rien ne va plus, acteurs, rythme, dénouement : NUL! On espère jusqu'à la fin un évènement pour sauver ce "film", hé bé non! res! ça donne même envie de rire tellement c'est pauvre... Par contre le titre est pas mal, il faut partir vite et revenir plus tard...bien plus tard!
Peur sur la ville...et sur la destinée de la nature humaine. Après "Le couperet" et "Le 7ème jour", le saltimbanque José Garcia confirme toute la palette de son talent dramatique. A l'instar de Adamsberg, le commissaire solitaire qu'il interprète, tous les personnages de "Pars vite et reviens tard" sont des êtres détruits par les épreuves de la vie. Son associé de la brigade criminelle, Adrien Danglard (Lucas Belvaux), vit seul avec ses deux enfants, tandis que le bohème Joss Le Guern (Olivier Gourmet) vient poser ses cliques et ses claques à la pension Decambrais, tenue par un ancien prof de lettres classiques (le regretté Michel Serrault), soupçonné à tort d'attouchements sur l'une de ses élèves, qu'il traîne derrière lui comme un boulet. En retranscrivant fidèlement, le roman policier de Fred Vargas, Régis Wargnier ("Je suis le seigneur du château", "Indochine", "Est-Ouest") rend parfaitement le climat suffocant qui plane au-dessus de Paris, tandis qu'un individu tague des "4" inversés sur la porte d'entrée de certains appartements de la capitale. Adamsberg doit se rendre à l'évidence, ce symbole est le signe avant-gardiste d'une nouvelle épidémie de peste. Au final, l'enquête policière est reléguée au second plan; il s'agit, en fait, d'une vengeance familiale dont la cause trouve ses origines quelque part dans les contrées sauvages du Sud-Kivu (une province du Congo actuel). En dépit de la déception qu'occasionne l'intrigue, le réalisateur met intelligemment l'accent sur la psychologie des intervenants perdus dans un Paris sans âme... à la recherche effrénée de l'amour... auquel ils ne croient plus du tout !