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Certes, ce joyeux foutoir pas toujours très maîtrisé reste une bonne façon de rire de l'absurdité de l'existence, mais on était en droit d'attendre plus incisif de la part d'un cinéaste qui n'a jamais fait l'ombre d'une concession.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
(...) c'est parfois plus profond que cela n'en a l'air, mais alors Lounguine s'empresse de passer à autre chose. Ce en quoi il a bien raison, même si forcément cela ne plaît pas à tout le monde, car il entretient ainsi l'esprit de la farce, hélas bien vascillant par ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cette ville factice (...) est la métaphore d'un pays qui, devant une caméra trépidante, retrouve son folklore, son goût des fantômes, son ivresse de la vie et une sexualité débridée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les accès loufoques et surréalistes de Kusturica ainsi que certaines comédies italiennes décapantes des années 60 patronnent l'ensemble, et les comédiens, excellents, s'en donnent à coeur joie. Malgré la lourdeur d'une ou deux scènes obligées et un final rapidement expédié, le résultat est fort sympathique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Ce faisant, [Pavel Lounguine] évoque au passage, l'air de rien, les pires tragédies du XXe siècle. Chapeau bas.
aVoir-aLire.com
Certes, ce joyeux foutoir pas toujours très maîtrisé reste une bonne façon de rire de l'absurdité de l'existence, mais on était en droit d'attendre plus incisif de la part d'un cinéaste qui n'a jamais fait l'ombre d'une concession.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) c'est parfois plus profond que cela n'en a l'air, mais alors Lounguine s'empresse de passer à autre chose. Ce en quoi il a bien raison, même si forcément cela ne plaît pas à tout le monde, car il entretient ainsi l'esprit de la farce, hélas bien vascillant par ailleurs.
Le Monde
Cette ville factice (...) est la métaphore d'un pays qui, devant une caméra trépidante, retrouve son folklore, son goût des fantômes, son ivresse de la vie et une sexualité débridée.
MCinéma.com
Les accès loufoques et surréalistes de Kusturica ainsi que certaines comédies italiennes décapantes des années 60 patronnent l'ensemble, et les comédiens, excellents, s'en donnent à coeur joie. Malgré la lourdeur d'une ou deux scènes obligées et un final rapidement expédié, le résultat est fort sympathique.
Paris Match
Le scénario est un peu décousu, mais la musique communique la mélancolie et l'ivresse de la vie.
Score
Un opportunisme dans le style qui agace et ne rend pas l'oeuvre originale.
Télérama
On aime sa truculence, ses dérapages constants vers l'absurde, voire le fantastique. On aime un peu moins la facilité de certaines silhouettes
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
Paval Lounguine (Taxi blues) à la recherche de sa réussite passée dans une farce déjantée qui lorgne du côte de Kusturica. Sans beaucoup convaincre.
Positif
chaque plan claque bien comme une cymbale...mais ne retentit qu'un épuisant tintamarre.
Première
(...) l'énergie féroce rime ici trop souvent avec volontarisme hystérique. Décevant...
TéléCinéObs
A force de beuveries, de hurlements et de frénésie sexuelle, [ce] film se transforme en une sarabande rapidement soûlante.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Mais qu'est-il arrivé à Pavel Lounguine ?