Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jean-Luc Douin
A travers ces leçons de danse, ce beau film met par exemple en lumière la grâce et l'invention des "pliés sur pointe", qui touchent même un néophyte. Cocteau disait de Lifar qu'il avait redonné à "un art assez ridicule" son "caractère sublime et religieux".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Marine Noratz
Un fim généreux ponctué d'extraits de "Spectre".
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
par Daniel Conrod
Excès de révérence, refus délibéré ou manque d'ambition ? En tout cas, le réalisateur s'enferme dans le cul-de-sac de la ballettomanie. De la vie et de la personne de Serge Lifar, créateur de génie et piètre citoyen, le spectateur n'apprendra pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
A force de célébrer l'artiste et non la personne, ce document laisse le spectateur sur sa faim.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
A travers ces leçons de danse, ce beau film met par exemple en lumière la grâce et l'invention des "pliés sur pointe", qui touchent même un néophyte. Cocteau disait de Lifar qu'il avait redonné à "un art assez ridicule" son "caractère sublime et religieux".
TéléCinéObs
Un fim généreux ponctué d'extraits de "Spectre".
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Télérama
Excès de révérence, refus délibéré ou manque d'ambition ? En tout cas, le réalisateur s'enferme dans le cul-de-sac de la ballettomanie. De la vie et de la personne de Serge Lifar, créateur de génie et piètre citoyen, le spectateur n'apprendra pas grand-chose.
Zurban
A force de célébrer l'artiste et non la personne, ce document laisse le spectateur sur sa faim.