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this is my movies
700 abonnés
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3,5
Publiée le 20 octobre 2016
Après une flopée de navets dans lesquels J. Li a dilué son talent et renié certains pans de son art, il décide donc de rentrer au pays et il retrouve donc un autre revenant en la personne de R. Yu. Ils offrent donc aux yeux du spectateur amateur du genre un festival de combats virtuoses qui en foutent plein la vue et dans lesquels un J. Li plus puissant que jamais multiplie les coups et les mouvements spectaculaires. Bon, l'histoire est assez moyenne, certains côtés racistes peuvent également choqués (ou pas, puisque notre passé colonial non-assumé nous rend assez indulgent avec les opprimés) mais l'essentiel est ailleurs, malgré certains passages dramatiques poignants ou bien traités. Un bon film de baston, parfois très violent et qui réserve certains des meilleurs combats de la décennie. Un must du genre. D'autres critiques sur
Si le scénario ne transgresse pas les codes du genre.Jet Li impressionne par des combats superbement chorégraphié.Dont le rendu a l’image est impressionnant.
J'ai vu un film... qui m'a beaucoup déçu... Les images "d'Epinal" de la Chine équivalent à des stéréotypes assez habituels, les décors sont moyens, la dramatisation navrante, les images de qualité moyenne et la réalisation peu inspirée.Etpour couronner le tout Jet Li exprime autant d'émotions qu'un 38T à pleine vitesse dans une pente avec les freins qui lâchent... Et beaucoup de ses adversaires sont des caricatures, avec des efforts de poings qui partent mais qui n'arrivent pas... La seule petite nouveauté, c'est la notion de respect réel qui se noue entre le personnage principal et la karatéka japonais... Mais à part, ça, rien de transcendant... Les combats sont le seul atout du film... qq scènes assez impressionnantes avec d'excellentes chorégraphies. mais à ne suffit pas à faire un bon film...
Le principal intérêt de ce film est de replacer la pratique et l'apprentissage des arts martiaux dans le contexte historique et social, à la fois du point de vue intérieur à la Chine, et du point de vue international avec la colonisation et l'exploitation de la Chine. Cette adaptation de la vie de Huo Yuanjia permet véritablement de prendre la mesure d'une autre aspect de la colonisation et des enjeux psychologiques de la domination d'un peuple sur un autre. Quant aux scènes d'action, elles sont filmées mises en scènes au cordeau et bien sûr exécutées à la perfection par Jet Li et les acteurs.
Excellent film, je suis époustouflée par la nouvelle prestation de Jet Li dans le rôle de ce personnage de l’histoire de Chine et des arts martiaux sont bien situés, de réel événement contextuel, de superbes chorégraphies, l’intrigue tourne vers l’excès de dramaturgie sur Huo Yuan Jia, j’ai ressentie peu d’émotion, le fond philosophique est intelligent, pas de manichéisme, et c’est apaisant, se défendre sans impulsivité, avec une juste réaction face à l’agression, le dénouement d’une tragédie folklorique.
Le film de Ronny Yu renoue avec les origines puritaines du kung-fu qui a fait la renommée du cinéma asiatique. Toujours aussi impressionnant, cet art est doutant plus sublimé par la présence du très grand Jet Li qui a su remplacer son prédécesseur en la personne de Bruce Lee. L'histoire en elle-même n'offre rien de bien sensationnelle puisqu'il s'agit une nouvelle fois de montrer le courage, la persévérance et l'honneur d'un homme prêt à tout pour racheter ses erreurs de jeunesse. En revanche, les combats sont l'atout majeur du film: ils sont éxécutés à la perfection, rapides, violents sans trop tomber dans les cascades impossibles (les combattants qui volent, très peu pour moi). Jet Li prouve une nouvelle fois qu'il est très doué pour les arts martiaux, peut-être moins pour le côté dramatique du film où il peine davantage à convaincre. Cela dit, les personnages ne sont pas trop creusés donc on ne peut pas trop lui en vouloir. Pour conclure, le Maître d'Armes est un film sans ambition mais qui gagne un peu d'intérêt grâce au Kung-Fu...
un Excellent film d'action et d'art martiaux chinois tirée d'une histoire vraie . du grand cinema in Jet Li au top ! dommage que ce film est pas aussi connu que certains gros film d'action car il mérite mieux et mérite plus de diffusion TV . le film et un peu long par fois mais sinon impeccable !
Le travail de chorégraphie effectué par Yuen Wo-Ping est tout simplement éblouissant. Les qualités martiales de Jet Li sont époustouflantes. Les effets spéciaux et de mise en scène de Ronny Yu sont excellents. Mais tout ce déploiement extraordinaire de prouesses techniques de toutes sortes ne parvient pas, une seule seconde, hélas, à cacher le manque chronique d’originalité d’un scénario constitué de scènes de romance mièvres et éculées, d’évocations historiques anémiques, et d’une psychologie de personnages excessivement simpliste. La déception est d’autant plus grande que la sortie récente et régulière de certains films coréens, japonais, et chinois ne laisse plus douter que perfection martiale, subtilité scénaristique, et lyrisme pictural peuvent aller de conserve.
Le Maître d'armes est un grand film de kung-fu comme on en voit rarement car la richesse des combats est accompagnée d'un scénario émouvant, certes classique, et remplis de moralités. Ce qui n'est pas évident à combiner et à rendre efficace. Le Maître des Armes à quelques similitudes avec Tigre et Dragon de Ang Lee, ce qui donne un aperçu de la qualité du film. Les acteurs, Jet Li en tête, font preuves d'un jeu sans faille. Ajouter à cela des décors sublimes et une bande son de toute beauté, ce qui contribuent à rendre cette épopée magique, captivante. A voir, et à revoir.
J ai été agréablement surpris par ce film . Je ne pensais voir qu un film d action de plus et en fait il y a aussi une réflexion assez mystique plutôt bien vue qui passe très bien . Il faut aussi noter que Jet Li est intéressant et donne une vraie dimension à son personnage. La mise en scène très rythmée met en valeur le reste .
Jet Li ne pouvait rêver meilleur hommage : Le Maître d'arme est au moins aussi bon que les références du genre, tel que Il était une fois en Chine. Là ou les néophites du cinéma de HK ne veront qu'un film de "combat" bien chorégraphié, les connaisseurs apprécieront le dernier Jet Li dans le rôle d'un maître d'art martiaux. Ce film boucle la boucle d'une carrière fantastique dans ce domaine. Le film en lui-même présente deux parties très distinctes, aussi agréables l'une que l'autre : un deroulement classique avec la rédemption et la recherche de la sagesse chère aux arts martiaux. Les images sont d'une qualité remarquable, la pellicule granuleuse des classiques de HK ayant laissé place à un matériel numérique et a une post-production bien plus maitrisés. Seul regret, la production a taillé dans le film, comme en témoigne l'absence de Michelle Yeoh, qui fait pourtant partie du casting. D'autant qu'on peut reprocher au film d'aller vite en besogne dans le dernier tiers, et de ne pas approfondir assez certains protagonistes. Dommage. Il faudra donc guetter la version longue. En attendant, je conseille le Maitre d'arme à ceux qui souhaitent découvrir un genre de film qui a régné dans les années 90 et qui restent toujours assez méconnus.
Doté d'un scénario bien écrit, "Le Maître d'armes" mise surtout sur une excellente mise en scène. En effet, la réalisation offre des scènes d'action époustouflantes avec le meilleur des arts martiaux. On sent donc un travail approfondi et maîtrisé. Par ailleurs, les acteurs sont convainquants et Jet Li est très intéressant. Ainsi, le film captive et divertit jusqu'au bout dans une histoire touchante.
Moins fort qu'"Ip Man" mais tout de même très plaisant, "Le Maître d'armes" de Ronny Yu représente très bien les films d'arts martiaux asiatiques. Insistant bien sûr sur des combats épiques qui s'améliorent au fur et à mesure que le film avance, le côté émotion a également été incorporé dans ce long-métrage. Certes pas aussi approfondi qu'on aurait pu le souhaiter, la psychologie du personnage principal, joué par un Jet Li à la hauteur de sa réputation, reste relativement superficielle et ne parvient que partiellement à combler les moments de calme et de silence. La non censure et la beauté des enchaînements rattrapent heureusement ce petit bémol qui venait entaché l'appréciation du spectateur. Rapides, variés et très travaillés, les différents combos pourront servir d'exemples aux films d'actions américains où les enchaînements de Jason Statham commencent à faire leur temps.
Scènes de combats assez bien filmées, pas trop d'envolées, pas trop de rapidité dans le mouvement de la caméra pour cacher les imperfections, un jeu d'acteur comme on pouvait s'y attendre (nous sommes bien loin du niveau d'un Tatsuya Nakadai dans Kagemusha (Akira Kurosawa), mais le réalisateur n'est pas le même...), mais le pire..., c'est un scénario qui frise avec la caricature populiste, liant l'histoire d'un homme à celui d'une terre natale et de sa civilisation : les gentils cowboys, qui aiment à être gentils ou qui comprennent qu'il faut y aspirer, sont attaqués par les méchants indiens, qui eux ne comprennent pas, ne peuvent pas, ou si peu, et à condition!