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chrischambers86
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3,0
Publiée le 27 avril 2013
Bien rèjouissant ce "Rogue", vèritable trait d'union entre le cinèma divertissant et le cinèma d'èpouvante! Des acteurs qui font leur boulot, des paysages magnifiques (les gorges de Katherine, l'une des merveilles du territoire australien, paradis des oiseaux aquatiques et des crocodiles) et un crocodile monstrueux et souvent affamè! Tout cela s'affirme d'une ètonnante simplicitè et on retrouve le côtè gratuit de "Alligator" de Lewis Teague et consorts! De la mècanique bien huilèe, pas indispensable mais efficace, avec de futures grandes stars à leurs dèbuts tels que Sam Worthington en merdeux de service et la jeune Mia Wasikowska...
Un film type horreur qui met en vedette un crocodile meurtrier de 7 mètres comme on en trouve par ailleurs et aussi le sublime environnement et paysage du nord de l'Australie. Car au delà de la réussite du film du côté du scénario basique mais bien conduit, des effets spéciaux et des acteurs, on en prend plein les yeux avec des paysages magnifiques, sauvages et semblant venir d'un autre temps très ancien, à l'aube de l'humanité. La vedette principale de ce film australien est la locale Radha Mitchell, comme toujours parfaite, en pilote d'un petit bateau à fond plat transportant des touristes sur une rivière qui serpente entre canyons et zones marécageuses. Sublime car tourné pour partie en zone et décors naturels et très bien complété pour d'autres scènes en studio,ils vont entrer sur le territoire d'un grand mâle et deviennent à ce moment une proie, de la chair à fixer et dévorer après avoir percuté violemment le bateau. La petite île sera un refuge bien précaire et peu à peu les victimes se succéderont. C'est spectaculaire, en tension, réaliste sans tomber dans le too much du croco genre dinosaure et c'est de plus inspiré d'une histoire vraie. Michael Vartan est ici étonnant pour donner le change à Radha Mitchell et se transformer en héros malgré lui. Un excellent film entre aventure et horreur, au rythme et à la tension constante.
Terriblement bien réalisé, le réalisateur nous plonge dans une atmosphère ou le suspens règne. Les effets spéciaux sont parfait et ne sont pas utilisé à tort et à travers. Solitaire est un film à suspens très réussi. On y croit à tel point que l'on a vraiment pas envie d'aller dans ce genre d'expédition, voire meme dans ce genre de région...
Solitaire est un nouveau film du genre qui traite d'une histoire de crocodile géant mangeur d'hommes dans les eaux sombres d'un parc Australien. Le scénario, bien que mainte fois exploité et n'offrant aucune surprise reste agréable à voir grâce aux somptueux décors mais également grâce aux jeux des acteurs. On y retrouve Radha Mitchell [Pitch Black, Les Orphelins de Huang Shi], Michaël Vartan et bien sûr, Sam Worthington [Avatar, Le choc des Titans] en petit caïd local. Le film se centre davantage sur la réaction et le comportement des personnages face à un crocodile monstrueux, plutôt qu'à la traque en elle-même. Les passages où les individus se font dévorer ne sont pas sanglants ni gore, ça reste très "soft". Bref, il s'agit d'un des meilleurs films du genre avec un croco' plus vrai que nature et des acteurs plutôt bons dans l'ensemble.
Seconde réalisation pour l'Australien Greg McLean après le corrosif Wolf Creek (2006), il se lance dans un tout autre genre, le film de monstre ! Lors d'une mini-croisière touristique au fin fond de l'Australie, un groupe d'Américain déchantent lorsqu'un énorme crocodile vient perturber leur paisible voyage. Le coin est réputé pour ses crocos, mais manque de chance, celui-là est sur les nerfs et digère mal l'arrivée de ces Ricains sur son territoire. Là où Greg McLean continu de nous épater (après son précédent film), c'est dans la mise en scène où durant toute la première partie du film, on ne verra jamais le fameux croco, tout est suggéré, la tension est présente au coeur de ses splendides paysages. Seul bémol, le film accuse dès la seconde partie, une lenteur incroyable, long et mou, le film parvient de justesse (entre deux ou trois bâillements) à retenir notre attention grâce aux superbes SFX que l'on doit à la renommée Creature Workshop.
On était en droit de s'attendre au pire : un énième film d'horreur avec un crocodile géant. Mais si "Solitaire" est bien une série B avec un crocodile géant, elle est plutôt réussie reposant sur des décors naturels que Greg McLean sait très bien filmer, nous offrant non seulement de beaux plans mais aussi une belle tension qui monte au fur et à mesure du film, certes assez calibré mais tout de même surprenant dans certains moments notamment celui où Michael Vartan (ici très convaincant) se retrouve seul face à la bête (très réaliste) dans son repaire. Quelques beaux moments de bravoure et le tour est joué, le tout sans être ridicule.
Bon nombre de films prennent comme base de départ l'approche d'un animal dangereux et hostile. Rogue (pas moyen d'accepter le titre français) ne déroge pas à la règle avec son mythe du crocodile des marécages. Le métrage nous dépeint avec splendeur l'environnement australien pour nous en imprégner dans le but de nous familiariser avec l'endroit afin de nous y rendre également victime. Et là où le film sort du lot, c'est tout d'abord dans sa conception, basée sur la trame narrative du chef d'oeuvre du genre : les dents de la mer. La majorité du film se fait sans la créature où bien est-elle juste suggérée par des mouvements d'eau. Seule la fin devient un film de monstre après avoir été un suspens prenant. Les personnages sont réalistes bien que stéréotypés et le final nous montre une bête de toute beauté, dans un combat final qui, bien qu'un peu court, est un duel pour la victoire de la jeune fille blessée tout comme Roy Sheider était le dernier debout face au requin dans Jaws. Passant presque inaperçu, Rogue est pourtant une réussite qui mérite d'avoir une nouvelle belle carrière en dvd.
Rogue confirme l’intérêt que porte le cinéma de Greg McLean aux monstres mythiques contre lesquelles buttent les individus : le film présente d’emblée son monstre comme une créature mythique, les crocodiles de mer étant « les descendants directs des dinosaures ». Nous pouvons voir, dessiné sur la roche des parois, un gigantesque spécimen qui apparaît ici comme le gardien de cette partie du territoire australien ouverte au braconnage et au tourisme, deux fléaux auxquels le crocodile apporte une solution. Nous pouvons interpréter les attaques selon deux angles concurrents : elles rétablissent une harmonie en purgeant l’espace de ses maux, rappelant aux hommes leur fragilité intrinsèque ainsi que leur place dans une chaîne alimentaire qui les dépasse ; elles mettent à l’épreuve l’individu qui, suivant un parcours christique, en ressortira héros, sens à donner au mouvement de caméra qui se rapproche du mur aux trophées pour cadrer la photo du « rebelle » (l’une des traductions possibles du titre du long métrage), Peter McKell. C’est ainsi qu’il faut interpréter le sauvetage de la guide touristique en détresse par le brave homme en chemise blanche : il s’agit d’un cliché, la substitution illusoire d’une légende humaine au mythe qu’il pense avoir tué. La clausule atteste une ironie diffuse, s’attache à filmer le brancard sur lequel Kate Ryan flotte dans les airs comme s’il s’agissait d’une scène d’élévation biblique, puis casse sa trajectoire en filmant un mur en gros plan, seule mémoire de l’exploit humain. Dit autrement, Rogue met en scène le résultat du combat opposant l’homme solitaire et la divinité collective comme le grand prix d’un concours de pêche, érige en légende locale un héros au sens mythologique du terme. Preuve également que les mythes du territoire australien ne meurent jamais vraiment, qu’ils perdurent dans l’âme de ses canyons, et qu’un crocodile, aussi monstrueux puisse-t-il être, peut en cacher un autre tout aussi redoutable. Tout en étant un excellent survival, parfaitement rythmé et efficacement mis en scène, bénéficiant en outre d’effets visuels superbes, Rogue nous invite à réfléchir sur le besoin des hommes à se construire des fictions dans lesquelles se raconter et auxquelles se mesurer, sur la propension d’un territoire à bercer un imaginaire primitif, cruel et violent en réactions aux images idylliques remplissant les catalogues de tourisme.
le solitaire ( 2007 ) un film moyen pour ma part, qui arrive tout de même a donner quelques suspens bien placés et bien dosés. l'histoire d'un crocodile géant qui décide de s'en prendre a un petit groupe d' égaré , l'intrigue est bonne sans être extra mais sa manque de punch et d'entrain. on devine aisément ce qui vas arriver a ces gens apeuré qui demandent qu'a rentrer au port. Sam Worthington apparait.. et il disparait aussitôt.. dommage j'en suis rester sur ma faim face a cet acteur qui a du potentiel.. la fin semble une évidence.. on se demande comment Radha Mitchell a survécu a une tel attaque du monstre alors que les autres ont était littéralement balayer. un film un peu trop vite fait... mal fait..
• Effets Spéciaux: 5/ 10 • Scénario : 5.5 /10 • Crédibilité des Acteurs: 6 /10 • Bluraythèque: Non
Alors qu'on pouvait s'attendre a un bon gros navet, force est de constater que le film n'est pas si mauvais. Même si le scénario n'est pas des plus original, et que les dialogues sont parfois "gnian-gnian", ce divertissement n'en reste pas moins correct. On a même l'impression par moment d’être devant un film documentaire tellement les plans des paysages sont magnifiques, les acteurs sont corrects et la musique pas désagréable. Dans le genre on a vu nettement pire! A voir pour passer le temps.
Wow franchement ce film déchire, tout y est ! L'ambiance, les scènes de sang (mais pas du gore pour du gore), crédibilité des acteurs, effets spéciaux avec croco impressionnant, le scénario qui évolue tout au long du film. A voir d'urgence pour les amateurs du genre comme moi !!