Avis : Piranha 3D - Page 3

La série B parfaite. Du gore assumé, une bonne réalisation, une humours noir que j'adore, de bons personnages. Alex Aja signe sont meilleur film avec La Colline a des Yeux. Quelque pépin niveau scénario mais des broutilles pour ne pas boudé son plaisir !

très moyen dans le sens où le film est masqué par le coté sexy des américaines !!!

Quoi de plus beau pour terminer l'été cinématographique que de sortir "Piranha 3D" à sa dernière heure? Belle manière de le boucler en tout cas, en passant à la moulinette vivante une bande de jeunes fêtards qui, dans les premières pages du scénario, comptaient profiter du climat de saison. Mais dommage pour eux, un séisme plutôt sournois ouvre une faille au cœur de Lake Victoria, libérant des centaines de vilains piranhas préhistoriques, et affamés, comptant transformer ces charmants jeunes gens faisant tranquillement (et innocemment) la fête au bord du lac en buffet géant et gratuit.

L'affiche ne trompe pas sur la couleur, le film d'Alexandre Aja, enfant terrible du cinéma d'horreur bien de chez nous (du moins à la base), se savoure comme un plaisir coupable. Le scénario a tout du déjà vu, le déroulement de l'histoire est on-ne-peut-plus prévisible et ce jusqu'à la dernière image, les personnages sont au mieux à peine esquissés, au pire complètement dénués d'intérêt. Aucune identification donc, et c'est parfait, car le spectateur se place rapidement du côté de la poiscaille démoniaque. On prend un plaisir sadique à voir des dizaines de jeunes écervelés et superficiels se faire déchiqueter de toute part durant 1h30 purement jouissive. On sent qu'Aja prend son panard lui aussi derrière sa caméra, dressant tous les clichés classiques du film d'horreur et d'ados, puis transformant des bombes sexuelles qui misent d'avantage sur leurs formes imposantes que sur leur talent d'actrice et des kékés bourrins et complètement cons en chair à pâté, dans des scènes généreusement sanglantes que Peter Jackson n'aurait pas reniées à une époque.

C'est sûr, le film n'est pas timide sur les effets gores, en témoignent des scènes de massacre proprement dégueulasses (mais souvent jubilatoires). Il ne l'est pas non plus sur l'érotisme, mais même quand il parle de "sexe", "Piranha 3D" se contente de mensurations plantureuses en mouvement et en gros plan, se montrant donc légèrement plus sage de côté. On sent une certaine ironie dans le fait qu'un frenchie obtienne le pouvoir de démolir à tour de bras toute une jeune génération américaine bien propre sur elle (mais un peu moins à l'intérieur), de la part de l'industrie Hollywoodienne. Alexandre Aja montre avec son œuvre un puissant amour pour le cinéma de genre des années 80. Les caméos et clins d'œil sont légions, mais jamais envahissants, on sent de sa part une certaine envie de faire quelque de classique, décomplexé et référentiel, mais avec l'intention d'imposer son style personnel à l'écran. À ce niveau, la mise en scène est très soignée, le rythme est soutenu, la photographie est alléchante, et la bande son met parfaitement dans le bain.

"Piranha 3D" n'a donc rien d'innovant, se trouve plus comique et répugnant qu'effrayant, et demeure assez fade en dehors de ces points, mais rien de bien méchant vu qu'il s'agit visiblement de ses revendications. Un bon film pop-corn sans compromis, sympathique et jouissif qui, après des dents de la mer traumatisantes en leur temps (mais qui passeraient pour des enfants de cœur à côté des "petits" monstres d'Aja aujourd'hui) poussera les spectateurs les plus réticents à y réfléchir à deux fois avant d'aller se baigner.
PS : Malgré quelques effets plutôt réussis et amusants sur nombre de détails du film, la 3D demeure une fois de plus assez accessoire et dispensable, même si elle trouve d'avantage sa place ici que chez d'autres films qui osent l'arborer fièrement...

Un film sans queue ni tête, c'est le cas de le dire !

C'était franchement Fun! Bien sur c'est a prendre au 36eme degrès!! Aja n'a pas fait un film d'horreur mais un nanars! Vraiment à mourir de rire!

Je me demande bien à qui est destiné ce genre de film, car même si on sent une certaine patte au niveau de la réalisation et qu'un ou deux passages font sourire, ça reste bien trop léger pour espérer s'en enivrer.

Ce qui est drôle avec ce « Piranha », c'est qu'il est à la fois réjouissant et complètement naze. En effet (et surtout si vous êtes un homme), il y a un plaisir évident à voir tous ces ados crétins et ces créatures de rêves aux corps parfaits se faire bouffer sans retenue par des gros méchants piranhas. Reste que j'attendais personnellement un peu plus d'Alexandre Aja, cette grosse déconnade restant bien inférieur à ce remarquable remake qu'était « La Colline a des yeux ». Ce n'est pas que l'on s'ennuie, loin de là, mais c'est juste que c'est tellement con, je n'ai (sans doute à tort) jamais totalement réussi à m'éclater comme j'imagine cela fut le cas pour pas mal de personnes. Après, soyons honnêtes : on sait bien lorsque l'on va voir ce genre de films que l'on ne vas pas assister au dernier Terrence Malick ou Pedro Almodovar, et d'un point de vue « fun », le contrat est plus que rempli, mais j'ai l'impression qu'il y avait la place pour aller encore plus loin dans le « délire ». A vous de voir...

Bon ça commençait super mal, le générique était illisible à cause de la 3D (mais vraiment, et plusieurs autres personnes dans la salle s'en sont plaint !)
Mais après si on excepte la 3D qui joue trop peu sur la profondeur et bien plus sur le côté ça sort de l'écran (encore que ça, mais bon), c'était plutôt pas mal.
C'est pas la colline a des yeux, mais c'est mieux que mirrors et que les films de Dante et Cameron (lol).

Le synopsis a bien changé depuis l'original, exit l'armée, maintenant les causes sont tout autres. Bon c'est pas gênant et ça permet à Aja de ne pas refaire un remake limite plan par plan comme pour le film de Craven.

Aja s'il sait filmer un mec avec un putain de gros fusil à pompe, il a quand même un peu de mal sous l'eau.
Alors le film est assez gore, ça fait plaisir (même si j'aurai voulu encore pluuuus) vivement qu'il repasse en -16.

Alors on se tape mais TOUS les clichés du genre : oh une corde et il faut traverser avec, que va t'il se passer ? tintintin, suspens…

Après il y a pas mal de second degré, mais j'ai pas l'impression qu'il ait un sens comme dans la colline a des yeux.

Le rôle du pornographe est limite copié sur celui de Olyphant dans the girl next door, mais en pas bien.

Les dialogues sont nuls de chez nuls, d'où le côté série B assumé.

Des dizaines d'incohérences, ah je tombe dans l'eau, mais bon je ressors et 10s plus tard je suis sèche car je suis shérif (limite).

Par contre j'ai l'impression que les producteurs ont bien taillé dans le film, il manque pleins de passages, du coup c'est monté un peu à la va vite, mais ça n'enlève pas le fun.

Au début je me suis dit : pff il est frileux niveau cul et gore, bon on a quand même droit à quelques petits bons moments, mais j'en veux toujours PLUUUUSSSSSSSSSSS.

Mais c'est sympa franchement.

Un bon Alexandre Aja! On apprécie de voir ces petites bêtes manger ces bimbos ! Du gore comme on aime!

Tout d’abord, je remercie Alexandre Aja pour son hommage aux films fantastiques et d’horreur des années 80 en ayant choisi Richard Dreyfuss (l’océanologue des « Dents de la mer ») pour première victime des piranhas, Elisabeth Shue (« Link », « Retour vers le futur », « Hollow Man ») pour shérif et Christopher Lloyd (le savant des « Retour vers le futur »). En allant droit au but, le réalisateur nous épargne les longues scènes de présentation. L’étalage de chair fraîche (le film est bourré de bimbos à moitié nues) est là pour renforcer le contraste avec la dégradation des corps qui survient lors des attaques des piranhas (jambes rongées, visages en bouillie et même spoiler: une verge avalée puis recrachée par un piranha !
). Le summum de l’horreur est atteint avec spoiler: cette femme encore vivante transportée à bout de bras par deux hommes sur la plage, qui voit le tronc de son corps se détacher par la moitié et se vider de ses viscères.
Pourtant, c’est avec un plaisir sadique que j’ai assisté à l’étripage de tous ces corps trop beaux. Enfin, plutôt que de conclure son histoire de façon banale (un quelconque remède contre les piranhas), le réalisateur surprend avec une dernière image aussi soudaine que drôle ( spoiler: jusqu’alors les terribles piranhas du film n’étaient que des bébés…
).

Même au second degré ça ne passe pas ! Vraiment débile à souhait ce film, sans intérêt. Une pure daube avec des seins, des seins, des femmes nus, des poissons carnivores super mal faits et une histoire des plus pathétiques. 1h30 de perdu !

Franchement NUL !!! que du dévergondage à gogo, on voit plus de filles nues que de piranha... et dire que je voulais voir l'acteur Richard Dreyfuss dans son soit disant rôle de Matt Hooper, aucun des 2 n'est apparu. L'acteur n'est pas apparu dans le film comme c'était le cas dans la bande annonce, et son personnage est celui qui a été retrouvé mort au début par la shérif, et il s'appelle Boyd et non Hooper. C'est vrai que les scènes d'attaques sont excellentes mais franchement je suis plus déçu qu'autre chose.

Remake du célèbre film de1978, Alexandre Aja a fait un film d'horreur sans grande surprise mais rigolo à voir avec quelques guests. Le film repose sur un synopsis des plus simples : pendant un week end de fêtes d'étudiants au Lac Victoria, un tremblement de terre libère des milliers de piranhas préhistoriques et terriblement voraces,.. et on peut dire qu'ils vont se régaler.
Bref : un film plein de soleil, de sexe et de sang :)

franchement mauvais Le quart d'heure de gore vers la fin est pas mal. La 3d totalement inutile et d'ailleurs raté. Il y a de la profondeur de champ mais absolument rien qui sort de l'écran (et pourtant il y avait de quoi faire. Sinon une heure de nichons pour un film macho (même pas un mec potable torse nu (désolé pour les filles et les gays).

Un film fabuleux. Fun, Gore à la fois. Vraiment très amusant et défoulant. Alexandre Aja réalise là un autre Chef d'oeuvre.