Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Dams 92
16 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 13 mars 2024
On garde l'esprit du nanard, mais comme nous ne sommes plus dans les années 70 l'effet n'est plus le même. Jean Sarrus essaie tant bien que mal de perpetuer les Charlots, mais les Charlots ont vieilli..... Gérard Rinaldi n'est plus là, Jean-Guy non plus..... Les gags sont poussifs et le montage assez mou..... On le regarde quand même car on aime les Charlots mais il faut admettre que les gais lurons ont fait leur temps......
Le Retour des Charlots sonne le glas d’un groupe comique et musical dont l’heure de gloire, qui dura pendant une bonne partie des années 70 pour s’étendre difficilement pendant les années 80, ne réussit pas à passer le cap de la décennie 90. Absence du leader Gérard Rinaldi, remplacé par un comédien qui ne saurait faire oublier son charisme, acteurs vieillissants dont les numéros de pitres font de la peine à voir, humour redondant et facile qui ne repose que sur une seule et même idée, à savoir le changement physique de l’épouse d’Antonio (Luis Rego) qui, de ravissante, est devenue obèse, canevas minimaliste qui contraint le film à la brièveté et à la répétition. Nous ne nous amusons plus du tout, occupés à projeter sur ces fantoches les gaffeurs pleins d’insouciance et de vitalité que nous aimions tant. Le seul intérêt du long métrage de Jean Sarrus s’avère donc historique (ou symbolique) : il marque l’obsolescence d’un âge du comique qui, comme tout comique, ne saurait être dissocié de son époque, les années 70.
Film vraiment nul, pour moi qui adore les charlots, j'ai étais déçus, film en trop, ils aurais dut s’arrêter à Charlots Connection car là, on s'ennuie à mort
le pire film qu'il m'ait été donné de voir. Le film de trop pour les charlots. A envoyer aux oubliettes. On baille, on s'ennuie du début à la fin. Nul! Nul! Nul!
On est vraiment loin de la réussite des premiers films ! Le comique visuel n'a plus le même effet car c'est souvent lourd. Richard Bonnot, le nouveau, n'apporte rien, à part chanter. On arrive à sourire quelques fois (les scènes de ménage avec Luis Rego) mais c'est tout.
Il n'y a pas beaucoup plus nul que ce film dans le paysage audiovisuel comique français. Pourtant en général les Charlots ont un humour décalé mais là, c'est décalé de sens et franchement très lourd. Les Charlots n'auraient jamais du ressortir de leur retraite, en + il n'y a plus Gérard Rinaldi et son remplaçant est archi nul.....
C'est clair, on est un peu loin de la réussite des premiers Charlots. Quelques gags sont sympathiques et Guy Montagné est assez drôle, en sous-officier parachutiste.
Figures emblématiques du burelesque franchouillard dans les années 70, les charlots tentent un come-back en 1991 avec ce... Film? Non, cet enchaînement paresseux de gags minables est bien trop pathétique pour être qualifié de film. C'est même impensable qu'on puisse atteindre un tel niveau de nullité. Curieux de voir à quel point ces comiques sur le retour avaient pu mal finir, j'ai tenté un visionnage. Mais après 15 minutes harassantes de lutte pour ne pas zapper, il m'a fallu rendre les armes. C'est tellement mauvais que ça met mal à l'aise. On aimerait pouvoir ce moquer de ces ringards finis mais la seule émotion à s'imposer, c'est la pitié.
Les charlots n'ont plus rien à nous dire, on s'en était déja rendu compte dans quelques films:on est loin de leurs prestations dans les Charlots font l'Espagne ou le Grand Bazar. On est biensur content de pouvoir revoir nos charlots(même s'ils ne sont pas au complet du tout) mais passé le premier quart d'heure du film, et ben on s'ennuit beaucoup. Une tentative de retour en force des Charlots, menés par Jean Sarrus qui tombe à l'eau. Il ne reste plus qu'à oublier ce navet que nous ont fait les Charlots.
Euh... mouais ! Le Retour Des Charlots ? Bon ben si on veut puisque deux d'entre eux ne sont plus les mêmes. Bon sinon c'est de l'humour franchouillard dépassé qui ne musclera pas nos zygomatiques.