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Ykarpathakis157
4 554 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 19 septembre 2021
Day Watch est avant tout le pire film que j'ai vu de toute ma vie. J'étais assis abruti me demandant comment diable un monteur un réalisateur et un concepteur de film adultes peuvent se réunir dans un groupe et convenir que c'est un film convenable à montrer. Tout d'abord l'intrigue semble avoir été imaginée par un petit enfant ce qui signifie que certains romans ne devraient pas être adaptés au cinéma. Sérieusement qui peut honnêtement dire qu'il y a eu de l'innovation et de la créativité dans la création d'une intrigue tournant autour d'un objet de quête risible comme la craie du destin, d'un couple de vampires, d'agents de la lumière et de l'obscurité et d'une atmosphère ringarde de fin du monde. Deuxièmement la mise en scène semble avoir été faite par un type souffrant de troubles de l'attention et se pâmant devant les explosions et les effets spéciaux. L'histoire est tombée à plat dès la première des dix minutes. Mais à la fin il est dit que la craie ne peut être utilisée que si elle n'affecte pas le destin de quelqu'un d'autre donc à la fin le rebondissement n'avait aucun sens. Ce changement de destin aurait affecté tous les autres donc ça n'a aucun sens. La musique était bien trop ringarde et atroce à mon goût. La palette musicale qu'ils ont utilisée se résume à deux chansons une qui ressemble à la musique d'un camion de crème glacée et de la musique heavy métal envahissante qui est jouée dans chaque scène de combat...
Si l'on a apprécié "Les sentinelles de la nuit", on appréciera "Les sentinelles du jour", qui a bénéficié de plus du double de budget (4,2 millions de dollars au lieu de 2). Et cela se voit. C'est toujours correctement joué, et malgré quelque balbutiement scénaristiques, cela se suit plaisamment. La fin est digne de ce nom comparée à celle de son prédécesseur Night watch, qui nécessitait une suite. D'ailleurs, même si initialement cela devait être une trilogie, cette fin clôture très bien les deux réalisations.
Après un premier volet plutôt enthousiasmant, cette suite ressemble à un brouillon de devoir un peu trop vite rédigé et mal organisé. La surenchère visuelle est moins présente ici (sauf dans la partie finale, où ça fuse dans tous les coins et à toute vitesse), mais c'est surtout le scénario de cette suite qui va grandement pécher par excès de complexité et un manque de lisibilité assez flagrant. Heureusement que le casting est lui toujours impeccable, la mise en scène propre et la bande-son admirablement choisie, sans que cela permette hélas de faire l'impasse sur les défauts de rythme et les incompréhensions autour du récit. Un 2e film en-dessous du 1er, qui conclue sur une jolie note mais avec un petit goût d'inachevé, quand même.
Deuxième opus d'une trilogie qui restera un diptyque (pour des raisons financières ? Personnelles ?), "Day Watch" vient étoffer l'univers mis en place par Timur Bekmambetov dans "Night Watch". Fidèle au premier opus, cette suite est aussi délicieusement foutraque, frôlant l'incompréhensible et le grand n'importe quoi, le tout dans un style hystérique qui pique les yeux et qui a du épuiser le monteur du film. Notons cependant qu'elle est meilleure que son aîné, notamment parce que les personnages y sont plus fouillés et parce qu'on y sent une véritable volonté de travailler l'univers en profondeur avec des scènes franchement inventives. Dans l'ensemble, ça reste un joyeux bordel, assemblage d'idées plus ou moins bonnes filmées à un rythme fou afin qu'on ne prenne pas le temps d'y réfléchir de plus près. Ça se laisse regarder mais dieu que ça fatigue...
Il y a si longtemps que je n'ai vu le premier tome (Night watch) que tout ceci me parait confus, obscur, voir bordélique. Mais en allant un peu plus loin on se rend compte que les défauts sont nombreux et en rien dûs à la non-compréhension du projet. C'est visuellement hideux et calamiteux, d'une froideur repoussante, ce que la photo très 80's ne fait que renforcer. Tout est vaporeux et jamais excitant et aurait mérité une approche plus respectueuse du spectateur (surtout à la lecture du synopsis lui même un peu confus) ! Une vague histoire de trève fragile entre les gardiens de la nuit et du jour sur un scénario qui se tortille comme il peut 2h20 durant (et c'est long !), n'amenant pas assez de speed - un comble-, de folie visuelle et des choix qui s'avèrent peu judicieux. Bref : c'est vraiment longuet et chiant, avec des histoires parallèles sans intéret et un fond musical souvent soporifique, et le tout est baigné d'un humour, d'une atmosphère où l'absurde se montre d'une façon idylique^^. Il faut attendre (ou accélérer jusqu'à) la fin pour avoir un peu "d'émotion visuelle"... Vu par hasard et je pense que je regrette ce choix. Un DTV peu connu qui ne mérite pas d'ailleurs à être connu (on comprends le gros bide connu en salle).
Voilà le second volet d’une trilogie fantastique adaptée des romans de Sergei Lukyanenko, le seul du triptyque que j’ai vu à ce jour, et que je ne verrai jamais. "Day watch" ne m’a nullement donné envie de voir son grand frère et petit frère, car celui-ci a un côté grandement bizarroïde qui dérange. De plus, le déroulement de l’histoire est assez confus, et on ne rentre à aucun moment vraiment dans le bain. Le réalisateur a-t-il eu conscience de ça en faisant avancer l’histoire au coup par coup ? Car c’est saccadé, on passe d’un rythme calme à un rythme de sauvage sans coup férir, et inversement. Et quand ça s’accélère, ça ne fait pas semblant, ça en est brutal, limite agressif. Bref, en personne patiente que je suis, je résiste en caressant le doux espoir que ça se décante et que ça s’améliore, mais hélas… ce ne sont pas quelques scènes relativement impressionnantes ici et là qui relèvent de façon notable le niveau, mis à part peut-être le dernier quart d’heure, et qui lui vaut de ma part une petite étoile de rien du tout. Et on dit qu’il est moins bien que l’épisode précédent ? Il va falloir alors qu’on m’explique alors comment "Day watch" a une note supérieure (2,4) à "Night watch" (2,1)… en ce qui me concerne, j’arrête là les frais concernant cette trilogie.
Une longueur de 2h12 est injustifié, car y a plein de passage sans interêt et des longueurs où il ne se passe rien, mais vraiment rien! Et puis l'utilisation abusée des zoom, gros plans, changement de cameras... à tout bout de champ alors qu'il ne se passe rien, finissent par être fatiguantes voir énervantes! En gros seul le prologue et le final du film suffissent, le reste peut se résumé en dix minutes. A voir par curiosité, ou pour faire le lien entre le premier et peut etre le troisieme.
Ah sent l'hiver, les bonnes soupes avec de gros navets ! ben tiens en voila un justement ! Je me souviens d'avoir trouvé le premier opus assez intéressant, mais la c'est une catastrophe... c'est lent, mal joué, ennuyant et soporifique... Un désastre !
Un film qui n'a ni queue ni tête, un rythme soporifique et des effets spéciaux inutilement impressionnants qui ne servent à rien.. Ah, si, faire une belle bande annonce, mais alors le film est à des années lumière de ce que la bande annonce laissait prévoir. A éviter à tout prix.
Si dans les premières minutes, Bekmanbetov donne l'impression de s'être assagi (la mise en scène est plus posée, un semblant d'intrigue se met en place), c'est pour mieux nous faire déjanter, cette suite sombrant dans les mêmes excès que son prédécesseur jusqu'à un final incompréhensible et grand-guignolesque.
Après visionnage du film en blu-ray dans d'excellentes conditions visuelles et sonores, voici mon avis. Suite très intéressante en tout point, faisant honneur au 1er volet. Pas de manichéisme ici à l'américaine: le bien rejoint aussi bien le mal (exception faite quand même avec le film Watchmen, qui comporte aussi son lot de super héros un brin décalé). Scénario toujours ici basé sur la micro-gestion d'une histoire, qui n'est pas d'une complexité ardue pour un neurone normalement constitué. Le monde des vampires se trouve ainsi revisiter de manière surprenante; pas vraiment pour ados pubères pré-hollywoodiens, plutôt dans une mouvance remixant Brazil et Matrix en plus speedée et déjantée.