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Ce deuxième volet ne bénéficie plus de l'effet de surprise. Mais, étonnamment, l'intrigue, pourtant confuse, n'entrave pas l'intérêt du spectateur averti pour ce délire mystico-fantastique.
(...) le film reste bancal et les effets spéciaux font office d'effets spécieux : le récit trop elliptique et les personnages sans réel charisme mettent à mal la concentration du spectateur. Il devient difficile d'adhérer à cette histoire cousue de fils blancs (...)
Timur Bekmambetov offre du grand spectacle de type hollywoodien (...) Mais il fait mariner le tout dans un poisseux cocktail de culpabilité, de vodka, de nicotine et d'ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si "Night Watch" donnait le change avec une partie réaliste située dans des HLM, "Day Watch" lorgne plus le monde pailleté et ringard des " nouveaux Russes ". La seule péripétie originale (...) est hélas abandonnée en cours de route.
(...) une zone de bouillie métaphysique, d'empâtement scénaristique et de laideur triomphante qui inventent quasiment une nouvelle catégorie dans l'histoire esthétique, proche de celle du protozoaire dans l'histoire de l'évolution animale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Seul moyen de rester éveillé : guetter les apparitions de la comparse du sinistre héros de l'histoire, étonnant sosie de notre Michèle Laroque nationale.
Tout est explicité, surligné, exhibé pour appâter le chaland. Un tel degré de bêtise devient finalement risible et aide à faire passer l'ennui pour un délire décalé à la "Ultraviolet" ou à la "Torque", les deux références indirectes de cette oeuvre grotesque et invraisemblable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Brazil
(...) Deux heures de contradiction permanente, à la manière d'une rédaction appliquée à soigner l'égalité parfaite entre sa thèse et son antithèse.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Mad Movies
(...) on n'y comprend rien et c'est pas très digeste, mais c'est bourré d'imagination, sacrément généreux et typiquement slave (...).
20 Minutes
Le réalisateur abuse des effets spéciaux au point que le spectateur ne sait plus à quel sang se vouer !
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Ce deuxième volet ne bénéficie plus de l'effet de surprise. Mais, étonnamment, l'intrigue, pourtant confuse, n'entrave pas l'intérêt du spectateur averti pour ce délire mystico-fantastique.
MCinéma.com
(...) le film reste bancal et les effets spéciaux font office d'effets spécieux : le récit trop elliptique et les personnages sans réel charisme mettent à mal la concentration du spectateur. Il devient difficile d'adhérer à cette histoire cousue de fils blancs (...)
Ouest France
(...) un galimatias incompréhensible et indigeste.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Timur Bekmambetov offre du grand spectacle de type hollywoodien (...) Mais il fait mariner le tout dans un poisseux cocktail de culpabilité, de vodka, de nicotine et d'ambiguïté.
L'Humanité
Si "Night Watch" donnait le change avec une partie réaliste située dans des HLM, "Day Watch" lorgne plus le monde pailleté et ringard des " nouveaux Russes ". La seule péripétie originale (...) est hélas abandonnée en cours de route.
Le Monde
(...) une zone de bouillie métaphysique, d'empâtement scénaristique et de laideur triomphante qui inventent quasiment une nouvelle catégorie dans l'histoire esthétique, proche de celle du protozoaire dans l'histoire de l'évolution animale.
Les Inrockuptibles
On rigole doucement en voyant ce polar foireux (...) cette infâme bouillasse.
Libération
Les stars y sont si laides, (...) comme tout ce qui se présente, (...), qu'on ne se sent pas snobé.
TéléCinéObs
Seul moyen de rester éveillé : guetter les apparitions de la comparse du sinistre héros de l'histoire, étonnant sosie de notre Michèle Laroque nationale.
aVoir-aLire.com
Tout est explicité, surligné, exhibé pour appâter le chaland. Un tel degré de bêtise devient finalement risible et aide à faire passer l'ennui pour un délire décalé à la "Ultraviolet" ou à la "Torque", les deux références indirectes de cette oeuvre grotesque et invraisemblable.