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THE-CHECKER
111 abonnés
713 critiques
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0,5
Publiée le 26 décembre 2014
Malgré un discours relativement pertinent sur la nécessité de ne jamais abandonner ses rêves tant qu'on peut se donner les moyens de les réaliser, Rocky Balboa a malheureusement tout pour être détesté.
Outre les incohérences majeures d'avec le film précédent (le combat final d'un Rocky ruiné dans l'opus précédent pour cause de problème de santé rendant impossible tout nouveau combat 20 ans plus tôt mais bizarrement envolés dans celui-ci) et la volonté quasi maladive de renouer avec les origines du premier film (quitte à reprendre dès le générique du début le refrain du titre chanté acapela par les loulous du coin et à ré-embaucher à l'arrache le premier adversaire cinématographique du boxeur, sans parler du rôle féminin, à croire que s'il avait pu nous sortir le chien il l'aurait fait!) la mayonnaise ne prend jamais malgré tous les efforts d'un Stallone nous la jouant semi guide spirituel effectuant un ultime pélerinage sur les vestiges d'une carrière bien trop tôt sacrifiée sur l'autel du dieu dollar.
Un film dont le seul mérite aura été de rendre à nouveau "Bankable" (pionnier dans le domaine et suivi de près par les Schwarzy et autres Willis, eux aussi réduits à renouer avec les succès d'autrefois) un acteur qui aurait tant gagné à ne pas se compromettre en tant qu'auteur
Une oeuvre de bonne facture, fidèle à l'esprit du premier opus. La longue mise en scène de la situation initiale de notre héros, qui dure une bonne moitié du film, semble néanmoins un peu trop longue. elle n'est pas mal construite, mais lorsqu'on arrive devant le film, on sait tous qu'au fond, on attend le combat final. Et pour le coup, heureusement, il n'y a pas vraiment de quoi être déçu, si ce n'est que ça va une fois de plus un peu vite par rapport à ce long début.
Quelle surprise fut ce "Rocky Balboa" début 2007. Un uppercut. Et même pas un uppercut dans la tronche, mais un uppercut au coeur. Un direct au coeur. Car plus que jamais, Stallone est Rocky. Il y a toujours mis de son vécu et de son évolution au fur et à mesure des années et des suites qui ont suivies, mais un tel décoffrage, un tel regard sur son parcours, sur sa niac, il n'y a que sur le premier "Rocky" qu'il avait atteint une tel réussite émotionnel. N'ayant pas fait les bons choix de carrière, Stallone s'est retrouvé seul, has been, mais il a démontré qu'il en avait encore dans le bide. Sa mise en scène est à l'image du film: un granit brut d'émotion, sans aucune trace de sculpture. Pas de mouvement de caméra complexe, pas de stylisation, du brut, direct, simple, pas non plus de recherche de la coupe parfaite au montage, c'est un découpage sec, brut, incisif. C'est une approche qui colle parfaiement à l'histoire et au sujet du film. Tel "Rocky" premier du nom, ce dernier opus est une leçon de vie qui vise droit au coeur. Ne jamais lâcher, prouver au monde que l'on vaudra encore et toujours quelque chose, se relever quoiqu'il arrive. La marque des grands.
evidement que ce film est un ennieme combat de trop mais sly nous offre une vision touchante de son heros boxeur naif au grand coeur . Il nous livre des petits moments de comedie douce amere, quelque jolie et simpliste leçon de vie, ce film clot la franchise de maniere anecdoddique mais sympathique
Stallone revient une nouvelle fois avec Rocky,il tente d’apporter de la phycologie à son personnage,mais c'est une horreur. Ce Rocky Balboa est un navet,un truc construit avec les pieds dans lequel tout est amené lourdement. Stallone à du écrire ça en gardant ses gants de boxe ce qui serait l'explication la plus plausible quand on voit le résultat de ce film made in 1980 .
A sa sortie les critiques françaises se sont massivement extasiées devant ce film,mais pourquoi?On se demande toute de même si parfois faire de la psychologie de comptoir ne rend pas un film inattaquable. Car ce que présente Satollone scénariste et réalisateur est ultra mauvais,il pense la jouer fine,mais il est à l'opposé de la finesse d'écriture et de réalisation.
Comme toute les saga, les derniers films sont trop éloignés des racines de l'histoire et de ses personnages qui ont fait le succès de ses chef d’œuvres. Le 6e opus (retour à la case départ) semble si fade des premieres émotions, la bande son n'est plus "punchy" , mêlée de musique rap, on ne retrouve plus l’atmosphère si particulière des Rocky des débuts. Après avoir vaincu Mister T , la montagne Russe Lungren, le gringalet sans abdos qui défit Balboa , fait sourire tristement. Pourquoi avoir choisit ce pseudo boxeur rappeur pour ce dernier film ? Heureusement que l'histoire en elle meme évite un peu le naufrage avec un retour au source des personnages et des lieux connus du début. Quelques rares émotions des premiers Rocky refont surface...
Surement l'un des meilleurs Rocky... et pourtant c'est compliqué. Y'a des trucs pas mal et le film n'est pas mauvais mais je trouve tout ca un peut mievre et pleins de bons sentiments a 2 francs.J'imagine que c'est pas mon truc.
Le retour de Rocky était périlleux pour Stallone qui a connu pas mal de déboires cinéphiliques depuis 15 ans. Son relooking n’y a rien changé et tout doucement l’acteur bodybuildé est tombé dans un relatif oubli. Ce retour aux sources s’avérait hasardeux si Stallone tentait de nous faire croire que "Rocky+30ans" pouvait encore rivaliser avec les jeunes loups de la boxe du XXIème siècle. Il n’est pas tombé dans ce piège et nous livre un film tout en nuances où le boxeur à la retraite regarde beaucoup vers son passé à travers la vitre de son restaurant (italien bien sûr) qu’il tient en compagnie de son éternel beau-frère depuis que sa femme est morte d’un cancer. Il a aussi son fils qui a du mal à vivre dans l’ombre de son père toujours célèbre malgré sa retraite. La vie s’écoule doucement et l'on sent malgré tout que ce calme apparent ne demande qu’à être bousculé. Il faudra une comparaison sur une émission de télé entre les générations de champions pour que Rocky sorte enfin de sa retraite pour un combat d’exhibition qui lui permettra de montrer à toute l’Amérique que "quand on veut on peut" à tout âge. Belle leçon de ténacité qui vaut tout à la fois pour Stallone qui entend montrer ici qu’il a encore quelque chose à dire à ses fans. On n’est bien sûr pas en face d’un chef d’œuvre mais l'on peut facilement se laisser emporter par la douce musique que nous livre Stallone et se dire que nous aussi on aimerait bien manger un soir au restaurant de Rocky Balboa et l’entendre entre deux plats nous raconter ses anciens combats.
Même si ce dernier Rocky est plutôt déprimant, il est tout de même bon et assez réussi. Je considère que les autres étaient tous meilleurs. Heureusement, le combat final était réussi et très intéressant. Il aura fallu attendre longtemps pendant le film pour qu'il arrive. Rocky Balboa était la conclusion nécessaire à cette inoubliable et culte série.
On ne peut que saluer l'intention d'offrir une porte de sortie digne de ce nom à ce personnage mythique de l'histoire du cinéma mais encore aurait-il fallu réussir ce film. Dans ce sixième volet nous retrouvons Rocky incapable de s'extirper d'un passé qu'il idéalise, désormais veuf il tente de recoller les morceaux avec un fils refusant de continuer à grandir dans son ombre. Lorsqu'il n'est pas dans son restaurant nommé en mémoire de sa femme, l'étalon italien fait le tour du fameux quartier de Philadelphie qui lui rappelle tant de bons souvenirs... Un sentiment de nostalgie se dégage très nettement de cette œuvre qui se plait à faire le lien avec le premier et meilleur opus de la saga, comme si Sylvester Stallone reniait finalement ces suites tant décriées pour leurs scénarios extrêmement légers. Même s'il réussit à développer une véritable intrigue, ce scénario-là est très loin de raviver l'intérêt pour le personnage, partant dans des directions hasardeuses sans jamais pleinement exploiter les pistes créées. On en vient même à questionner l'utilité de personnages tels que celui du fils ou de Marie et son gosse. L'action se mettant lourdement en place, le combat de boxe se fait finalement longtemps attendre. Chorégraphié de façon plus réaliste que les précédents, il souffre néanmoins d'une mise en scène hideuse et de commentaires abrutissant qui gâchent la tension dramatique de cet ultime combat. Par son propos plutôt intelligent "Rocky Balboa" évite le naufrage mais ce film démontre une nouvelle fois et de façon très claire les limites qui sont celles de Stallone.
Avec ce septième opus Sylvester Stallone boucle la boucle en signant un film spontané, réservé, touchant et humble, pour rendre lui-même hommage au rôle de sa vie en réalisant le digne héritier du premier Rocky de 1976. Trente années ont passé, mais toujours le même Rocky, toujours le même Stallone.
Et voilà le dernier épisode de la série, et probablement le moins bon, car on a du mal à croire en son retour contre l'actuel champion du monde, c'est trop gros, mais bon, on aime quand même Rocky, et l'évocation de la vieillesse et du temps qui passe est très bien rendu, ainsi que celle du manque de l'être aimé. Un Rocky correct, mais pas renversant.
Enfin, le dernier volet de la saga culte du boxeur, qui est devenu champion, héros, et légende. Dans cet opus, Rocky a du mal a tourné la page, on apprend que son Adriane est décédée, son fils l'évite, il vit dans le passé, et il a que Paulie. De plus l'actuel champion du mon Mason Dixon, devient impopulaire et le fait qu'il y ait un combat virtuel entre l'ex champion et l'actuel donne une idée au manager de Mason, pourquoi ne pas faire effectivement ce combat? Ce chapitre ne prête pas attention au 5, où Rocky ne pouvait plus boxer à cause de lésions au cerveau. Ce film rend hommage au premier, Rocky est dans son quartier de jeunesse, qui n'évacue la mort d'Adriane, qui vit à reculons, qui tient un restos, et qui veut reprendre la boxe car il aime oxer, et que ça lui permet d'évacuer. Vraiment un excellent film, et un retour gagnant non seulement pour Rocky et pour Sly.