26 ans apres le 5eme opus, qui metait deja l accent sur la nostalgie de Rocky, ce 6eme opus, meme s il ne propose pas un adversaire a Rocky aussi charismatique que les précédents, montre un veritable respect envers le fan de la saga avec de nombreux cleins d oeils et hommages aux opus precedents, en particulier le premier. Un episode chargé en emmotions et toujours avide de propager de vraie bonne valeurs. Merci Sly.
Le meilleur Rocky aussi bon que le premier ! Un film intense et émouvant à la fois où Stallone retrouve son personnage et gloire du passé remonte sur le ring dans sont plus beau combat .
16 ans après le un raté Rocky V et 30 ans après le sublime premier Rocky, Sylvester Stallone revient avec Rocky pour essayer de relancer sa carrière sur le déclin durant les années 1990. Et on peut dire que c'est réussi. Le film se base sur la nostalgie d'une époque, sur la nostalgie du premier épisode pour voir le crépuscule de la carrière de Rocky. Le scénario est identique au premier et bien mené vers une fin quasi identique. Paulie apparait moins brutal et détestable que dans les opus précédents. La lumière bleue du film fait mal aux yeux et apparait comme le premier défaut du film. Un bon retour pour une des meilleurs saga du cinéma.
c'est dans la défaite que Balboa lui décrocha la victoire. malgré que Stalone et prit un coup de vieux il reprend sont rôle a merveille, pour un dernier pa sur le ring.
Alors que l'on croyait Rocky Balboa définitivement tranquille, Sylvester Stallone décide de le faire remonter sur le ring 16 ans après "Rocky V". Cette idée, qui doit son existence à la traversée du désert que connaît la carrière de Stallone à ce moment-là, n'en demeure pas moins un joli prétexte pour voir ce qu'est devenu notre boxeur préféré. Veuf et tenant un restaurant, il traîne sa carcasse à Philadelphie, racontant ses combats à ses clients, vivant dans le passé et entretenant avec son fils des relations difficiles. Alors il décide de monter sur le ring, souhaitant prouver aux autres et surtout à lui-même qu'il en est encore capable. Attendu au tournant, ce dernier opus de la saga "Rocky" (quoique pas vraiment dernier, en témoigne "Creed - l'héritage de Rocky Balboa", assez réussi au passage) montre la lucidité de Stallone vis-à-vis de son personnage et témoigne de sa volonté de le réinscrire dans un contexte social qui manquait à certains opus de la saga. Et même s'il ne fait rien de foncièrement original, Rocky Balboa reste un personnage touchant à qui l'on peut facilement s'identifier, fidèle à ses principes avec l'envie de ne pas finir à la casse avant un dernier grand combat. Classique dans sa construction, le film manque un peu de souffle dans sa réalisation, à la photographie souvent laide, mais n'en demeure pas moins un joli regard sur la vieillesse et sur la mythologie d'un personnage simple et touchant qui restera à jamais dans nos cœurs. C'est donc avec émotion que Stallone offre à son Rocky un dernier round, ne trichant jamais sur la sincérité avec laquelle il aborde le personnage.
On ne pouvait décemment pas rester sur Rocky V tant il était en dessous des attentes, et Rocky Balboa, avec Sly de retour derrière la caméra, s’avère comme le véritable final tant attendu (mettons Creed de côté) et un parfait hommage à cette saga mythique. Stallone retourne aux sources de son personnages avec nostalgie et l’on sent qu’il comprend ce qui a toujours fonctionné avec cette figure emblématique du cinéma, le cœur. Et il n’en manque pas l’ami Stallone, il nous prend à nouveau aux tripes avec notre bien aimé Rocky que la vie n’a pas toujours gâté. Des personnages manquent, d’autres, indispensables, sont toujours présents et cette réflexion sur le temps qui passe (entre autre) est chargée en émotion. On retrouve tout ce que l’on aime chez Rocky avec grand plaisir et cet ultime combat en apothéose s’avère la parfaite conclusion de ce morceau de cinéma indémodable qu’est cette saga.
Ce dernier volet est très émouvant et nostalgique. Sly délivre une prestation encore incroyable et referme l'histoire de son personnage fétiche. Une leçon de vie, d'un petit mec des quartiers qui s'est battu toute sa vie. A voir et à revoir .
Dernier opus de la saga "Rocky" avant le reboot centré sur le personnage d'Adonis Creed, probablement le film le plus poignant, le plus intimiste en termes de dramaturgie. Une réflexion sur la vieillesse, sur le deuil, la flamme qui nous habite, nous fait avancer pleine de sens, touchante portée par un Sylvester Stallone superbe de candeur, d'humilité mais paradoxalement très fort dans l'un des rôles phares de sa filmographie. Un ensemble assez court, bien rythmé davantage centré sur cette tranche de vie de Rocky Balboa que sur le combat final, des séquences d'entraînement vite expédiées. Un dernier segment orienté vers la confrontation entre les deux protagonistes mis en scène de façon très immersive, à la limite du documentaire ou du show télévisé à l'américaine. Un volet franchement réussi et remarquable.
Rocky reprend du souffle et nous on retient notre respiration jusqu'au gong final, quand la cloche sonne et que la réussite est au bout, jusqu'au dernier plan.
J’ai vu un film… qui évoque la nostalgie de ma jeunesse, et au-delà de ça, qui évoque la nostalgie des cinéphiles qui ont grandi avec Rocky, des meilleurs épisodes aux moins bons… Mais ce film est une ode au temps qui passe et qui peut casser… J’ai vraiment apprécié ce (dernier ?) film où l’on voit Rocky jouer les prolongations, et Stallone le faire avec classe. On sent qu’il doit tourner cette page, et laisser son héros vieillir loin des yeux de ses supporters qui le suivent depuis plus de 30 ans. On finit ce film avec une grande émotion et un très fort sentiment d’attachement. En fait, ce film est le reflet d’une authenticité forte où le destin du personnage, du comédien et du réalisateur ne font qu’un. On fait également le lien avec le 1er épisode avec des personnages qui reviennent, une ville délabrée omniprésente, un quotidien qui s’impose… et des séquences d’entraînement qui font la marque de fabrique du personnage (les coups de poings dans la bidoche, par exemple…). C’est un beau film qui nous fait ressentir le temps qui passe… J’ai aimé.
Bien décidé à boucler la boucle avec un de ses personnages fétiches, S. Stallone réussit à retrouver l'essence du 1er film en mettant là encore beaucoup de lui dans le scénario. Car l'analogie entre la boxe et le cinéma est flagrante (monde où règne les financiers peu scrupuleux de l'humain et qui se retourne sans cesse sur son glorieux passé), le film est poignant et intimiste pendant plus d'une heure (amateur de baston, fuyez, même si vous avez bien tort). S'attachant à ses personnages, donnant de l'émotion avec une scène magnifique entre Paulie et Rocky, préférant l'humain au spectaculaire, parcouru de dialogues simples, loin des punchlines des précédents volets bref, retrouvant la voix de la rue qu'était Rocky. Le combat final précédé du rituel entraînement fait plaisir et donne des frissons, mis en scène avec simplicité et réalisme, où le résultat final importe moins que le parcours intérieur d'un homme brisé qui veut connaître une ultime fois le frisson du ring. Magnifique. D'autres critiques sur
Stallone boucle la boucle, et met un point final à l'une des sagas les plus cultes de l'histoire du cinéma. Une fois encore, comment ne pas voir l'homme au travers du personnage. Ce dernier combat, cette renaissance comme celle de Stallone lui-même, qui pour la caractériser fait une dernière fois appel à son alter-égo Rocky. Tout n'est pas parfait, mais le film a le mérite d'être juste, et d'avoir été fait pour de bonnes raisons.
Un épisode final qui réhabilite le 5e opus et qui permet à Stalonne d'offrir un bel adieu à son personnage fétiche (avec Rambo... dont le 4e est à venir). Ce film est une parfaite synthèse des épisodes précédents avec le côté émouvant (Rocky sans le sou, vivant dans le souvenir de son glorieux passé et pleurant la mort de son Adrian, ses relations difficiles avec son fils...) et le côté fun (l'entrainement, le combat, le retour de Paulie plus drôle...) Le scénario est émouvant mais c'est surtout l'exploit qu'a réalisé Stalonne qui force le respect : rendre crédible le retour de Rocky (à 60 ans!) sur un ring et face à un jeune ! Un retour incroyable et un adieu magnifique!