Très bon retour de rocky après le décevant 5ème volet on retrouve ici rocky à la retraite contrain de remonter sur le ring des années plus tard très bon scénario avec une fin exceptionnel
Dernier volet de cette fabuleuse saga qui est celle de Rocky. Sly a pris un coup de vieux mais il reste crédible dans son rôle et même pendant les combat. Dans ce dernier volet, on voit ce qu'est devenu la vie de Balboa qui vit tout seul depuis la mort de sa femme. De plus, son fils ne vient jamais le voir. Cependant, dans cette période de deuil l'ancien champion n'a jamais perdu la flamme du combat, et décide de reprendre l'entraînement pour préparer son retour sur le ring. Finalement, il va se battre contre le champion actuel qui est accusé de faire des combats sans cœur. Pendant, la préparation à ce combat, son fils se rapproche de lui, et la vie de Rocky reprend couleur. Au passage, je n'aime pas trop le combat qui trop ressemble à un combat filmé d'eurosport. Cela dit, ce Rocky est assez triste et nous rend nostalgique aux premiers opus notamment à cause des Flashbacks. Bref, un très bon Roky qui conclut plus que bien cette grande saga qui a eu ses hauts( épisodes 1,2,5 et 6) et ses bas( épisodes 3 et 4).
Malgré un discours relativement pertinent sur la nécessité de ne jamais abandonner ses rêves tant qu'on peut se donner les moyens de les réaliser, Rocky Balboa a malheureusement tout pour être détesté.
Outre les incohérences majeures d'avec le film précédent (le combat final d'un Rocky ruiné dans l'opus précédent pour cause de problème de santé rendant impossible tout nouveau combat 20 ans plus tôt mais bizarrement envolés dans celui-ci) et la volonté quasi maladive de renouer avec les origines du premier film (quitte à reprendre dès le générique du début le refrain du titre chanté acapela par les loulous du coin et à ré-embaucher à l'arrache le premier adversaire cinématographique du boxeur, sans parler du rôle féminin, à croire que s'il avait pu nous sortir le chien il l'aurait fait!) la mayonnaise ne prend jamais malgré tous les efforts d'un Stallone nous la jouant semi guide spirituel effectuant un ultime pélerinage sur les vestiges d'une carrière bien trop tôt sacrifiée sur l'autel du dieu dollar.
Un film dont le seul mérite aura été de rendre à nouveau "Bankable" (pionnier dans le domaine et suivi de près par les Schwarzy et autres Willis, eux aussi réduits à renouer avec les succès d'autrefois) un acteur qui aurait tant gagné à ne pas se compromettre en tant qu'auteur
Ado, j'avais vibré quand Rocky avait massacré le soviétique. J'ai pris un coup de vieux et lui aussi mais je lui dit un grand merci pour m'avoir fait revivre un peu de cette époque. C'est une trés belle fin pour cette saga.
Pour moi, il été impossible de faire encore plus nul que "Rocky 5" je me suis planter. Ce nouvel opus est de nulité total, un film sans aucun interêt, c'est une question de $ c'est tout !
Bien des années après la sortir de Rocky 5 qui été une vrai daube comme on en voir rarement, voila que l'on nous sort un sixième épisode, j'aurais penser qu'avec les années qui ce sont écoulés, on nous aurais fait un film digne des trois premiers, et malheureusement ce n'est pas le cas, car on s'ennuie grave. Pendant 1h Rocky nous raconte ça vie ( et tous y passe, snif ma femme est morte, snif mon fils est pas gentil, snif je suis vieux, snif on a fait un film tous pourri sur moi ) puis pour les 20 dernières minutes on a droit a un combat, qui est aussi passionnant qu'une journée cher le dentiste, et aussi visible que les matchs de canal+ avec une vue a 2km du terrain, le tous accompagner défaits biens nazes, sans oublier une fin pas du tous prévisible.. Voila le film qui ne failler pas faire, j'ai peur du résultat de Rambo 4, mais on sais jamais..
Totalement imperméable au monde de la boxe, sauf pour les sublimes Raging bull, Ali et When we were kings, où la vie "bigger than life", la rage, la gagne, la sueur, lendurance, lexaltation, lhonneur, le respect, etc., sont bien visibles à lécran, ici tout nest que larmoiements, nostalgie, poncifs, égocentrisme, Botox (seule la mâchoire inférieure de Sylvester Stallone bouge), ânonnements, scénario bâclé, musique envahissante avec trémolos. Ouf, voilà, la saga est finie : lAmérique arrogante a du plomb dans laile !
Stallone joue beaucoup sur la vibre de la nostalgie et bien que les dialogues soient simplistes ils nous frappent par leur justesse. Tout simplement un beau film assez émouvant et finissant par un explosif combat de boxe.
Avec, en 2006, une carrière en berne depuis longtemps (dans son dernier grand film, Copland, dix ans plus tôt, il apparaissait déjà comme affaibli), Sylvester Stallone joue sa dernière carte en déterrant le héros qui l’a fait connaitre et en donnant un sixième opus à une franchise que l’on pensait tous close depuis longtemps. Mais, rendre crédible le retour d’un boxeur devenu grabataire semblait inconcevable et le refus de Talia Shire de reprendre le rôle d’Adriana n’aidait pas non plus à alimenter le mythe de Rocky. Et pourtant, en jouant sur la mélancolie d’un personnage endeuillé, vivant dans le souvenir de sa gloire et n’arrivant pas à retrouver l’affection de son fils (bizarrement renommé Robert Jr au lien de Rocky Jr !), Stallone réussit à prouver que Rocky est un être fragile, terriblement attachant, loin des rôles de brutes bodybuildés dans lesquels l’avait, à ses dépens, enfermé le cinéma américain depuis plus de vingt ans. De plus le scénario prend soin à ne pas essayer naïvement de faire de lui un surhomme encore capable, à 60 ans, de battre à plat de coutures de jeunes boxeurs ni de créer un opposant détestable (si Antonio Tarver n’est pas très convaincant en boxeur peu sûr de lui, ses enjeux restent bien écrits), mais continue, comme dans les premiers films, à dénoncer l’influence négative des agents commerciaux sur la boxe et à glorifier le dépassement de soi. La conclusion est, comme le veut la tradition, un match habilement filmé puisqu’il débute vu depuis une caméra lointaine pour nous mettre, au fur et à mesure que Rocky se prend des coups, dans sa tête. Avant d’en revenir à ses rôles brutaux avec Rambo et les Expendables, Stallone a donc bien prouvé qu’il restait un grand cinéaste en signant de retour en force remarquable.
Quelle surprise fut ce "Rocky Balboa" début 2007. Un uppercut. Et même pas un uppercut dans la tronche, mais un uppercut au coeur. Un direct au coeur. Car plus que jamais, Stallone est Rocky. Il y a toujours mis de son vécu et de son évolution au fur et à mesure des années et des suites qui ont suivies, mais un tel décoffrage, un tel regard sur son parcours, sur sa niac, il n'y a que sur le premier "Rocky" qu'il avait atteint une tel réussite émotionnel. N'ayant pas fait les bons choix de carrière, Stallone s'est retrouvé seul, has been, mais il a démontré qu'il en avait encore dans le bide. Sa mise en scène est à l'image du film: un granit brut d'émotion, sans aucune trace de sculpture. Pas de mouvement de caméra complexe, pas de stylisation, du brut, direct, simple, pas non plus de recherche de la coupe parfaite au montage, c'est un découpage sec, brut, incisif. C'est une approche qui colle parfaiement à l'histoire et au sujet du film. Tel "Rocky" premier du nom, ce dernier opus est une leçon de vie qui vise droit au coeur. Ne jamais lâcher, prouver au monde que l'on vaudra encore et toujours quelque chose, se relever quoiqu'il arrive. La marque des grands.