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    Rocky Balboa
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    3,7
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    1 419 critiques spectateurs

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    Ti Nou

    497 abonnés 3 499 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2008
    Lucide sur ses erreurs passées, Stallone livre l'épisode le plus émouvant de la saga et retrouve sa crédibilité. Il dresse un parallèle brillant avec sa carrière et fait ses adieux au personnage qui l'aura sorti de l'anonymat de la meilleure manière possible.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 mars 2016
    Je sais que ce sixième opus marquant la résurrection de Rocky Balboa est considéré par les fans comme le meilleur épisode depuis le premier, malgré tout je ne pouvais m'empêcher de partir sceptique quand à ce "Rocky Balboa"; je veux bien croire que le cinquième épisode mal-aimé n'offrait à Rocky le chant du cygne qu'il méritait aux yeux des fans mais moi j'adore cet opus envers et contre tous et sa retraite, Rocky l'a prise dans le V. Ce dernier combat de rue n'avait déjà pas lieu d'être alors il me paraissait hautement incohérent que Rocky remonte un jour sur un ring, surtout qu'avec un tel postulat on oublie volontiers tout ce qui concernait le traumatisme crânien à l'origine de la retraite de Rocky ce qui me fait toujours tiquer. Mais bon, relativisons, la saga était déjà censée s'arrêter au premier et chaque suite est comme greffée par-dessus son prédesseceur. Et puis après l'avoir vu ce sixième opus je l'avoue, le film est si beau et amène ce postulat d'une si belle manière que quels qu'aient été mes à-prioris je ne peux qu'applaudir. Stallone est à jamais Rocky Balboa, il a mûri en même temps que le personnage et ça se sent. Si les premières minutes jouent trop, je trouve, la carte du pathos nostalgico-dépressif avec une certaine tendance à sortir les violons, le film retrouve assez vite ce ton si simple et plein de bonne volonté à l'image du personnage qui faisait l’identité de la saga, renoue même avec sa puissance d’antan dès le montage alterné de l’entraînement qui a su titiller la fibre nostalgique (enfin j’ai découvert la saga il y a deux semaines mais je me comprend) et qui m’a laissé avec le même sourire ahuri qu’avait su faire le second, pour culminer dans son dernier acte sur une confrontation digne des plus grands matchs de la saga, débouchant sur une fin si belle, illustrant si parfaitement le message du film comme l’humilité de Rocky, qu’elle me donne envie de lui accorder à elle seule un 5/5. Enfin, il est rare que j'aille jusqu'à louer le générique de fin d'un film mais celui-ci capte à la perfection ce qui fait de la saga "Rocky" une œuvre à ce point universelle et intemporelle, et une telle source d'inspiration, et ça c'est beau. Finalement il se pourrait que ce sixième opus soit bien la retraite que méritait le champion.
    stallonefan62
    stallonefan62

    290 abonnés 2 554 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2021
    Quel retour !! Un film plein d'émotion,de bravoure,de moments très forts et de nostalgie . Stallone montre ses talents d'acteurs avec l'émotion qu'il dégage et donne une vraie leçon de vie à son fils !! La 1ère partie est pleine d'émotions avec un Rocky qui se remémore le passé !! La dernière partie du film se veut plus spectaculaire !! Dès que la musique retentit pour son entrainement, on frissonne de suite !!! Le combat est assez spectaculaire avec de bonnes séquences et une réalisation différente mais très réussis !! Stallone est encore incroyable, physiquement il en impose !! Un comeback réussi pour Rocky à l'instar de Stallone, décidément à la vie comparable à celle de son personnage fétiche ...
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 février 2023
    A voir et à méditer !

    Rocky Balboa est une brillante et touchante analyse du combat qu’est la vie. C’est une leçon de courage et d’abnégation. C’est un cri du cœur, au nom de l’amour, du respect et de la volonté « spoiler: Ce qui compte ce n’est pas combien tu peux frapper, mais combien tu peux encaisser les coups, et continuer d’avancer.
    » Tout simplement fantastique, magnifique, magique !

    Un jeu d’acteur au summum de la perfection, accompagné d’une réalisation et d’un montage sobres et efficaces servent un scénario habile et intelligent. La puissante, célèbre et magnifique musique de Bill Conti souligne à la perfection les émotions d’une trame savamment orchestrée. Bref, il n’y a aucune catégorie dans laquelle Rocky Balboa n’eut mérité de remporter l'oscar. En un mot, Rocky Balboa confine à la perfection, et est définitivement un des plus grands films des années 2000 et au-delà.

    Rocky se bat au nom de l’amour ; pour ceux qu’il aime et qui l’aiment; donnant au passage une leçon d’amour (propre) et de respect qui sont le plus bel exemple que l’on puisse donner aux jeunes, et moins jeunes. Hier, aujourd’hui, comme demain, et en tout cas surtout de nos jours… A voir et à méditer !

    Sylvester Stallone, et son alter-ego Rocky Balboa, ont bouclé la boucle en achevant un grand voyage initié il y a 47 ans, gagnant le cœur et le respect des spectateurs du monde entier grâce à leur RESPECT, leur AMOUR, leur HUMANITE, leur COURAGE, leur INTEGRITE, leur INTELLIGENCE et leur SAGESSE ! Tels sont les traits de caractères de Rocky, et de Sylvester Stallone qui est un grand auteur : scénariste, acteur et réalisateur.

    5/5
    moket
    moket

    528 abonnés 4 333 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juillet 2020
    Stallone a beau n'avoir pas fait que des chefs d'oeuvre et avoir subit quelques liftings moyennement réussis, il reste définitivement sympathique tout comme son personnage de rocky, qui est LE personnage de sa carrière. Ici, oublié le numéro 4 et son parfum de guerre froide, oublié le numéro 5 et son parfum de navet, et retour aux sources avec ce film plein de nostalgie et de souvenirs. Ce film parle d'un boxeur sur le retour, nostalgique de son ancienne gloire, qui décide de reprendre les gants face à un champion prétentieux. Le film, lui, n'est pas prétentieux, mais simple et attachant. Une leçon de vie pour le jeune boxeur, pour le fils de Rocky, etc... Un film profondément humaniste malgré ses allures de psychologie de bas étage. La saga Rocky s'achève en beauté avec le meilleur opus de la série.
    shmifmuf
    shmifmuf

    179 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2012
    Retour aux sources et donc à la rue (il n'est pas S.D.F. je précise) pour Rocky redevenu un loser et par conséquent un personnage attachant comme dans les 2 premiers opus de la série.
    Stallone traîne sa volumineuse carcasse avec une grace et un charisme indéniable dans ce film en forme de dernière révérence qui signe la fin d'un personnage devenu une icône du cinéma américain.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 juillet 2007
    Plus j'y repense et plus je me dis qu'il faut parler de chef d'oeuvre. La démarche de Stallone est en effet d'une sincérité si désarmante et si sincère qu'elle emporte notre adhésion. Les dialogues sont somptueux...on rit beaucoup et on a aussi la larme à l'oeil...Que demander de plus au cinéma ?

    Stallone est juste de bout en bout comme transcendé par son personnage dont il sait la fin de carrière cinématographique proche. On ressort du film KO, bouleversé et ému jusqu'aux larmes.

    Stallone, injustement méprisé et sous estimé, (revoyez "Fist" ou "La Taverne de l'enfer" ou encore le premier "Rambo") rappelle à tout le monde son génie et son savoir faire et revient largement au dessus de la mêlée.

    Un film au coeur ENORME.

    Merci Mr Stallone...Du TRES GRAND ART !
    artaud
    artaud

    26 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mars 2007
    Je ne comprends absolument pas où on veut en venir avec ce combat truqué de la mythologie hollywoodienne. Alors si on retire le match, dont le montage et le cadrage m'ont fait sauté au plafond, on a cru revenir à ce personnage très bien conçu qui est Rocky 1. Un peu débile social, un peu looser qui a réussit mais dont le mouvement s'éteint comme la ptose des pectoraux, c'était bien. Très peu psychologique, toujours des bons mots, moraliste, c'était cela rocky... Le problème, c'était le message de sincérité. Stallone croit à son personnage sans recul, car ce n'est plus un danger pour lui. Alors Rocky n'a plus de fond. C'est du remplissage et du mensonge sur la situation épique et satyrique du héro. C'est à peu près le même constat d'aliénation pour le héro Rambo qui parait-il va trouver suite. Je ne crois pas faire état d'un message que j'ai bien voulu croire concernant la véracité du personnage de Rocky, de la double précarité, et physique et mentale, en connaissance de cause, de la vie et d'une résilience infligée...
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    694 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2017
    Avec ce septième opus Sylvester Stallone boucle la boucle en signant un film spontané, réservé, touchant et humble, pour rendre lui-même hommage au rôle de sa vie en réalisant le digne héritier du premier Rocky de 1976. Trente années ont passé, mais toujours le même Rocky, toujours le même Stallone.

    https://m.facebook.com/la7emecritique/
    Oni
    Oni

    20 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2024
    Rocky Balboa : Le retour du vieux lion qui rugit encore

    Le gars Rocky, il a beau avoir rangé ses gants depuis longtemps, il s’ennuie comme un rat mort. Son resto, "Adrian’s", c’est bien sympa, mais quand t’as été champion du monde, faire la causette avec des clients, ça manque de sel. Alors que son fils préfère esquiver son ombre plutôt que de boxer avec, Rocky décide qu’il est temps de remonter sur le ring, histoire de prouver que la vieillesse, c’est qu’un état d’esprit. Et hop, c’est reparti pour un dernier tour de piste, mais cette fois, c’est plus Gran Torino que Rocky IV.

    Seize ans après avoir (plus ou moins) passé le flambeau dans Rocky V, Stallone se remet aux commandes et devant la caméra pour un film qui sent bon la nostalgie. On a l’impression de voir une relecture du premier Rocky, mais avec plus de rides et moins de pectoraux. Stallone se concentre sur la psychologie de son personnage, qui a pris un coup de vieux mais garde ce cœur gros comme un camion. Et franchement, c’est ça qui marche : un Rocky usé par la vie, mais toujours prêt à mettre un uppercut à la déprime.

    Dans Rocky Balboa, Sly ne cache rien. Il s’attarde sur la mélancolie du personnage, qui tire le bilan de sa vie, se demande où il a merdé, et se souvient avec émotion de sa défunte Adrian. Le film prend le temps de nous montrer un Rocky qui doute, qui souffre, mais qui reste debout, toujours prêt à en découdre, même si c’est contre ses propres démons. Et ça, ça touche, parce que ce vieux lion nous fait sentir toute la tendresse et l’attachement que Stallone a pour ce personnage qu’il a incarné et façonné pendant des décennies.

    Le montage du film joue à fond la carte de la nostalgie, avec des images d’archives et des clins d’œil aux opus précédents. On retrouve les classiques : l’entraînement, les souvenirs, et cette énergie qui monte crescendo jusqu’au combat final. Stallone, malgré quelques excès d’émotion ici et là, arrive à nous prendre par les tripes. Il gère les images comme un chef d’orchestre, nous plongeant dans cet univers où chaque coup porté résonne comme une cloche dans une église déserte.

    Le dernier combat, c’est pas juste un duel de boxe, c’est un symbole. Rocky remonte sur le ring pour prouver qu’il a encore de la hargne, qu’il n’est pas prêt à prendre sa retraite, même si ses os grincent un peu. Et c’est là que le film atteint son apogée : Sly, dans le rôle de sa vie, nous fait vibrer une dernière fois avec une énergie et une émotion qui nous rappellent pourquoi on a toujours aimé ce gars. Le ring est peut-être devenu son champ de bataille intérieur, mais il y met autant de cœur que dans ses combats passés.

    Rocky Balboa, c’est l’adieu d’un champion, mais pas un adieu triste. C’est un hommage sincère à ce personnage devenu mythique, avec une dose de mélancolie, beaucoup de respect et une belle dose d’énergie. Stallone a réussi son pari : remettre Rocky sur le ring pour un dernier tour, avec toute l’émotion et la puissance qu’on attendait. Alors ouais, c’est un retour gagnant, et on se prend à espérer que ce lion ne rangera jamais vraiment les gants.

    Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
    Anthony C.
    Anthony C.

    17 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Bien qu' elle ne soit pas exempt de défauts , et que tous les volets ne sont pas à proprement parler de grands films , la saga Rocky à une place de choix dans mon cœur de cinéphile.
    Après le semi échec commercial de Rocky 5 en 1990 , Stallone fait le pari insensé de faire revenir après une absence de 16 ans un de ses personnages les plus marquant : Rocky Balboa.
    Pour ce sixième volet , Stallone revient à la réalisation et démontre encore une fois tout son talent de metteur en scène mais également d' acteur.
    On retrouve également le monsieur à l ' écriture et la encore on retrouve toute l 'admiration que Stallone porte à son personnage fétiche.
    C' est donc avec plaisir , mais aussi beaucoup d' émotions , que l ont retrouve l ' ex champion du monde des poids lourds aux lendemains de sa grande carrière , à la tempe grisonnante , mais toujours aussi attachant.
    C' est là la grande force de sixième volet , c ' est qu il joue sur la corde nostalgique du spectateur , et nous rappelant par le biais de flash-back utilisés avec parcimonie , les moments forts de sa vie passés.
    Le film est une réflexion touchante , mais jamais trop appuyée , des années qui passent , du temps qui a défilé, et qui a enlevé au champion les choses auquel il tenait ( son titre, mais également sa femme).
    Ici c ' est donc un regard mélancolique qu ' y est privilégié dans l ' écriture du scénario sur la vie de Rocky et qui nous permet de s' attacher au personnage.
    Loin de l 'esbroufe et du coté too much des 3 éme et 4 éme volet , ici on retrouve donc l ' émotion et la simplicité que l ' ont avait dans le premier Rocky.
    Bien aidé par des second rôles à la hauteur ( notamment Milo Ventimiglia peu présent mais étonnamment bon) , et quel plaisir de retrouver Burt Young dans le rôle de Paulie et avec un personnage un peu plus consistant qu 'a l' accoutumé.
    La trame scénaristique dans ce 6 éme volet est proche des autres films de la saga et ce n ' est pas un défaut en soi . L' accent est plus mis sur la rédemption du personnage de Rocky que sur le combat final.
    Car oui , il y a ici aussi un combat final entre Rocky et Mason Dixon ( Antonio Tarver). Et la encore , grâce à la mise en scène exemplaire de stallone, le combat est très réaliste et surtout bien filmé.
    Seul ombre au tableau , elle vient du personnage de Mason Dixon.
    Car Antonio Tarver ( véritable champion du monde de boxe mi lourd il faut le préciser) n ' a pas l ' assurance et la punch de Carl Weathers , ni la carrure intimidante d' un Dolph Lundgren de la grande époque.
    Le combattant ne convainc jamais dans son rôle d ' adversaire , et le personnage n est pas assez bien écrit ou exploité pour que l ' on s y intéresse vraiment ( n' est pas Apollo Creed qui veut)
    Le compositeur Bill Conti revient aussi sur la bande originale et bien qu ' il reprenne avec talent le thème musical des autres films , on l ' a connu plus inspiré , notamment lors de la scène finale.
    Ces maigres défauts, ne viennent entacher en rien le plaisir que l' ont à de retrouver Rocky au meilleur de sa forme. Une sorte d' oeuvre final , un dernier tour de piste avant les adieux . Un passage de flambeau en quelque sorte, pour un futur champion tout trouvé avec le spin off ... Creed.
    Hammerstorm
    Hammerstorm

    71 abonnés 601 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2013
    Malgré les 16 années qui séparent le 5ème du 16ème opus, Stallone parvient à nous faire frissonner de plaisir jusqu'à la fin.L'émotion est toujours au rendez-vous. Rocky est définitivement une légende jusqu'au dernier round.
    Incertitudes
    Incertitudes

    205 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2008
    Après 10 ans de vaches maigres qui l'ont vu enchaîner les séries B avec un rythme de métronome, Stallone ressucite un des personnages qui ont fait sa gloire : Rocky Balboa. Facile me direz-vous. Sauf qu'il le fait avec la manière. Tout le film repose sur lui. Il l'interprète bien sûr mais il l'a aussi écrit et réalisé. Point très important, Stallone, quand il le veut bien, peut être un très grand réalisateur et un très grand acteur. Il nous le prouve ici. Il ne privilégie pas les combats, il n'y en a en tout et pour tout qu'un seul et dure une dizaine de minutes. Non, pour lui l'essentiel n'est pas là. Il préfère revenir aux sources du premier Rocky avec son émotion, son humanisme, sa sincérité, sa naïveté. Fini le manichéisme, le patriotisme des précédents épisodes. Le film, avant tout, est très nostalgique. Rocky se lève, donne à manger à ses tortues, se recueille longuement sur la tombe de sa femme. Il tient un restaurant où il passe son temps à raconter les histoires de sa gloire passée aux clients. Les observateurs de la boxe fustigent les combats manquant de passion, regrettant l'époque où combattait Rocky. Il est seul face au temps qui passe. Rocky Balboa traite aussi de la difficulté qu'a un père, célèbre, à communiquer avec son fils, sachant que ce dernier l'accuse de toujours lui faire de l'ombre. Le discours, on le connaît mais de la bouche de Rocky, il est toujours plaisant à entendre. Il faut croire en ses rêves. Ce qui compte, c'est de s'écouter, d'avoir envie. Encaisser pour avancer. De faire ce pour quoi on est fait et peu importe les fausses barrières comme l'âge que les autres essaient de nous mettre en travers de la route. Le combat de fin, de par l'attente qu'il a suscité, de par son émotion et son intensité, est l'aboutissement de tous les Rocky depuis le premier en 1978. Quoi qu'il arrive, Rocky avait gagné. En même temps que le retour du fameux boxeur sur les rings, Stallone signe son grand retour au cinéma. Il nous avait manqué.
    yohanaltec
    yohanaltec

    97 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mai 2014
    Stallone montre qu'il est toujours en forme avec ce 6ème et dernier volet de la saga culte Rocky. Il prouve ici qu'il peut être un grand romantique (les scènes sur la tombe d'Adrian, touchantes à chaque fois) et les flash back de l'époque. Il n'est peut être pas aussi bien que les 4 premiers, mais en tout cas il est mieux que le 5 qui avait bien bu la tasse. Goodbye Rocky.
    RealPrime
    RealPrime

    84 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2018
    Centre une nouvelle fois sur la relation père/fils, je viens de le voir en ce Lundi 10 Octobre 2016 au matin. Mais cette fois-ci c’est un véritable choc des cultures entre une nouvelle génération connectée et baignée dans le luxe moderne et le monde de la finance. Des médias qui ne sont presque plus radios pour retransmettre les combats mais la télé plus que modernisé, des journalistes analysants les futures rencontres avec des simulations 3D. Des jeunes utilisant leurs propres langages de rues, provocations, insultes, thermes vulgaires. Une toute nouvelle génération quoi. Et ça fait bien bizarre lorsqu’on se dit qu’on à jusqu’à maintenant vue et entendue les années 70 et 80. spoiler: Une scène très émouvante entre Rocky et Paulie sur le terrain de l’ancienne patinoire ou ils se remémorent leurs vieux souvenirs. Mais Paulie ne supporte pas cet instant car accablé par la mort d’Adrianne. Un instant insupportable pour lui qui le fait bien savoir à Rocky.
    Le fils de Balboa est cette fois-ci un jeune ambitieux du monde de la finance, excédé par la popularité que son père provoque à chacune de ces apparitions. Ne pouvant presque plus travailler comme il faut. Rocky lui est devenue propriétaire de restaurant et accumule histoire sur ses succès passés. Enfin, un jeune noir accro aussi bien à la boxe qu’au basket. Entouré de voiture de sport de luxe, jolies fille et grosse villa vitrée. La presque grosse tête quoi. Une rencontre avec une très ancienne connaissance d’un jour changeant la vie du héros et qui va devenir sa collègue et grande amie avec en plus, son fils. Encore des provocations entre l’ancien boxeur star et vétéran d’une grande époque, une nouvelle génération écroué sous les contrats d’exclusivité, l'argent, la gloire et les managers les poussant à croire qu’ils sont les meilleurs. Sans suivi d’un entrainement avec toujours une très belle comparaison d’entre 2 monde, la simplicité et le luxe. Un combat très coloré et très strass dans un Vegas gonfler à bloque. Et un jeune boxeur noir qui frôle et voir même se fait humilier mais c’est très épatant, se fait humilier dans un grand respect par son vétéran. Une grande et belle leçon de vie sur des valeurs sportives, ne pas se faire piéger et avoir par des managers excentriques, ne pensant qu'à la gloire et au gros sous. Une avant dernière histoire avant que je puisse voir le tout dernier volet de cette saga cultisme. Partant de 2 navets, j’en pars avec 3 chefs d’œuvres grandioses de réalisme. La fin d’une grande saga cinématographique avec ses musiques et chansons cultes. Tout de même très heureux de les avoir tous enregistrer un par un de les avoir tous vu, un par un puis jugé et noté.
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