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Votre avis sur Le Prestige ?
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Cher M. Nolan,
Me prendriez vous pour un idiot ? Même si la probabilité que vous lisiez ces mots est extrêmement faible, cette dernière reste déjà plus grande que la probabilité de voir un jour la duplication d'objet ou de personne par un mystérieux procédé à base de décharges électriques. Je sais bien que l'art vous permet d'introduire du merveilleux dans un monde réaliste mais encore faut-il permettre à vos spectateurs d'y croire. Là, tout votre film se déroule dans un monde réaliste où vous vous attachez à faire disparaitre toute magie, à nous expliquer chaque tour, à insister sur le rôle de l'ingénieur concepteur des mécanismes. De plus cet appareil d'exception aurait été, dans votre film, inventé par un réel scientifique : M. Tesla. Vous faites vraiment tout pour qu'on ait vraiment pas envie d'y croire.
Hors ce défaut sur lequel j'aurais pu passé, le principal problème de votre film réside dans le fait que vous ne structurez pas votre film de manière linéaire. Si d'habitude je suis plutôt friand de cette lecture non linéaire des évènements, elle est ici un grave handicap. Vous introduisez dès les images du procès Fallon que je reconnu, bien que j'eus encore un doute à ce moment là. Même filmé en plan large et de manière très courte, un regard ne se trafique pas et se reconnait aisément. De plus, tiraillé à la fois par l'envie de nous montrer Fallon pour qu'il n'apparaisse pas de nulle part au milieu du film et le besoin de le cacher vous fîtes alors l'erreur grossière de tellement chercher à le cacher (plan large, image courte, personnage dans l'ombre de son chapeau avec maquillage grossier et une grosse barbe) qu'on ne peut que le voir. Dès lors, c'est Fallon que je regarde à chacune de ses apparitions et les dialogues pouvant appuyer cette thèse que j'écoute afin d'en avoir le cœur net et très vite mon doute se transforme en certitude. Je n'ai donc plus beaucoup d'intérêt pour le film que vous me présentez. Un tour dont on connait le mécanisme n'a d'intérêt que pour le magicien qui voudrait le reprendre et le transformer.
Bref, il reste tout de même un rythme bien mené, une réalisation assez propre mais sans grande originalité et éventuellement un discours de surface sur l'artiste et son rapport à l'art avec 2 visions proposées par nos 2 antihéros, mais cela reste bien trop peu pour faire de votre film plus qu'un divertissement moyen.
Me prendriez vous pour un idiot ? Même si la probabilité que vous lisiez ces mots est extrêmement faible, cette dernière reste déjà plus grande que la probabilité de voir un jour la duplication d'objet ou de personne par un mystérieux procédé à base de décharges électriques. Je sais bien que l'art vous permet d'introduire du merveilleux dans un monde réaliste mais encore faut-il permettre à vos spectateurs d'y croire. Là, tout votre film se déroule dans un monde réaliste où vous vous attachez à faire disparaitre toute magie, à nous expliquer chaque tour, à insister sur le rôle de l'ingénieur concepteur des mécanismes. De plus cet appareil d'exception aurait été, dans votre film, inventé par un réel scientifique : M. Tesla. Vous faites vraiment tout pour qu'on ait vraiment pas envie d'y croire.
Hors ce défaut sur lequel j'aurais pu passé, le principal problème de votre film réside dans le fait que vous ne structurez pas votre film de manière linéaire. Si d'habitude je suis plutôt friand de cette lecture non linéaire des évènements, elle est ici un grave handicap. Vous introduisez dès les images du procès Fallon que je reconnu, bien que j'eus encore un doute à ce moment là. Même filmé en plan large et de manière très courte, un regard ne se trafique pas et se reconnait aisément. De plus, tiraillé à la fois par l'envie de nous montrer Fallon pour qu'il n'apparaisse pas de nulle part au milieu du film et le besoin de le cacher vous fîtes alors l'erreur grossière de tellement chercher à le cacher (plan large, image courte, personnage dans l'ombre de son chapeau avec maquillage grossier et une grosse barbe) qu'on ne peut que le voir. Dès lors, c'est Fallon que je regarde à chacune de ses apparitions et les dialogues pouvant appuyer cette thèse que j'écoute afin d'en avoir le cœur net et très vite mon doute se transforme en certitude. Je n'ai donc plus beaucoup d'intérêt pour le film que vous me présentez. Un tour dont on connait le mécanisme n'a d'intérêt que pour le magicien qui voudrait le reprendre et le transformer.
Bref, il reste tout de même un rythme bien mené, une réalisation assez propre mais sans grande originalité et éventuellement un discours de surface sur l'artiste et son rapport à l'art avec 2 visions proposées par nos 2 antihéros, mais cela reste bien trop peu pour faire de votre film plus qu'un divertissement moyen.
Les décors et les acteurs sont appréciables. Mais bon le film devrait être renommé en "Le Prévisible".
Répliques qui font mouche, suspense, scénario convainquant malgré quelques extrêmes et jeu d'acteur frôlant la perfection, le prestige est un film des plus stimulant. Un vrai moment de plaisir à passer devant un écran, le manque d'action est délicieusement compensé par ces sublimes scènes de manipulation et fourbes confrontations, à voir, en tant que prestidigitateur j'ai été complètement bluffé par ceux-ci.
Un 1er quart un peu long a demarer mais le reste du film n'est que pure plaisir.
La fin vraiment réussi, du grand Nolan; A voir !
La fin vraiment réussi, du grand Nolan; A voir !
Avec sa mise en scène stylée, Christopher Nolan nous plonge dans l’univers énigmatique de deux magiciens amis, puis rivaux de la fin du 19ème siècle à Londres. L’ère victorienne est magnifiquement reconstituée aussi bien par la qualité des décors que des costumes. Brillamment construit, le scénario est ingénieux bien que non linéaire et demande une grande attention. Cependant, la narration reste parfaitement lisible grâce à la précision du montage. L’histoire surprend constamment et se dévoile petit à petit, entre obsession, suspense et humour noir jusqu’aux révélations finales. Hugh Jackman et Christian Bale se complètement admirablement bien et Michael Caine, Scarlett Johansson, Rebecca Hall ainsi que David Bowie sont de luxueux seconds rôles. «Le Prestige» est complexe, astucieux et captivant ... comme un tour de magie.
CHEF d'OEUVRE .. Meilleur film que j'ai vu cette semaine .
un film qui sort de l'ordinaire , avec beaucoup de suspens , des acteurs à la hauteur , un scénario d'enfer , et une réalisation merveilleuse , c'est pour ça nous avons crée le cinéma , c'est pour nous stupéfier !
un film qui sort de l'ordinaire , avec beaucoup de suspens , des acteurs à la hauteur , un scénario d'enfer , et une réalisation merveilleuse , c'est pour ça nous avons crée le cinéma , c'est pour nous stupéfier !
Très bon film ! Suffisant pour que je laisse une critique. Je l'ai louer sous le conseil d'un ami, je n'en avais jamais entendu parler et agréable surprise
La magie, un domaine bien peu exploité dans le cinéma. C'est peut être cela qui a poussé Nolan à nous offrir ce magnifique thriller avec un duo d'acteur de prestige le tout avec une très belle réalisation.
Enfin vu, mais le fait que je trouve le twist coute une demi-étoile ! L jeu des acteurs est épatant et j'ai adore D. Bowie en Tesla !
Nolan est incontestablement un maître du cinéma. Je n'ai pas grand chose à dire sur ce film à part que je me suis régalée, un pur moment de cinéma. Je dois quand même avouer que je trouve Christian Bale meilleur que Hugh Jackman, mais très bon duo.
Excellent film. Un thriller dans un milieu peu exploité par le genre, mais qui parvient à un très bon résultat. Ce film a tout de ce que l'on puisse attendre d'un thriller.
Tout simplement magique. Un film presque méconnu. Un duel au sommet, un affrontement tant physique que psychologique. Un jeu de duperie et d'illusions démontrant avec brio l'ingéniosité de ce scénario original.
Le Prestige est un film qui est "prestigieux" sous bien des égards que cela soit au niveau de la réalisation ou du jeu des acteurs. Le scénario est très bien mené, même si l'on est un peu perdu la première fois, et nous emmène peu à peu dans l'horreur et la dangerosité d'une obsession jusqu'à la fin, point culminant et surprenant sur plusieurs plans. Les acteurs jouent tous à la perfection et remplissent leur rôle jusqu'au bout. Néanmoins, je déplore une réalisation américanisé qui a à cœur de nous en mettre plein la vue jusqu'à nous choquer. En résumé, un film qui s'enfonce dans la décadence d'un trop plein de fierté et d’orgueil pour finir par nous "mystifier" et qui se regarde aisément une deuxième fois juste pour le plaisir de percevoir le "secret" qui nous a précédemment ébloui comme le fait ce film !
maxime ...
Le Prestige est un film dont je conservais un bon souvenir, c'est certain. En revanche le revoir aujourd'hui presque cinq ans plus tard est pour moi ce qui s'apparente à une excellente surprise. Si j'avais gardé ses grandes lignes, la relecture de cette histoire une fois " débarrassé " du suspense se savoure encore plus pleinement. L'enjeu et le jeu instauré par Christopher Nolan et les siens m'a soufflé, tout de suite, à tel point que je n'ai pas vu le film filé !
Un mot pour son trio d'acteurs, Bale, Jackman, Caine, édifiant. La rivalité sans cesse repoussé, les combines en touts genres et la cascade d'émotions qui se dessinent sous nos yeux ébahis va dans la continuité de la démarche de son auteur. Cerner les tourments de l'âme humaine. spoiler: L'ultime affrontement dans ses sous-sols de ce théâtre et la discussion profondément philosophique qui se narre m'a captivé. Hugh Jackman dans son jeu tout en ambiguïté relève le défi et prend une ampleur folle. Un superbe acteur. Christian Bale dans un double rôle des plus casse-gueule démontre une ambivalence caché et visible à la fois et livre une prestation à sa hauteur. Quand au troisième larron, Michael Caine trouve ici l'un de ses rôles les plus marquants de sa carrière. Il oscille entre les lignes et repousse les limites de sa croyance pour par la suite la refreiné devant l'étendue de la situation. Bravo.
David Bowie lui aussi est à mentionné, le retrouver chamboule forcément. Scarlett Johannson, Rebecca Hall, Andy Serkis et Piper Perabo complète la distribution dans un contexte peu propice aux seconds couteaux. Néanmoins le job est fait.
Sur ses aspects techniques le film gagne aussi à être revu. J'ai été complètement ébahit par la photographie et l'image dans sa plus grande globalité. Tout est beaux, remuant, va dans l'optique de formé un alliage entre touts ses dispositifs et de formé un objet subséquent à toutes ses interprétations. C'est remarquable. Nolan signe avec ce film l'un de ses plus grands films.
Un mot pour son trio d'acteurs, Bale, Jackman, Caine, édifiant. La rivalité sans cesse repoussé, les combines en touts genres et la cascade d'émotions qui se dessinent sous nos yeux ébahis va dans la continuité de la démarche de son auteur. Cerner les tourments de l'âme humaine. spoiler: L'ultime affrontement dans ses sous-sols de ce théâtre et la discussion profondément philosophique qui se narre m'a captivé. Hugh Jackman dans son jeu tout en ambiguïté relève le défi et prend une ampleur folle. Un superbe acteur. Christian Bale dans un double rôle des plus casse-gueule démontre une ambivalence caché et visible à la fois et livre une prestation à sa hauteur. Quand au troisième larron, Michael Caine trouve ici l'un de ses rôles les plus marquants de sa carrière. Il oscille entre les lignes et repousse les limites de sa croyance pour par la suite la refreiné devant l'étendue de la situation. Bravo.
David Bowie lui aussi est à mentionné, le retrouver chamboule forcément. Scarlett Johannson, Rebecca Hall, Andy Serkis et Piper Perabo complète la distribution dans un contexte peu propice aux seconds couteaux. Néanmoins le job est fait.
Sur ses aspects techniques le film gagne aussi à être revu. J'ai été complètement ébahit par la photographie et l'image dans sa plus grande globalité. Tout est beaux, remuant, va dans l'optique de formé un alliage entre touts ses dispositifs et de formé un objet subséquent à toutes ses interprétations. C'est remarquable. Nolan signe avec ce film l'un de ses plus grands films.
Jerem69tt
Sacré film ! Il vous capte pratiquement dès le début, ne vous lâche jamais et vous libère abasourdi sur la dernière scène, car Le prestige a un sacré scénario parfaitement exploité. Une des forces est la manière dont l’histoire est racontée avec le début qui est en fait une scène chronologiquement finale du film puis une narration à travers des faits antérieurs toujours intéressant. Là où c’est intéressant aussi est au niveau de la rivalité des 2 personnages principaux : cette rivalité est marquée par 2 excellents acteurs parfaits dans leur rôle mais aussi par le déroulement du film, exemple chacun lie le journal de l’autre. Cette énorme rivalité est en fait une grosse marque d’affection. Autrement dit, on ressent toute la subtilité de cette relation arbitré par un bon (comme toujours) Michael Caine. Le thème est également très bien choisi car c’est assez peu courant. Un film sur la magie s’intéressant à la psychologie de 2 magiciens voulant être meilleur que l’autre à tout prix. La petite touche fantastique à la fin sert le film et le final est fort brillant. Nolan a fait (comme toujours) du bon boulot. Film excellent.
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