Derniers Avis : Tous à l'Ouest : une aventure de Lucky Luke - Page 5

Ce n'est malheureusement pas avec Tous à l'ouest que les studios d'animation français pourront rivaliser avec les génies de l'animation américaine tels que Pixar ou DreamWorks. Néanmoins, au vu de dessins très soignés et d'une fluidité exemplaire au niveau du rendu esthétique, les pupilles du spectateur sont entièrement rassasiées et l'on se plaît même à voir de si belles images dans une animation traditionnelle qui se fait bien trop rare. Toutefois, si l'univers de la célèbre bande dessinée est parfaitement respectée et son ambiance admirablement retranscrite, il semble bien difficile aux plus de 10 ans d'accrocher à un scénario aussi mince et à un humour qui peine à faire véritablement rire. Le résultat ne révolutionne rien à l'animation, mais Tous à l'ouest s'apparente à un spectacle familial, bien évidemment plus destiné à un jeune public, mais qui parvient tout de même à faire sourire les moins jeunes grâce à quelques références bien placées.

Très belle animation, jolies couleurs, plan 3D de toute beauté.
Après la critique technique et artistique voici celle qui concerne le scénario, les gags...: pas terrible du tout. C'est assez hystérique dans l'ensemble ce qui ne manque pas d'énerver les adultes présents dans la salle. Par contre les enfants semblent apprécier...

une nouvelle aventure de Lucky Luke qui se voit d'escorter des Européens en Californie alors que les Daltons ont caché leur butin dans un des chariots de la Caravane. Un film asse bien reussit dans l'ensemble, on apprecie toujours autant l'idiotie d'Avrel et le caractère de Joe. Mais on ressent comme un vide que le realisateur a tenté de combler par défaut. Dommage! A noter la très belle reussite du graphisme!

Dur de faire preuve d'imagination avec Lucky Luke, dont les aventures sont largement diffusées a la télé. En adaptant la Caravane, Olivier Jean-Marie a tenté de ponctuer son recit de clin d'oeils a Keaton ou a Chuck Norris. Mais ces bonnes intentions sont peu abouties et cette transpositoon manque d'asperite.

Peu d'inventivité pour ce nouveau volet thessalonique quelque part pourtant issu d'une oeuvre artistique ayant tiré son succès de sa critique sociale & de ses idées : comme disait le fameux Oscar wilde, " La responsabilité est bien l'autre mot pour désigner la lâcheté " !

Une catastrophe...Je suis pourtant un grand fan du studio Xilam et de Marc du Pontavice qui a su toujours produire de superbes series originale telle que Oggy et les cafards ou encore les Zinzins de l'espace. Mais cette adaptation de l'album "la Caravane" est des plus creuses d'originalité avec des gags usés et sans interets...Certes la tache est des plus difficile mais il n'y a aucune surprise et c'est le plus dommage... Decevant au plus haut point lorsque l'on sait de quoi le realisateurs et son equipe sont capables.

Ce Lucky Luke là est un ton au-dessous de ceux que j'ai vu. Mais il se laisse regarder, même si à mon sens Joe Dalton en fait vraiment trop. Sinon l'histoire est ultra classique: Les 4 frères dévalisent une banque et planquent le magot dans une caravane en partance vers l'ouest. Tout le monde connaît déjà la fin, le crime ne paye pas, mais il est destiné à un public d'enfant et en ce sens il devrait les ravir.

je trouve que les voix sont un peu éxagérées

C’est trop caricatural, c’est vraiment du Lucky Luke pour les enfants. Ca ne correspond pas du tout à ce qu’on peut trouver dans la bande dessiné. C’est sûrement bien plus proche en revanche de la récente série développée en dessins animés pour la télévision… Même pas drôle en plus.

Un bon dessin animé mais plutôt réservé aux enfants. Le graphisme n'est pas extraordinaire sans être moche. L'atmosphère est celle des nouvelles aventures de Lucky Luke soit un ton en-dessous des précédentes aventures. Cependant l'aventure est bien ficelée et émaillée de nombreux gags et nouveautés notamment la course poursuite dans New-York. Le doublage est réussi. On pourra regretter cependant l'exagération du caractère de Joe qui tourne au cirque rapidement, heureusement Avereil reste fidèle à lui-même tout comme Rantanplan.
A découvrir mais sans espérer le niveau des précédents bien que Lucky Luke semble effectué sa mue vers la modernité.

On ne retrouve pas l'esprit Lucky Luke.Les amoureux de la BD seront déçus.
Comment dire... c'est un film pour enfants dont on a pris l'image de Lucky Luke mais pas l'âme.

très franchement, je trouve que deux étoiles sont bien payées car pour moi, comme souvent dans les adaptations de bd, j'ai trouvé ça médiocre. Certes, je ne me suis pas ennuyée à proprement parler mais pas vraiment distrait non plus....je déconseille vraiment, regardez plutôt les dessins animés à la télé. je me demande si lucky luke n'a pas souffert du long métrage.

Je ne sais pas vraiment quelles espérances je me faisait lorsque je suis allé voir ce film, mais je dois l'avouer, je me suis ennuyer à mourir. Je me demande bien pourquoi avoir décidé de faire un film alors que les seules scènes valables viennent bien évidement de rantanplan et d'averel. De plus des scènes trop longues comme celle de la course poursuite dans la ville qui dure plus de cinq minutes, alors qu'on a l'impression de revoir de vieille course poursuite de mauvais cartoon, sont complètement inutiles.

Ça fait mal aux oreilles (les personnages ne s'expriment que en criant) et ce n'est pas très drôle. Pour un divertissement c'est raté.

La grand réussite de cette nouvelle aventure tient surtout à Olivier Jean-Marie pour son adaptation originale qu'il modernise à grands coups de fouet, sans toutefois y trahir l'esprit de Goscinny. On est donc agréablement surpris de rire aux éclats, tant les personnages et les situations sont rythmés avec hystéries. Et même si notre "nouveau" Lucky Luke boit désormais de la limonade et prend des patchs pour lutter contre la nicotine, c'est parce qu'il le fait pour notre plus grand plaisir. Et au passage, on saluera la performence et la simplicité de l'animation, qui nous fait autant vibrer qu'une grosse production en trois dimension. Un retour trimphal, pour les grands enfants que nous sommes.