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    L'Homme sans âge
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    Paul B
    Paul B

    49 abonnés 1 007 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 mai 2023
    Le film est un navet sans saveur. Interminable, inintéressant, cliché, pas très bien joué, avec un propos creux...

    Le film n'est rien qu'un échec complet.

    À fuir comme la peste.
    mehdi2610
    mehdi2610

    34 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 juin 2013
    Malgré une mise en scène extrêmement soignée, un bon casting, et des références historiques intéressantes, ce film de Coppola est incompréhensible.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 386 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2019
    Si on met de côté la co-réalisation de Supernova, Francis Ford Coppola n’avait pas réalisé depuis dix ans. C’est en 2007 que sortira L’Homme sans âge, l’histoire d’un vieux professeur de linguistique roumain qui sera frappé par la foudre en 1938. Soigné dans un hôpital, son cas intéresse aussi bien les nazis que les agents américains. En effet, le personnage joué par Tim Roth se révèle rajeunir au fil des semaines tout en développant des facultés mentales. C’est en plein dans les thématiques du temps et de la connaissance que nous plonge ce drame fantastique. Abordant quelque peu l’occupation allemande, L’Homme sans âge évoque surtout le bouddhisme considéré comme la voie spirituelle ultime. C’est avec une photographie très sobre et une intrigue passionnante que cette œuvre personnelle est présentée. S’il aborde de nombreux sujets existentiels et que l’émotion est là, L’Homme sans âge aurait mérité à gagner en dynamisme au vu de sa durée.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2024
    Qu’il est agaçant de lire des critiques incendiaires à propos des dernières œuvres de Francis Ford Coppola alors que ces mêmes critiques s’extasieraient devant ces mêmes œuvres si elles étaient signées d’un autre nom – on parlerait alors de « révélation » ! Youth Without Youth se propose d’adapter au cinéma Mircea Eliade, éminent spécialiste des religions et de leur histoire respective, et compose un long métrage foisonnant qui se regarde comme un chercheur étudie et déchiffre un manuscrit sacré. Son originalité tient notamment à ses mutations permanentes qui le rendent insaisissable, mutations tant formelles que tonales : les genres se confondent habilement, articulant le polar au drame sentimental en passant par la comédie et par le merveilleux ; quant à la mise en scène, elle ose tout, des ralentis au renversement de la caméra, sans oublier un travail sur les couleurs et sur les stéréotypes (la rose, par exemple).
    Coppola s’amuse avec leurs codes tout en offrant aux personnages principaux une profondeur mythologique : cette caractérisation leur confère une opacité tout en respectant la théorie de l’éternel retour selon laquelle une action humaine tire son importance par la reproduction d’une action similaire faite à l’origine. La trajectoire du film est donc celle d’une remontée dans le temps, suivant l’idée que« l’homme n’est pas, et ne peut être autre chose que de l’Histoire, car sa véritable essence est la temporalité » (Mythes, rêves et mystères, 1957) ; aussi auteur comme cinéaste le placent-ils au contact de la Seconde Guerre mondiale, décantée de sorte à ne garder qu’un climat paranoïaque obsédé par la création d’un individu parfait capable de résister aux effets destructeurs du temps. Les langues vivantes et mortes se suivent et s’emmêlent, les signes se superposent jusqu’à remonter au plus loin dans la culture, à ce moment où l’inarticulé est devenu articulé ; cette quête emprunte évidemment à la tragédie, cœur de ce film sensible et magnifiquement réalisé.
    Requiemovies
    Requiemovies

    210 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 novembre 2007
    Nouveau Coppola...
    Etonnant, insipide, surprenant, "auteurisant", vivifiant, réfléchissant...non sens des mots ? oui tout comme le film.
    On nous surprend, on réussit à s'interroger, à se demander si et si...
    Voilà pas un OVNI mais un objet trop attendu par son auteur pour laisser de côté un narcissisme créateur voulant parler de trop de sujets profonds (origine du langage, science, amour, déroulement du temps...) on en sort confus et déçu d'un tel "broua organisé"...en résumé et pour être paradoxal (dans les mots précédents) tout comme le film l'est : bof le nouveau Coppola...
    Alolfer
    Alolfer

    134 abonnés 1 170 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 septembre 2024
    Radicalement opposé à son style, Coppola est de retour dans les années 2000 pour ce film si particulier. "L'homme sans âge" est un film traitant la vieillesse, par le traitement de la connaissance intellectuelle du personnage principale, incarné ici par Tim Roth. Malgré un pitch intrigant aux premiers abords, une idée intéressante lors de la première heure, le film plonge dans l'ennui, sentant que l'histoire se rallonge... Malgré une belle photographie, la mise en scène est pesante et manque de "saveur" pour nous accrocher à une histoire qui se perd vers sa fin. Un Coppola décevant. En 40 ans de carrière, il a le droit de se rater une fois, après une succession de bons films
    Cluny
    Cluny

    77 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    En allant voir "L'Homme sans Age", j'ai ressenti un peu la même émotion que celle que j'avais éprouvée en allant voir "Full Metal Jacket" ou "Eyes Wide Shut" : après des années de latence, le plaisir de découvrir l'oeuvre d'un très grand réalisateur, et de recevoir un film comme on n'en fait plus, comme un écho de passé du cinéma. Ce qui paraîtrait insupportablement prétentieux venant d'un jeune réalisateur semble ici pleinement légitime venant de celui qui a adapté "Au Coeur des Ténèbres" dans la jungle cambodgienne, et l'exubérance de certains plans et de certaines scènes s'inscrit dans la construction d'un univers qui prolonge à la fois l'oeuvre de Coppola, et cite en même temps de nombreuses références, de Hamlet à "Citizen Kane".

    Premier plan, ouverture au noir, avec juste le tic-tac d'une montre. Une image floue, avec des sortes de lucioles scintillantes, qui laissent deviner un mécanisme d'horlogerie, puis un crâne distordu, comme une anamorphose d'Holbein. Une voix off dit "Mon seul et unique livre... Je n'ai rien été, et je vais mourir seul" Puis un vieil homme hagard en pyjama erre sous la neige, comme Salieri au début d'"Amadeus". Une rose rouge, Rosebud de ce récit, apparaît sur un fond noir, et un titre à l'ancienne s'incruste. Comme dans la suite du film, à l'ère du tout numérique, Coppola est plus proche de Meliès que de Lucas : image renversée, filtre mordorée ou violine, nuit américaine expressionniste, plongées et contre-plongées vertigineuses, split screen à la Matisse, avec des miroirs montrant des images décalées par rapport aux modèles qu'ils sont censés renvoyer.

    Alors certes, l'histoire vire un peu à l'ésotérisme new-age, sans doute plus du fait de la nouvelle de Mircea Eliade, "Le Temps d'un centenaire", dont elle est adaptée, que de la volonté de Coppola, qui s'est dit séduit par l'aspect de conte à la Borges de cette histoire : "Il y a de l’action et en même temps, le personnage ne cesse de réfléchir aux implications philosophiques de ce qui lui arrive. Je pensais donc que ça pouvait donner un film existant sur plusieurs niveaux de lecture." Il y a aussi quelques longueurs, et le récit se perd un peu à l'instar de son héros. Coppola revendique d'ailleurs ce rythme : "Quand je regarde les clips vidéo avec leur montage frénétique, j’ai immédiatement envie de prendre le contre-pied et de faire un cinéma plus lent, au tempo mesuré d’autrefois. Mais je crois par ailleurs que, quel que soit le domaine, même quand on arrive à ce qui ressemble à un point d’achèvement, il y a encore quelque chose à faire. Les notes d’un piano sont en nombre fini, mais les mélodies sont, elles, potentiellement infinies."

    Le choix de la Roumanie comme décor s'explique par la nationalité de Mircea Eliade ; mais je crois aussi que ce n'est pas un hasard, tant on retrouve par moment une ambiance gothique proche de celle de "Dracula", tourné dans la Transylvanie voisine : le visage sanguinolent du professeur foudroyé evoque la carapace de Gary Oldman, ou la transformation nocturne de Veronika rappelle celle de Mina. Mais les références ne se limitent pas à l'univers de Bram Stocker : Coppola va chercher aussi du côté de Frankenstein, dans le rapport entre Dominic et Stanciulescu, ou dans le générateur de foudre construit par le savant nazi ; il pioche aussi -entre autre- dans "Le Portrait de Dorian Gray", "Citizen Kane", "Le troisième Homme", "Le Faucon Maltais" ou "Fellini Roma".

    J'évoquais Kubrick, avant de lire l'interview de Coppola dans Libération, où il dit : "Quand vous faites quelque chose d’un peu nouveau, il y a d’abord un phénomène de rejet. Je ne m’exclus pas ce réflexe d’ailleurs. Je me suis toujours précipité pour voir chaque nouveau film de Kubrick et j’ai toujours été déçu à la première vision." Je pense que nombreux sont les critiques qui ont boudé le film et qui dans quelques années, disséqueront en DVD des scènes comme celle où une espionne allemande couche avec Dominic, et où son identité est révélée par un motif de la bretelle de son porte-jarretière qui se transforme lentement en croix gammée. Film de cinéaste et de cinéphile, "L'Homme sans Age" n'a été vu en deux semaines que par 85 000 spectateurs français. Dommage, surtout quand on découvre que 300 000 spectateurs sont allés voir "Saw 4" en une semaine...

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    adicte
    adicte

    61 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 novembre 2011
    Je crois sincèrement que c'est le plus mauvais film que j'ai jamais vu, étant donné le talent habituel du réalisateur et de l'acteur principal. Un brouillon sans nom qui veut taper dans tous les registres et qui devient risible tellement c'est grotesque. Comment peut-on réaliser le Parrain et en arriver là?
    Stanley-le-begue
    Stanley-le-begue

    52 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 novembre 2007
    Mettre une étoile à un film d'un de ses réalisateurs préférés, disons le d'emblée, ça fait mal. Ca fiche le cafard. Surtout quand le film en question a, sur le papier un tel potentiel, qu'il peut devenir un très grand film puisque il est servi par un très grand réalisateur. Mais alors quoi? Qu'est-il arrivé à Coppola pour qu'il nous serve cet objet absolument inidentifiable, qui se cherche, entre film d'aventures, de science fiction, d'espionnage, philosophique? Pour que certaines scènes s'enchainent sans aucun liant? Pour que des images apparaissent sans aucun but? Soyons clairs, s'il n'était réalisé par le Maitre, l'Homme sans âge passerait totalement inaperçu, classé dans la catégories des projets gâchés par des réalisateurs qui se voient plus beaux qu'ils ne sont. Mais voilà, l'auteur c'est Coppola et on lui trouvera forcément des excuses ou des raisons. Ce n'est pas un mauvais film,c'est juste un objets bizzaroïde, confus et alambiqué qui réserve à quelques moment son lot de frissons et d'émotions, grâce à des comédiens parfaits (Tim Roth, comme à son habitude).
    Mais c'est quand même une énorme déception.
    didbail
    didbail

    31 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 avril 2009
    Difficile formuler un avis sur un tel film. Le propos de Coppola est à la fois intéressant par rapport à la réflexion sur le temps, sur ce que l'on fait de sa vie, et en même temps abscons, brouillon, voire complètement bidon, par cette histoire avec la jeune femme qui traverse les époques. On voudrait s'intéresser à cette histoire originale mais en fin de compte le film se termine en nous laissant perplexes et désemparés.
    ffred
    ffred

    1 726 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 novembre 2007
    Un nouveau film de Francis Ford Coppola est toujours un évènement, surtout quand celui-ci n'a pas tourné depuis près de dix ans. Mais je dois dire que ce nouvel opus me laisse perplexe.
    On arrive pas vraiment à savoir où le metteur en scène a voulu en venir. Le film navigue entre plusieurs genres, tour à tour drame, fantastique, histoire d'amour, ésotérisme et métaphysique, tout cela est abordé mais sans vraiment être traité à fond, aussi bien qu'au bout d'un moment on ne sait plus trop dans quel direction ça va. La première partie est assez intéressante depuis le coup de foudre jusqu'à la rémission et le départ de Dominic vers sa nouvelle vie. Après cela se gâte un peu, et avec l'arrivée du personnage féminin on commence à perdre pied. On assiste alors à un long cours de langues orientales mortes auxquels le spectateur ne semble pas avoir été invité, et du coup on reste un peu sur le côté de la route.
    Sur la forme par contre, c'est plutôt du beau travail. La photo est très belle, les décors et costumes aussi. Ils sont en fait assez intemporels, bien que l'histoire se déroule de 1938 à 1969, elle pourrait aussi bien se dérouler aujourd'hui. Les repères de temps sont donnés par des coupures de presse et des dates indiquées sur des panneaux dans une gare par exemple. Cela est sans doute voulu pour accentuer encore l'effet d'histoire hors du temps. La mise en scène elle-même n'est pas vraiment innovante ni très prenante, le réalisateur semble un peu rouillé par rapport aux chefs d'oeuvres qu'il nous a donnés par le passé. L'interprétation est quant elle très honnête. Tim Roth s'en sort très bien, il défend parfaitement son rôle et son personnage. Voilà un acteur qui n'a plus rien à prouver et malgré les faiblesses d'un film arrive à se transcender et à offrir toujours une prestation de qualité. Belle révélation que celle de Alexandra Maria Lara, jeune actrice roumaine aussi belle que talentueuse certainement promis à un bel avenir...suite sur mon blog
    Fritz L
    Fritz L

    187 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 décembre 2007
    Coppola s’est éloigné du cinéma depuis 10 ans, jugeant le système hollywoodien trop contraignant à son goût. Ses ambitions de cinéastes et d’auteur semblant à ses dires avoir été bridées. 2007 est donc l’année de son retour puisque enfin il a trouvé les moyens de s’auto produire et donc de s’exprimer librement. Ce qu’il fait, il faut l’avouer assez courageusement, avec ce film qui revisite le mythe de Faust. Le Coppola nouveau est-il différent ? Oui car il aborde une manière de filmer ou d’appréhender son récit sous diverses inspirations (Aronofshy, Lynch ne sont pas loin) et surtout avec un nouvel appétit digne d’un premier film. Il s’aventure dans des cadrages ou des plans complexes, apporte une confusion stylisée dans la narration. Cela pourrait être extraordinaire, un tel revirement fut salutaire chez certains cinéastes comme Resnais par exemple. Hélas c’est loin d’être le cas. Cela tient d’abord à l’aridité du traitement. Cette espèce de parcours métaphysique de Dominic, le savant coincé entre deux espaces temps n’inspire que peu d’intérêt. Cela ne tient pas à Tim Roth qui est excellent, simplement à la nature générale du propos, crispante par toutes ces pistes ouvertes mais qui n’aboutissent jamais. C’est l’exemple type du film objet de désir de son réalisateur, plus difficilement de son public. Certes on peut s’extasier devant un tel déploiement d’idées, on peut aussi s’ennuyer, c’est mon cas. Gageons pour le prochain à un peu plus d’humilité ?
    Jérôme H
    Jérôme H

    174 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mai 2008
    Coppola ne nous avait pas habitué à réaliser des films aussi poussé sur la psychologie humaine. il fait ici du Kubrick en se basant sur une histoire très belle mais diablement compliqué à suivre, un mélange de fantastique et de mysticisme assez surprenant.
    Le final laisse perplexe et peut conclure à un simple délire ou a une aventure au déla des limite du cerveau humain.
    Thibault L
    Thibault L

    131 abonnés 1 267 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2008
    Le réalisateur préféré de la génération de nos papa maman réalise un bon film après plusieurs années sabbatique.Il faut dire que l'acteur tim roth signe une bonne prestation , la voix du narrateur colle bien au film ,les images soignées et l'histoire très intéréssante jusqu'au 3/4.Après un certain temps ça dévi vers une face que on se serait passé de voir.Les décors et les lieux sont toutes la beautés du film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 mai 2008
    Un retour à part du maestro. Entre autoportrait, réflexion mystique sur le temps et son propre travail. Merci pour le Coppola.
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