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Akamaru
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4 339 critiques
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0,5
Publiée le 7 janvier 2008
Vraiment pas terrible ce "Grand Appartement".Pascal Thomas,toujours insoumis dans le cinéma actuel,nous entraine cette fois dans une sorte d'auberge espagnole.Un appartement de 300m2 ou il fait bon vivre en communauté,contre les barrières extérieures,grace à la loi de 1948.Intéressante idée de départ,torpillée par une mise en scène de plus en plus théatrale,et qui sonne faux.On n'y croit pas un instant,et les monologues face caméra sont souvent hors propos.C'est d'autant plus dommage que la petite troupe a l'air de bien s'amuser,la naturelle Laetitia Casta en tete.Mais réaliser un long-métrage réclame un certain sens de la mesure et de l'équilibre.On oubliera donc instantanément cette "comédie foutoir".
c'est frais,c'est vraiment original,genre peu habituel ou les acteurs jouent juste j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à découvrir ce film. des seconds rôles aux premiers tout le monde prend du plaisir et ça se voit à l'image.
J'ai bien dormi...avant d'être réveillé par la Casta qui hurle tout au long du film qui est un gigantesque fourre-tout où Amalric et Ardittti cabotinent dans une cacophonie indescriptible.Le temps s'écoule lentement et une fois le générique de fin à l'écran une interrogation: "qu'ai-je vu???"ça part dans tout les sens, rien n'est structuré, tout est survolé sans parler de la fin qui est complétement surréaliste...
Et bien c'est merveilleux, mais à part s'écouter parler en l'air... ça n'a aucun sens, on y croit pas une seconde, ça ne met pas du tout de bonne humeur. INUTILE. (1 etoile pour Stéphanie Pasterkamp, la seule dans le coup, si on peut dire. )
Il était pourtant tellement bien annoncé ce grand appartement! Tout pour plaire! Un casting plus qu'alléchant, un sujet plutôt entraînant et nouveau, un relativement bon réalisateur qui nous a déjà apporté de belles productions par le passé, bref, beaucoup de points positifs. Pourtant, le résultat est plus que décevant. Le bordel ambiant laisse le spectateur dans son coin sans s'en soucier plus que ça, et la joyeuse farandole s'enfonce dans un tourbillon un peu lourd où traîne une autosatisfaction qui frise le ridicule. Pierre Arditi est pourtant excellent, et remonte le niveau, mais s'éssoufle lui aussi, seul à porter le film sur ses épaules.L'histoire n'a ni début ni fin, et toute la joyeuse smala se retrouve avec quelques temps de sursis avant d'être virée du fameux appartement. Domage, vraiment, car cela aurait pu donner autre chose qu'une trop longue blague qui endort rapidement. A oublier...
Le "big bazar". Comme souvent chez Pascal Thomas, les bonnes idées fourmillent mais l'ensemble n'en demeure pas moins brouillon. Une ribambelle de gais lurons vit dans un appartement parisien à loyer modéré, grâce à la loi obsolète de 1948. Il y a Francesca (Laetitia Casta) qui passe son temps à préparer sa (leur) défense; le doux rêveur Martin (Mathieu Amalric), technicien et critique de cinéma, qui peaufine son texte pour l'hommage (rendu à Florence) au scénariste de Vittorio de Sica, Cesare Zavattini; et Adrien (Pierre Arditi), metteur en scène, qui s'apprête à tourner sa version du "Moulin Rouge", dans le bien immobilier tant convoité. Entre les audiences devant la justice de paix (face au proprio et à son épouse) et la vie en communauté ("ensemble, c'est tout"), le cours de l'existence se déroule dans la joie et la bonne humeur... puisque le juge de paix semble leur donner raison... Même si le dernier délire de Pascal Thomas est fort décousu, certaines situations (nées de l'imagination de cet anarchiste socialiste façon bobo) sont appétissantes. Après avoir enfourché "la bicyclette bleue" (qu'elle délaisse pour son scooter jaune cocu !), la bonne surprise vient de Laetitia Casta qui, en plus d'être belle, démontre à ses détracteurs qu'elle est bonne comédienne. Avouons-le, on préfère le cinéaste (de "La dilettante") au dilettante (qui s'est éclaté sur ce dernier) !
C'est très décevant. On retrouve ici ce qui infecte souvent le cinéma français, le petit milieu artiste bourgeois bohème (les successeurs de Verdurin de Proust) qui se regarde se laisser vivre avec complaisance, sûr que même s'il fait n'importe quoi le public ébahi des chaumières ne pourra qu'applaudir : tant le Parnasse où il vit doit toucher de sa grâce poétique tout ce qui l'habite. Pour moi, intellectuel ringard de province sans doute, et qui n'ai pas de grand appartement pour me rendre génial à bon compte, il me faut un peu plus de travail et d'exigence. Je ne puis toutefois que goûter le jeu des acteurs et approuver les critiques à l'égard des effets pervers de la spéculation immobilière, à l'époque où triomphent les Bush et les Sarkozy ; mais cela ne suffit pas à faire un chef-d'œuvre ni une révolution. D'ailleurs le DVD est déjà bradé à cinq euros.
Le Grand Appartement nous insuffle une espèce de gaieté, d'allégresse, d'air frais, une émotion un peu indéfinissable. On est parmis tous ces personnages paumés, bohèmes, dans ce grand (immense) appartement en plein Paris qui essayent coute que coute de rester chez eux. Vraiment sympa comme film.
Pascal Thomas orchestre un joyeux bordel, un désordre réjouissant à la morale généreuse. Cet heureux appartement est agréablement habité par Laeticia Casta, d’un naturel rafraîchissant et Pierre Arditi, toujours excellent lorsqu’il est bien dirigé ; quelques réserves en revanche pour Amalric, dont le regard a été bien souvent plus pétillant.
Le grand appartement redore le blason du cinema bonheur. D'une légéreté qui frôle le génie. Libre comme un esprit des lumières, fins comme un met étoilé, le casting respire la joie. Il devient fascinant de comprendre comment un joyeux bordel, (celui de l'histoire et du tournage que l'on imagine), a pu prendre et donner un moment d'ivresse auquel on succombe sans gueule de bois.Un indispensable à votre vidéothèque.
Film très ennuyeux, fatiguant...Je suis sortie du film sans avoir compris ce qu'il y avait à attendre de celui-ci...C'est très rare de voir un navet pareil...FILM A EVITER
Quelle misère que ce film. Rien n'est bon et pourtant il suffisait de si peu, peut être d'un peu de talent... Laetitia Casta a beau être charmante certes, mais elle n'est pas une actrice et il ne suffit pas je montrer ses aisselles non épilées (beurk) pour lui donner du talent. En fait dans ce film tout sonne faux, c'est tellement mal joué, tellement excessif comme la pauvre Stéphanie Pasterkampf transformée en nymphomane hystérique à qui on filerait bien quelques bonnes gifles. Même Jean François Balmer reste transparent. C'est dommage, c'est juste du gâchis.