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Mafoipourquoipas
10 abonnés
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3,0
Publiée le 20 octobre 2018
3 étoiles - Le goût de la vie
Film sage, très académique dans son déroulement narratif, mais plaisant ... Les acteurs sont bons et l'Art de cuisiner y est excellemment mis en scène : il y a de la vie (de la musique) et de l'amour dans chaque plat ... sensibilité subtile d'une pasta au basilic, sensibilité qui sourd naturellement dans des personnages d'une humanité touchante. Bref, film simple et introspectif, bon pour une soirée cocooning.
Un très beau film ! Un début émouvant; attachant, des personnages bien pensé! Quoi de plus pour un beau moment en famille! L'actrice principale est bien, la petite fille tout autant! Il faut juste pensé à la boite de mouchoir...
Qu’est-ce que le goût de la vie ? Où est-il ? La question est clairement posée dans le titre, particulièrement bien trouvé pour la version française, une fois n’est pas coutume. Car ce titre se caractérise par un double sens, voire triple. L’histoire se porte sur Kate qui a tout misé sur ses talents de cuisinière qu’elle exploite dans un des restaurants les plus côtés de Manhattan. Pour réussir et satisfaire sa perpétuelle course au perfectionnisme, elle n’accorde aucune place à rien d’autre que son art culinaire : pas d’homme dans sa vie, pas de sortie, pas d’extra quelconque… elle mène une vie professionnelle de dingue de très tôt le matin à très tard le soir. Mais tout va être chamboulé lorsqu’elle doit récupérer sa nièce de 9 ans tragiquement devenue orpheline. Evidemment, la présence de Catherine Zeta-Jones est toujours aussi agréable, sa beauté de jolie brune n’y étant pas pour rien. De plus, elle nous régale de ses petits cabotinages pour décrire une psychologie de son personnage fort en caractère. Un caractère bien trempé qui va être ébranlé pour laisser apparaître une fragilité symbolisé par la délicatesse de son cou joliment mis en valeur par un chignon. Le changement intervenu dans sa vie provoque indirectement l’arrivée d’un nouveau sous-chef, campé par un étonnant Aaron Eckhart formidable d’exubérance et qui a pris visiblement beaucoup de plaisir à jouer ce rôle. C’est à se demander si, à l’instar de son personnage qui cherchait à s’attirer la reconnaissance de Kate, il ne tentait pas de séduire quelque part la comédienne. Et puis il y a la jeune Abigail Breslin, qui vient confirmer son talent en éclaboussant tout le monde de son naturel pour interpréter une gamine qui perd le goût à la vie en étant arrachée de ses racines par le vol en éclats de ses repères parentaux. L’urgence de la situation fait que Kate doit redéfinir ses priorités, non sans difficulté puisque la cuisine et sa renommée représentent toute sa vie. Et c’est là que le troisième larron se faufile dans la brèche, en finissant d’ébranler ce caractère trop fier en mettant Kate devant le fait accompli : la cuisine n’est qu’une "infime partie" de la personne en question, et dont l’importance accordée la fait passer à côté des choses essentielles. A eux trois, ils compensent un scénario hyper convenu, pour lequel on devinera très tôt les revirements proposés. Nous n’avons pas de réelle surprise, mais la réalisation classique offre l’avantage de rendre le récit authentique, et de faire de "Le goût de la vie" une comédie dramatique romantico-culinaire qui se suit non sans déplaisir. Le dernier élément qui contribue à rendre cette histoire mignonette et si savoureuse à déguster, c’est la jolie partition de Philip Glass dont les notes empreintes de mélancolie finissent d’emporter le cœur du spectateur, à condition que celui-ci soit bon public. D’autant plus que la musique remplace par moments quelques échanges verbaux, comme pour respecter un semblant d’intimité dans ce qui se dit. Un joli petit moment qui a le mérite de recentrer un peu les choses.
Cette tambouille est affreusement indigeste. Tout est nul : casting, histoire neu-neu, prises de vues, et cette manie des cinéastes à vouloir flirter avec les comédies musicales ! Parmi les acteurs, Aaron Eckhart qui fait tourner les sauces rien qu'en chantant, est infect et joue faux. A l'opposé, Abigail Breslin qui joue le rôle de la petite Zoé est divine ! C'est bien la seule dans cette farce ratée (noter le jeu de mots) ! Quelle joie j'aurais eu à entarter Scott Hicks, l'auteur de cette tambouille immangeable. Heureusement pour nous, il n'a plus rien commis depuis 2011 :crise de foie ou crise de foi en lui ? Je me demande ce qui a pris à Dana Hastier, responsable des programmes de France 3, de nous servir ce plat réchauffé (cramé même) made in US de 2007 en ouverture de soirée ! C'est beau l'aide à la création française sur sa chaîne ! En anglais, le titre de ce navet serait "No réservations" En ce qui me concerne, ça ne risque pas ! Plutôt subir un fast-food que ça ! Même le rata de l'armée était meilleur. Je ne suis pas le seul : malgré un budget astronomique, cette mélasse n'a attiré que 259 000 spectateurs en salles françaises. Vivement Etchebest ! (NDLR : meilleur ouvrier de France en cuisine de M6) willycopresto
Le Goût de la vie est une comédie très charmante. Les acteurs sont très bons, que ce soit Catherine Zeta-Jones, Aaron Eckhart ou encore Abigail Breslin. On ne s'ennuie pas du tout. L'idée de base est assez originale, même si par la suite, elle devient prévisible (mais on ne cherche pas à être surpris en visionnant ce genre de film). Pas grand chose de négatif à dire sur ce film.
"No reservations" (le goût de la vie) est une comédie dramatique et romantique plutôt convenue et gentille. Il ne faut pas espérer rigoler, on y laissera plutôt une petite larme, mais comme les personnages sont attachants le film est plutôt agréable à suivre.
Une p'tite comedie à-la-Julia-Roberts, bien filmée, bien interprétée, mais un vrai manque de rebondissement et d'accroche selon moi. C'est un peu plat. Sans plus...
Rien ne ressemble trop à une comédie romantique hollywoodienne qu'une autre comédie romantique hollywoodienne. Tel semble être le leitmotiv du Goût de la vie remake d'un film allemand de 2004 que je n'ai pas vu. Surtout qu'il y a Catherine Zeta-Jones dedans. Froide, rigide, autoritaire, elle ne m'a pas spécialement emballé. Alors que le genre veut justement que l'on s'attache aux personnages, elle m'a donné envie de la détester. Pourtant, la Galloise a un joli minois et, souvenons-nous, elle a débuté au cinéma dans un film français au début des années 90 : Les Mille et Une Nuits de Philippe de Broca. Heureusement, il y a Aaron Eckhart dont j'ai impatiemment guetté l'arrivée. Il apporte l'humanité et la fantaisie qui manquaient alors au film. Un film par ailleurs bien déprimant tout au long bien aidé par le regard profondément triste qu'arbore la gamine dont va s'occuper Kate totalement dépourvue de fibre maternelle (quand je vous dit qu'elle n'est pas sympathique). Fort heureusement, tout finit bien. Le spectateur reçoit ce qu'il était venu chercher : le traditionnel happy-end. On a beau les fustiger. Il faut reconnaître que j'aurais été déçu si ça n'avait pas été le cas. Reste que son pathos un petit peu trop présent, son manque d'humour et le peu d'empathie que j'ai éprouvé pour miss Zeta-Jones sont pour moi trop rédhibitoires. N'est pas Richard Curtis ou Mike Newell qui veut.
Eh oui, il y a des soirs où on n'a pas envie de se prendre la tête et donc où on a envie de prendre le premier film ayant l'air sans prise de tête. C'est exactement ce qui s'est passé avec moi pour "Le Goût des autres"... C'est l'exemple parfait du film à l'intrigue prévisible et pleine de bons sentiments devant lequel on sait qu'on ne va pas ni s'ennuyer ni se prendre la tête (donc objectif rempli pour ma part !!!). C'est son principal intérêt. Enfin il ne faut pas être méchant, c'est son principal intérêt avec son attachant trio d'acteurs principaux en particulier Catherine Zeta-Jones dont je suis loin d'être insensible au charme. Autrement sitôt vu, sitôt oublié. Bon pour passer une bonne soirée, sans prise de tête évidemment... Oui bon, c'est aussi le genre de film dont on n'a pas grand-chose à dire non plus.
Un film de fille comme on les aime. Rien de très innovant, mais propose un bon moment de détente. Prévoyez un en-cas quand même, impossible de le regarder en entier sans se découvrir affamée entre deux scènes!
Une histoire sentimentale un peu trop "convenue" mais qui contient pas mal de doses d'humour et ne tombe jamais dans la mièvrerie. Le trio Catherine Zeta-Jones, Aaron Eckhart et Abigail Breslin ( la toute jeune actrice découverte dans l'excellent Little Miss Sunshine ) fonctionnent très bien. La mise en scène est agréable, la BO accrocheuse donne de la fraicheur et du relief à tout cet ensemble. Scott Hicks s'en sort plutôt bien et propose une réalisation agréable.
Comédie, romance, émotion. Tout est réuni pour captiver le spectateur. Sauf que pour un film de cette catégorie, soit la mayonnaise prend, soit elle ne prend pas. Catherine Zeta-Jones manque un peu de relief mais porte bien le film. Aaron Eckhart a le même niveau que dans Erin Brockovitch tandis que la jeune Abigail Breslin confirme ici son talent d'actrice. La B.O. est optimiste et rempli parfaitement son rôle, ni trop présente, ni pas assez. Les romantiques trouveront a coup sûr leur bonheur dans ce film, pour les autres, au petit bonheur la chance.
Remake du film allemand Chère Martha. Catherine Zeta-Jones s'est entrainée à servir anonymement dans un restaurant pour les besoins de son rôle. Elle se débrouille très bien en chef de cuisine. L'histoire est assez légère avec son petit plat de tristesse, puis, la senteur de la positivité remontera dans nos nez. Par contre, un peu trop de sel sur l'opéra italien, à part ça, la petite actrice Abigail Breslin (Little Miss Sunshine), est encore une fois très convaincante.
Un film émouvant, une jolie trame qui ne lasse pas, des personnages bien pensés. On parvient à se mettre dans la peau de ces derniers et l'on se plonge ainsi dans l'histoire.