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xavierch
46 abonnés
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4,0
Publiée le 16 mars 2010
Et voila une comédie romantique dramatique bien rafraichissante. Les 3 acteurs principaux sont excellents, pleins de vie, même si Catherine Zeta-Jones est un peu psycho-rigide au début (c'est son rôle qui veut cela). On passe un très agréable moment, sans se prendre la tête, et on passe également des moments d'émotion bien sentis. A voir.
Remake d'un film Allemand passé relativement inapercu (Chere Martha) ,ce Gout de la Vie a surtout celui formaté des comedies romantiques qui sortent a la chaine des studios Hollywoodiens : scenario ultra previsible ,happy end ,musique sirupeuse ,scenes tire larmes ....et en + ca manque enormement d'humour.Pour apprecier cette love story des fourneaux ,il faut la presence d'un solide trio d'acteurs qui relevent des sequences passablement usées : entre la toujours sublime Zeta-Jones et le dynamique Eckhart ,la sauce prend ,relevé par le jolie minoi de la jeune Breslin qui finira par rapprocher ses 2 coeurs solitaires.Seconds roles survolés et realisation sans relief viennent confirmés que ce long metrage est a ranger dans la categorie : pas desagreable mais pas inoubliable non plus !!!! Ne merite pas en tout cas de depenser 10€ ,mieux vaut les investir dans un bon resto.
Une surprise. Le film n’est certes pas le plus passionnant des films mais ses personnages sont sympathiques et attachants. Il ne faut pas le prendre au premier degré côté cuisine mais la relation entre les personnages en fait un « feel good movie». Film sans prétention qui se laisse regarder.
Les américains ne cessent de réutiliser sans arrêt les mêmes recettes pour leurs films sentimentaux, et pourtant, parmi les nombreuses productions du genre qui sortent de leurs studios, il y en a qui se laissent regarder très agréablement. Alors évidemment, il n'y a pas grand chose de surprenant à ce film, le scénario étant assez prévisible et la réalisation étant ultra-classique, mais les deux acteurs qui se partagent l'affiche (Catherine Zeta-Jones et Aaron Eckhart) lui donnent un agréable parfum qui relève la sauce. Un petit quelque chose qu'on n'arrive pas vraiment à déceler, et qui transforme pourtant cette recette classique en quelque chose de meilleur.
le gout de la vie est certainement l’une des meilleur comédie romantique de l’histoire du cinéma. Le scénario est assez recherché et l’histoire m’a convaincue, les dialogues sont excellents, la mise en scène de Scott Hicks est irréprochable et pour finir les acteurs sont parfait dans leurs rôles, on retrouve notamment à l’affiche du film Catherine Zeta-Jones et Aaron Eckhart. Je souligne notamment la prestation Aaron Eckhart que j’ai beaucoup apprécié. C’est donc un excellent film, 16 / 20.
Qu’est-ce que le goût de la vie ? Où est-il ? La question est clairement posée dans le titre, particulièrement bien trouvé pour la version française, une fois n’est pas coutume. Car ce titre se caractérise par un double sens, voire triple. L’histoire se porte sur Kate qui a tout misé sur ses talents de cuisinière qu’elle exploite dans un des restaurants les plus côtés de Manhattan. Pour réussir et satisfaire sa perpétuelle course au perfectionnisme, elle n’accorde aucune place à rien d’autre que son art culinaire : pas d’homme dans sa vie, pas de sortie, pas d’extra quelconque… elle mène une vie professionnelle de dingue de très tôt le matin à très tard le soir. Mais tout va être chamboulé lorsqu’elle doit récupérer sa nièce de 9 ans tragiquement devenue orpheline. Evidemment, la présence de Catherine Zeta-Jones est toujours aussi agréable, sa beauté de jolie brune n’y étant pas pour rien. De plus, elle nous régale de ses petits cabotinages pour décrire une psychologie de son personnage fort en caractère. Un caractère bien trempé qui va être ébranlé pour laisser apparaître une fragilité symbolisé par la délicatesse de son cou joliment mis en valeur par un chignon. Le changement intervenu dans sa vie provoque indirectement l’arrivée d’un nouveau sous-chef, campé par un étonnant Aaron Eckhart formidable d’exubérance et qui a pris visiblement beaucoup de plaisir à jouer ce rôle. C’est à se demander si, à l’instar de son personnage qui cherchait à s’attirer la reconnaissance de Kate, il ne tentait pas de séduire quelque part la comédienne. Et puis il y a la jeune Abigail Breslin, qui vient confirmer son talent en éclaboussant tout le monde de son naturel pour interpréter une gamine qui perd le goût à la vie en étant arrachée de ses racines par le vol en éclats de ses repères parentaux. L’urgence de la situation fait que Kate doit redéfinir ses priorités, non sans difficulté puisque la cuisine et sa renommée représentent toute sa vie. Et c’est là que le troisième larron se faufile dans la brèche, en finissant d’ébranler ce caractère trop fier en mettant Kate devant le fait accompli : la cuisine n’est qu’une "infime partie" de la personne en question, et dont l’importance accordée la fait passer à côté des choses essentielles. A eux trois, ils compensent un scénario hyper convenu, pour lequel on devinera très tôt les revirements proposés. Nous n’avons pas de réelle surprise, mais la réalisation classique offre l’avantage de rendre le récit authentique, et de faire de "Le goût de la vie" une comédie dramatique romantico-culinaire qui se suit non sans déplaisir. Le dernier élément qui contribue à rendre cette histoire mignonette et si savoureuse à déguster, c’est la jolie partition de Philip Glass dont les notes empreintes de mélancolie finissent d’emporter le cœur du spectateur, à condition que celui-ci soit bon public. D’autant plus que la musique remplace par moments quelques échanges verbaux, comme pour respecter un semblant d’intimité dans ce qui se dit. Un joli petit moment qui a le mérite de recentrer un peu les choses.
Certes, l'intrigue est vue et revue et le chef Kate aurait honte devant un plat aussi réchauffé. Mais l'histoire, bien qu'on ne peut plus classique, se révèle aussi très belle et l'intérêt du film est plus dans le trio d'acteurs absolument formidable. La réalisation de Scott Hicks n'a rien d'originale, mais certaines séquences sont particulièrement réussies, comme la partie de Monopoly ou le safari. Au final, ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais on ressort tout de même content de l'avoir vu; on a ri, on a été ému, les acteurs arrivent à nous transmettre leur bonne humeur, le mélange drame et comédie est particulièrement bien dosé, "parfait, à point" (oui, oui Kate). Un film qui (re)donne le goût de la vie et de mettre les petits plats dans les grands.
Un peu déçue. J'aime beaucoup Catherine Zeta-Jones et Aaron Eckhart, mais là honnêtement je les ai trouvé tous les deux coincés, pas très agréables à regarder... Le film en lui-même l'histoire était intéressante bien qu'un peu superficielle... Enfin sympa pour distraire :')
Pendant toute la durée de ce film, je n'ai cessé de pleurer en pensant à "Chère Martha", dont "Le goût de la vie" constitue une adaptation. Je me souviens en effet du bonheur que j'avais eu en découvrant cette belle et poignante histoire. Je me souviens de mon émotion pour cette oeuvre d'origine allemande dégustée par hasard et qui m'avait bouleversé. Je me souviens de ma jubilation devant la finesse du jeu de Sergio Castellitto qui m'avait tout simplement bluffé par son talent, son humour et sa délicatesse. Bien entendu, ce remake n'est pas aussi magnifique que l'original. Bien sûr, la tenue de cuisinier de Aaron Eckhart ne me semble pas vraiment réglementaire. Evidemment, sa manière de manger les spaghettis paraît peu orthodoxe. Mais rien que pour m'avoir rappelé de merveilleux souvenirs, je remercie "Le goût de la vie", qui est lui aussi un très chouette film, d'exister. Forza Italia !
La première question qu'on se pose c'est pourquoi réfère du déjà fait (remake d'un film allemand sortie inaperçu en 2004) pour le rendre toujours aussi vieillot et parfois un peu kitch mais c'est tout de même réussi grâce au duo Zeta-Jones et Eckhart. Le but du film c'est de retrensemettre du bonheur et c'est plénement réussis et la petite cerise sur le gâteau c'est d'entendre Paolo Conte.