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Kevin dioles
45 abonnés
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4,0
Publiée le 16 octobre 2020
HOSTEL (2005): Deux jeunes américains, Paxton et Josh, et un islandais, Oli, se retrouvent en Slovaquie pour passer du bon temps. Un rêve pour eux qui se réalise, quand on leur indique une auberge aux filles faciles. Oui, mais tout plaisir à une fin. De l'horreur, il y en aura, l'attente sera peut-être longue, le temps pour le réalisateur Eli Roth de nous présenter ces trois garçons entreprenants. On se demandera où ce metteur en scène voudra nous mener à force de nous faire languir. Certes, on patientera avec joie devant de jolies filles dénudées, mais soudain… Je vous laisse découvrir la belle surprise que leur réservent ces charmantes demoiselles. Accrochez vous, car si vous ne connaissez pas ce film, il va vraiment vous surprendre par ses scènes à la limite du supportable. Un film d'horreur vraiment choquant. L'idée d'aller visiter les pays de l'Est vous passera après avoir vu ce long-métrage. Si je vous dis que le réalisateur QUENTIN TARANTINO est le producteur de ce film. Est-ce que ça vous parle? Eli Roth veut nous faire peur, objectif atteint, plusieurs fois je me suis retrouvé les mains sur les yeux. Un film qui fera dans un sadisme à très haut niveau. Bonne séance..
Film d'horreur ? Il n'y a quasiment pas de scènes de violence et pour les rares scènes elles se terminent en 2 secondes, le rythme est soporifique, les personnages manquent d'ampleur, c'est vraiment dommage car l'idée de base était bonne et l'ambiance du début était assez oppressante mais au final on se retrouve avec rien de bien.
Houhouhou 1heure de sexe raté (cool vraiment voir trois puceaux baiser c'est franchement trop excitant) quelques instants de gore gratui et stupide, des plans foireux, un scénario innexistant, une pseudo morale blablabla moui bon en fait on est pris pour des cons je vous le déconseil
Un film d'horreur dérangeant, on se pose la question si cela existe vraiment dans les pays Baltes Les scènes de tortures sont d'un réalisme incroyable, on veut pas être assis sur la chaise.
Pour ce premier opus, on est un peu dans la peau des trois jeunes voyageurs qui ne comprennent pas ce qui se passe, d'où l'angoisse et l'effet de surprise. Ces trois-là, plutot débiles et beaufs, visitent l'Europe de l'est essentiellement pour le sexe et les filles faciles, et se feront piégés à cause de cette luxure sans bornes. Bientôt ils feront l'objet de tortures horribles, d'où un film vraiment divisible en deux : d'abord beaucoup de sexe, ensuite beaucoup de sang. Les scènes de torture dans des boxs sales et moyenâgeux sont plutot impressionnantes et crédibles. L'ambiance malsaine et glauque, à laquelle s'ajoute un effet de mystère lors du premier visionnage, fait de ce film pour moi un grand film d'horreur qui renouvelle le genre du torture porn.
Hostel : Bon voila, quand on regarde un film comme ça, on sait à quoi s’attendre donc il faut pas être choqué ou surprit de certaines choses. Mais bon après, il y a des choses qui fond que le film soit pas non plus exceptionnel. Pour vous résumé la chose : première partie sexe et deuxième gore gore et l’équilibre entre le deux est pas forcement top car le sexe au début, ça va bien 5 minutes mais ce n’est pas très utile, bon après pour le gore, il faut bien y passer. Et apparemment, c’est basé sur des faits réels, en voyant ça, cela fait froids dans le dos et ça m’étonne qu’a moitié et c’est ça qui est bien dans le film, c’est que il y a une certains dénonciation de tout ça. Car, les riches achetés des corps ou des victimes pour en faire ce qui veulent, et il les tortures, les tortures… c’est partie la est assez inquiétantes et morbides mais c’est dans le dernière quart du film ou ça devint captivant, la ou le suspense est a son maximum car avant, il se passe pas grand-chose et c’est même plutôt classique : des jeunes qui veulent s’amusés a la drogue, alcool, sexe et ils vont vite déchanter. Mais ce qui a de bien quand même, c’est tout le mécanisme organisé par cette société de torture pour chassé leur proies mais il aurait pu être encore plus mise en avant : dommage. Après, les personnages sont bien sur clichés et leurs réactions vraiment débiles. Il y a que la fin qui est assez prenante avec un des personnages car on est a fond avec lui. Sinon coté réalisation, ça reste classique, je ne vois pas de marque d’originalité pour le genre même si il accentue bien la violence et torture psychique avec ses plans et l’ambiance est bien glauque mais bon, ce n’est pas le seul film qui le fait. Donc voila, c’est classique, sans surprise, bon suspense a la fin quand même mais je ne sais pas, globalement, ça va pas plus loin.
Hostel est un tâcheron. La seule originalité qu'il pourrait vendre c'est que dans un seul film on peut voir des seins et des yeux qui pendent mais je ne suis pas sûr que ce genre de choses attire vraiment les gens, à moins que ce soit des beaufs, des enfants de 9 ans (no question) ou des chèvres. Bon, je rectifie, il y a quelques trucs qui auraient pu être bons dans Hostel, comme tout les problèmes de frontières linguistiques et culturelles, ce qui peut créer à de rares occasions une ambiance qui perd le spectateur comme ce qui a l'air d'être un monde éloigné de la réalité. Mais après, si la seule morale qu'on peut tirer du reste du long-métrage c'est "j'ai torturé une mexicaine", c'était vraiment pas la peine qu'Eli Roth perde son temps et Quentin Tarantino son argent. Au moins, il y avait de l'inventivité dans (le premier) Saw, on assistait pas à de la torture complaisante, sans aucune stylisation de la violence, et surtout chiante et malsaine. A en perdre la vue (ce qu'un personnage du film a surement éprouvé...).
Si vous pensez avoir vu le film le plus nul qu'on puisse trouver et que vous n'avez pas encore vu Hostel, et bien vous n'avez pas vu le film le plus nul qu'on puisse trouver.
Eli Roth nous a fait découvrir sa passion pour le cinéma dhorreur en 2004 avec son premier long-métrage : Cabin Fever. Cette fois-ci, il récidive dans le même registre mais en plus sadique et bien plus pervers. Hostel (produit par Quentin Tarantino) nous plonge dans un univers où la perversité règne. Trois jeunes, en Slovaquie, vont découvrir les joies de la « charcuterie » locale. Ici, le couteau de boucher laisse place à des outils très peu connus par la profession : perceuse, scalpel, ciseaux, pince coupante, chalumeau et même une tronçonneuse divertiront nos jeunes touristes en manque de sensations fortes. Sa flingue, coupe, perce, tronçonne, dissèque à tout va et sa éclabousse méchant ! Réservé aux amateurs de tortures et de sévices en tous genres ! ! ! Quune seule chose à dire : on attend le second opus avec impatience !
Très bon film. L'histoire est originale et fait, à elle seule, bien peur et froid dans le dos. Ce serait tellement effroyable et pourtant tellement possible au vue de la nature humaine que j'étais déjà bien mal à l'aise. De plus, si on s'attend à du gore, on ne risque pas d'être déçu. Bon déroulement, bonne fin. Il faut vraiment le voir.
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12 411 critiques
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3,0
Publiée le 23 août 2013
Après l'original "Cabin Fever", le cinèaste Eli Roth nous emmène avec son "Hostel" dans une Europe de l'est de perversion et de sadisme! La violence et l'horreur des scènes de tortures sont pleine de rèalisme et sont particulièrement èprouvantes pour les nerfs des spectateurs! Hèmoglobines garanties pour ce film d'horreur malsain et sanglant...
Pour moi le comble de l'horreur, ames sensibles s'abstenir. Après coup on se dit qu'un endroit pareil pourrait ou a pu exister dans le monde ce qui fait monter l'angoisse.