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Un visiteur
1,0
Publiée le 3 avril 2007
Et pan ! je me suis encore fait avoir. Je ne sais pas si je vieillis ou si la promo des films fait des progrès, mais je me suis une nouvelle fois laissé embarquer vers un film qui se révèle nul. Donc, parce que « tout le monde » annonçait que « Je crois que je laime » est un bon film, parce que les acteurs sont prestigieux, parce que voir une comédie intelligente et drôle nest pas fréquent, je me suis précipité le jour de la sortie. Cest celle de la salle que jai failli chercher tant ce film est insipide. Scénario qui tiendrait sur un post-it, comédiens qui ny croient pas une seconde (et pourtant Bonnaire, Lyndon, Berléand ne sont pas nimporte qui), humour à rechercher à la pince à épiler, mise en scène inexistante, qui dit mieux ? Pierre Jolivet nous a autrefois laissé de bons souvenirs mais, cest connu, le comique est toujours plus difficile à maîtriser que le drame. Cela dit, Berléand est excellent mais, surtout, grand coup de chapeau à Kad Merad !
Encore un film sans violence et sans sexe, ouf çà divertit et çà repose. Sandrine Bonnaire est superbe et attachante, on comprend Vincent Lindon ; quant à Berleand et Kad, pourquoi ne sont ils pas venus plus tôt nous divertir, ils sont excellents. On passe vraiment un très bon moment et dans "ce monde de brutes" comme on dit, il ne faut pas s'en priver.
L'inrigue de ce film est vue et revue, archi revue. Jolivet raconte la peur de s'engager. Je prefere quand il est sur le terrain social mais il reussit quand même à joliment retarder l'echéance d'un baiser . Le couple Lindon -Bonnaire ne fonctionne que par intermittance jouant parfois la partition séparément. Pas déplaisant mais oubliable
L'antithèse même de la comédie réussie, qui à mes yeux peut être trouvée dans "Prête moi ta main". Pourtant ça en a quelques airs: L'action se passe à Paris, 2 acteurs sympathiques jouent le rôle d'un couple que tout oppose mais qui finalement finit par s'aimer. J'avais adoré Prête moi ta main, j'ai été très déçue par Je crois que je l'aime. En bref un film qu'on croirait conçu spécialement pour être distribué à l'étranger, avec tous les clichés sur Paris et les français que les étrangers veulent nous attribuer: le PDG qui tombe amoureux de l'artiste,qui vit dans son petit atelier digne de celui de Rodin, qui adore les suhis ( alors ça , c'est original), et qui en plus d'être artiste,belle et intelligente, a un sacré caractère! Des vues de Paris qu'on connait par coeur, des dialogues qu'on pourrait terminer soi-même.On se croirait presque capable de faire mieux avec son propre film en sortant de celui-là. Pour faire echo à la musique ,c'est une véritable musique d'ascenseur en Do/sol/la/fa , terminée par une cadence parfaite. Sauf que les cadences parfaites, c'est d'un chiant...
Petite comédie sympathique et rafraichissante... un bon petit moment à passer :-) Sans pretention, les situations fonctionnent très bien et les acteurs sont à l'aise.
Agréable comédie qui fait passer un bon moment. Vincent Lindon est dans son habitude d'homme pressé qui traverse des crises existentielles et Sandrine Bonnaire est superbe, belle et intelligente comme partenaire qui succombe à l'amour.
ce film est bien réalisé, les acteurs jouent bien, mais il ne se passe pas grand-chose. le film est divertissant, mais on n'entre pas beaucoup dedans. il manque d'action, et il y a une impression de déjà-vu: un homme et une femme qui se rencontrent, à première, ne s'aiment pas trop, puis finnissent par s'entendre à merveille. il n'y a pas beaucoup de nouveauté, même s'il a bien été tourné.
A partir dune histoire simple comme la vie quotidienne actuelle nous en réserve beaucoup, P.Jolivet nous offre une délicieuse comédie romantique servie par deux acteurs attachants et très inspirés. Le scénario met en présence deux êtres que tout oppose et que le destin, contre tout attente, va rapprocher. Lui, est directeur dune PME de sept cents personnes, cartésien et bardé de responsabilités ; elle, est artiste décoratrice idéaliste et romantique. Tous les deux sont des âmes solitaires ; lui , par peur des femmes du fait dune vieille histoire et dune profonde blessure mal cicatrisée, elle, par méfiance des hommes ainsi que par désir dindépendance et dautoprotection. Autour du thème de lamour naissant et de la peur de sengager, tendance très actuelle dans les relations hommes-femmes, le réalisateur nous offre un scénario à la fois romantique et drôle. Le comique de situation vient égayer une histoire damour que les deux principaux protagonistes vivent, eux, avec appréhension et gravité. La réalisation toute en finesse sappuie sur des dialogues parfois mordants souvent subtils et servis par le charisme des deux acteurs. Sandrine Bonnaire est formidable de sensibilité et de sensualité et Vincent Lindon lui donne une convaincante réplique. François Berléant et Kad Mérad interprètent des seconds rôles truculents et donnent toute la mesure de leur talent comique. « Je crois que je laime » est une comédie rafraîchissante dont le dénouement heureux vient ponctuer de la plus belle des manières 1 h 30 dun très savoureux divertissement.
j'aurais aimé mettre 2,5 étoiles, mais bon, c'est pas possible. ce film est très bien pour s'amuser, pour monter le moral, sans plus! bonne histoire, suberbes acteurs.
Une heure et demie de pur plaisir cinématographique que ce film emmené par le formidable couple de cinéma Vincent Lindon/Sandrine Bonnaire, sans oublier François Berléand en détective très privé, ainsi que tous les autres seconds roles : Kad Merad, Guilaine Londez...