Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 4 mars 2007
J'ai adoré ce film car je me suis bien amusé et trouvé les acteurs très bon; Vincent Lindon, Sandrine Bonnaire et François Berléand. Vraiment très bons.
Un film plutôt sympa et inhabituel tant pour le réalisateur Pierre Jolivet mais également pour son acteur fétiche Vincent Lindon. On passera rapidement sur l'histoire d'amour à l'eau-de-rose déjà vue et ultra-prévisible entre ce riche industriel (Vincent Lindon donc, plus détendu qu'à son habitude mais qui ne briguera pas une nomination aux Césars) et cette artiste toute pure (la toujours rayonnante Sandrine Bonnaire) qui finiront forcément ensemble pour se concentrer sur les à-côtés... et plus précisémment sur la présence de 2 des meilleurs 2nds rôles comiques actuels, à savoir Kad Merad (excellent en meilleur ami obsédé) et François Berléand (hilarant en espion aux méthodes peu conventionnelles). Leurs scènes sont incontestablement les meilleures moments d'un film qui aurait surement gagner à creuser le sillon de la comédie plutôt que de s'aventurer sur les sentiers de la comédie romantique. Cer, dès que "Je crois que je l'aime" deveintsérieux, il se perd en longueurs inutiles et en clichés dispensables. Idem pour certains plantages un peu indignes d'un réalisateur qui se prétend loin de tout amalgame (le rôle de Liane Foly, qui campe une associée québéquoise à l'accent franchement ridicule, ou encore le gag avec le sumo). Un film sympathique donc mais beaucoup trop anecdotique.
Jolivet Nouveau. Bon cru. Fidèle à la verve des dialogues qui font habituellement le style Jolivet sa dernière réalisation ne déroge pas à la règle. Portée par un casting et une interprétation excellente (tous sont à leur place et n'en font pas plus que le rôle le demande, SAUF Liane Foly dont on ne comprend pas le choix...elle, surjoue et/ou n'a pas la tête et surtout "l'accent" de l'emploi). Petit film sans prétention, l'histoire se veut simple, mais tout fonctionne sur la base d'une "fraîNche" comédie. Une des plus simples mais des plus agréables, sans lourdeurs, ces longs derniers mois dans le cinéma français. A voir pour son charme et son énergie humoristique discrète mais toujours juste...
Une scène d'introduction à l'américaine (la découverte de l'intérieur high-tech d'un appartement des beaux quartiers parisiens), une histoire d'amour très intéressante et quelques scènes très drôles bénéficiant de dialogues percutants mis en valeur par l'interprétation hors pair de certains seconds rôles (François Berléand & Kad Merad) font de « Je crois que je l'aime » un bon petit film. Soit, un agréable moment à passer même si, en qualité, ce film est quand même en dessous de « Ma Petite Entreprise » (1999), le chef d'oeuvre du réalisateur. N.B. : l'apparition de Venantino Venantini me replonge dans mes souvenirs cinématographiques des années 60 avec entre autre « Le Corniaud » et « Les Tontons Flingueurs ». Un grand second rôle du Cinéma français et italien de ces 40 dernières années.
Jolivet revient avec ses acteurs habituels notamment Lindon et Berléand et l’excellente Bonnaire. Une comédie légère sur l'éternel sujet du coup de foudre naissant donnant lieu ici à des situations assez cocasses aidées par un scénario loufoque certes mais avec des personnages attachant même les seconds rôles. Le spectateur sourit simplement devant un film sans prétention mais qui assure un minimum de qualité pour passer un moment agréable.
La rencontre entre un patron et une artiste plasticienne embauchée pour réaliser une fresque dans les locaux de l'entreprise. La comédie repose essentiellement, comme souvent dans le cinéma de Pierre Jolivet, sur la qualité des portraits. D'emblée, Vincent Lindon et Sandrine Bonnaire imposent leur persnnage, notamment celui du patron surmené et pressé pour le premier. Lequel a un point faible: tomber amoureux, ou se croire amoureux, au premier contact. Il a un défaut aussi: spoiler: celui de faire surveiller quiconque par un détective privé particulièrement inquisiteur (Berléand, parfait). Aussi, le film s'articule autour de personnages qui évoluent intelligemment et d'une relation sentimentale compliquée, d'une part, par les approches maladroites de Lucas et, d'autre part,spoiler: par ses méthodes d'espion qui ne manqueront sans doute pas de lui revenir en pleine figure. La comédie, comme toujours dans ce registre, n'est jamais aussi plaisante que lorsqu'elle repousse l'inéluctable, c'est-à-dire la concrétisation de la liaison entre Lucas et Elsa. Le film de Jolivet peut aussi se prévaloir d'acteurs attachants, d'une interprétaion et d'une mise en scène concise et tonique.
Je reviens du cinéma et franchement je ne suis pas déçu, ce film ne manque pas d'humour ( mais hélas plus personns n'en a actuellement) et les acteurs sont sublimes dans leur rôles! Le film est un peu long à démarrer mais ne vous endormez pas! Ca va arriver! Enfin bref un bon petit film français qui bonne bonne humeur.
Un peu trop cliché à mon goût dans le sens où il y a aucune surprise, tout est prévisible... mais dans l'ensemble, ça se laisse regarder. Cette comédie romantique n'a rien d'étonnante, mais elle nous sert se qu'est venu cherche le spectateur, c'est à dire de la romance, et des personnages attachants. Bref, 'Je crois que je l'aime' n'a rien de très surprenant, donc je le conseille pas, mais je le déconseille pas aussi pour autant.
"Je crois que je l'aime" est une comédie romantique touchante menée par un duo d'acteurs convaincant. Il parle de la peur de faire confiance et de se lancer. A voir par les amateurs du genre.
Et pourtant il y a Sandrine Bonnaire, radieuse comme toujours, et Vincent Lindon n'est pas mal du tout. Mais le scénario est plat, la mise en scène creuse et le tout a des allures irrésistibles de roman-photo. Disons que ça se laisse regarder et n'en parlons plus.
Le réalisateur français Pierre Jolivet confirme son goût pour aller vers tous les genres , ici il s'aventure dans la comédie romantique avec "Je crois que je l'aime" , un titre par contre très mal choisi. En effet , "Amour et technologie" aurait été beaucoup plus approprié. Car , ce qui fait la marque de fabrique de Jolivet , c'est que derrière chacun de ses films comme en témoigne "Fred" , "Ma petite entreprise" et même le film historique "Le frère du guerrier" , se cache une description assez juste et pertinente des fléaux à priori innofensifs car cachés et grandissants de la société. Ici , le manque de communication , la suspicion , et également la légère paranoia entre hommes et femmes peut devenir un frein dans les relations amoureuses. Cette analyse fine est ici porté à l'écran par la rencontre entre un chef d'entreprise suréquipé technologiquement (Vincent Lindon) et une céramiste vivant d'amour et d'eau fraîche (Sandrine Bonnaire). Pierre Jolivet s'amuse et amuse le spectateur a montrer que celui qui possède tout et qui se définit comme un homme moderne , n'a pas besoin de tant d'artifices pour conquérir celle qui le fait fondre. Bref , "Je crois que je l'aime" est une comédie très rafraîchissante , un sorte de marivaudage amoureux du 21ème siècle , interprété toujours parfaitement par les habitués de Jolivet (Lindon et Berléand) , ainsi que Sandrine Bonnaire lumineuse , Kad Merad qui devient un incontournable second rôle et on l'espère premier , et Liane Foly en québecquoise intéressée. Un joli film , qui sort quelques senteneces sur l'amour assez justes et pas assez entendues.
Normalement, les comédies sentimentales ou romantiques, c'est avec des jeunes(20-25 ans, voir 30 ans), mais la c'est des personnes de 40 ans, mais Jolivet ne fait aucun cliché, au contraire il les utilisent pour mieux faire son film, même si on connait la fin, c'est regardable.
Petite comedie sentimentale qui vaut plus pour la valeur de son casting que pour l'originalité de son scenario.Jolivet retrouve ses acteurs fetiches que sont Lindon et Berleand (encore une fois truculent dans un role secondaire d'espion industriel) afin de nous trousser une histoire de rencontre amoureuse dont on devine rapidement l'issue mais ou les comediens degagent suffisamment de fraicheur et d'envie pour nous convaincre de plonger avec eux.Bonnaire est tout simplement rayonnante dans la peau de cette charmante decoratrice qui ensorcelle le business-man Lindon toujours impeccable.Quelques touches d'humour dans les dialogues viennent soutenir le rythme parfois defaillant de cette gentille comedie qui sans rester dans les annales cinématographiques n'en demeure pas moins agreable a suivre.
Voilà une comédie fort sympathique de Pierre Jolivet. Démarrant mollement, le film prend peu à peu son envol lorsque le quiproquo principal se met en place. Soutenu par une jolie interprétation de la pétillante Sandrine Bonnaire et par un Vincent Lindon stressé à souhait, l'ensemble se regarde avec plaisir. On rit souvent, notamment grâce au personnage de François Berléand, décidément indispensable second couteau du cinéma français. Frais et revigorant en période de vacances scolaires.