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C'est comme Guédiguian le voit et comme il l'entend, la seule condition à remplir pour qui désire l'accompagner des d'accepter les partis pris qui sont les siens et qu'il impose comme tels (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Mais son film est fort et généreux : Guédiguian est à l'aise en Arménie comme à l'Estaque. Et ses interprètes -habituels- : Ariane Ascaride et Gérard Meylan, sont une fois de plus épatants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
"Le Voyage en Arménie" propose une belle ode à la communauté, quelle qu'elle soit, pourvu qu'elle n'adopte pas le repli identitaire mais respecte le moi profond de chaque individu, et résiste à la mondialisation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La seule chose que Guédiguian ne ramène pas d'Erevan, c'est la mièvrerie touristique. Et ce qu'il conserve, où qu'il filme, est l'acuité d'un regard, celui qui prend à revers les cartes postales.
Guédiguian joue des multiples codes du spectacle : à partir d'une aventure familiale, il glisse sur la fausse ligne du documentaire de voyage, avant de mélanger chronique et inventions, comédie et mélo, notations quotidiennes et réflexions philosophiques, pour ne pas dire métaphysiques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Mais on a plutôt l'impression que la petite équipe de tournage s'est laissée porter par les hasards d'un périple finalement sans surprise ni péripétie. Alors on se dit que ce déplacement pour l'Arménie n'en valait pas vraiment le coup.
Elle
Guédiguian signe là un film pudique à la force émotive évidente, magnifiée par la lenteur de certains plans.
Télérama
Pour Anna comme pour le spectateur, l'Arménie devient une chambre d'écho : le pays résonne en elle, en nous.
Cahiers du Cinéma
"Le Voyage en Arménie" confirme un revirement de la part de Robert Guédiguian.
L'Obs
C'est comme Guédiguian le voit et comme il l'entend, la seule condition à remplir pour qui désire l'accompagner des d'accepter les partis pris qui sont les siens et qu'il impose comme tels (...)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Mais son film est fort et généreux : Guédiguian est à l'aise en Arménie comme à l'Estaque. Et ses interprètes -habituels- : Ariane Ascaride et Gérard Meylan, sont une fois de plus épatants.
Le Monde
"Le Voyage en Arménie" propose une belle ode à la communauté, quelle qu'elle soit, pourvu qu'elle n'adopte pas le repli identitaire mais respecte le moi profond de chaque individu, et résiste à la mondialisation.
Le Parisien
(...) un film délicatement émouvant, mélange d'action et d'observation solides et vraies (...)
Libération
La seule chose que Guédiguian ne ramène pas d'Erevan, c'est la mièvrerie touristique. Et ce qu'il conserve, où qu'il filme, est l'acuité d'un regard, celui qui prend à revers les cartes postales.
Positif
Guédiguian joue des multiples codes du spectacle : à partir d'une aventure familiale, il glisse sur la fausse ligne du documentaire de voyage, avant de mélanger chronique et inventions, comédie et mélo, notations quotidiennes et réflexions philosophiques, pour ne pas dire métaphysiques.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ici, Guédiguian réussit à réveiller à la fois une fibre sentimentale et une fibre politique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Ne restent alors que des brefs moments de poésie et de cocasserie, perdus dans la multiplicité des horizons evisagés.
Première
A vouloir tout traiter, Robert Guédiguian, dans ce film par ailleurs plus qu'estimable, s'abîme parfois dans le didactisme et l'édification.
Score
(...) l'auteur renoue non seulement avec ses origines, mais il réalise aussi le désir de cinéma d'une communnauté en mal d'exposition.
aVoir-aLire.com
Un voyage initiatique qui ne convainc qu'à demi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Mais on a plutôt l'impression que la petite équipe de tournage s'est laissée porter par les hasards d'un périple finalement sans surprise ni péripétie. Alors on se dit que ce déplacement pour l'Arménie n'en valait pas vraiment le coup.