Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) singulier, délicieusement décalé et plus profond qu'affiché. Une rareté, donc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Retour en Normandie" est une psychanalyse à ciel ouvert conjuguée à un discours sur la méthode, un manifeste artistique allié à une chronique documentaire, un journal intime qui ne trouverait ses mots que dans la rencontre et le partage avec ceux qui en sont ordinairement privés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Philibert (...) rend un hommage poignant à une certaine manière (inspirée, artisanale, humaniste) de faire du cinéma. C'est aussi beau que mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Murat
De ce film-mosaïque, fait d'enchevêtrements et de dissonances, émerge, en définitive, la prescience d'une solidarité secrète (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par La Rédaction
Quelques moments de magie et de cinéma très personnel surnagent dans un ensemble trop long.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Eugenio Renzi
Réussite : à trente ans de distance demeure dans les discours l'impression que "Moi, Pierre Rivière..." fut un véritable et formidable moment de fusion des paysans avec leur propre histoire. Echec : dans l'éloquence des paysans-acteurs se cache un non-dit, une illusion, une confusion aussi (...).
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Michel Palmiéri
Méticuleusement, [Nicolas Philibert] examine la trace laissée par cette expérience hors norme (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
Libération
par Eric Loret
On peut ne pas aimer les figures de maître et résister vaguement au sauvetage de cette humanité souffrante par l'apparition suspense de Dieu en fin de docu, on devra cependant reconnaître à Nicolas Philibert une certaine honnêteté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eric Derobert
(...) Retour en Normandie est aussi un poétique retour au bocage avec nuées d'oiseaux, mares et grenouilles (...) A contre-courant, et de façon ténue, Retour en Normandie visite la mémoire récentre d'une autre vision de l'homme (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
Retour en Normandie, où Philibert s'implique corps et âme (...) fonctionne à l'écho, tant l'intimité des intervenants s'est vue inconsciemment tatouée par le tournage du film d'Allio.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Béatrice Toulon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
C'est un drôle de film, peut- être le plus personnel de tous ses documentaires, que signe là Nicolas Philibert. (...) Des réflexions qui finissent par dessiner, en creux, un autoportrait du documen tariste.
Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
MCinéma.com
par Philippe Descottes
L'une des qualités majeures de "Retour en Normandie" est qu'il n'est pas nécessaire d'avoir vu le film de René Allio, "Moi, Pierre Rivière"... pour s'y intéresser (...) Le temps fort du documentaire demeure ces retrouvailles, 30 années après, avec ses gens ordinaires de la campagne normande.
L'Obs
(...) singulier, délicieusement décalé et plus profond qu'affiché. Une rareté, donc.
Le Monde
"Retour en Normandie" est une psychanalyse à ciel ouvert conjuguée à un discours sur la méthode, un manifeste artistique allié à une chronique documentaire, un journal intime qui ne trouverait ses mots que dans la rencontre et le partage avec ceux qui en sont ordinairement privés.
Les Inrockuptibles
Philibert (...) rend un hommage poignant à une certaine manière (inspirée, artisanale, humaniste) de faire du cinéma. C'est aussi beau que mystérieux.
Télérama
De ce film-mosaïque, fait d'enchevêtrements et de dissonances, émerge, en définitive, la prescience d'une solidarité secrète (...).
20 Minutes
Quelques moments de magie et de cinéma très personnel surnagent dans un ensemble trop long.
Cahiers du Cinéma
Réussite : à trente ans de distance demeure dans les discours l'impression que "Moi, Pierre Rivière..." fut un véritable et formidable moment de fusion des paysans avec leur propre histoire. Echec : dans l'éloquence des paysans-acteurs se cache un non-dit, une illusion, une confusion aussi (...).
Elle
Méticuleusement, [Nicolas Philibert] examine la trace laissée par cette expérience hors norme (...).
Libération
On peut ne pas aimer les figures de maître et résister vaguement au sauvetage de cette humanité souffrante par l'apparition suspense de Dieu en fin de docu, on devra cependant reconnaître à Nicolas Philibert une certaine honnêteté.
Positif
(...) Retour en Normandie est aussi un poétique retour au bocage avec nuées d'oiseaux, mares et grenouilles (...) A contre-courant, et de façon ténue, Retour en Normandie visite la mémoire récentre d'une autre vision de l'homme (...)
Première
Retour en Normandie, où Philibert s'implique corps et âme (...) fonctionne à l'écho, tant l'intimité des intervenants s'est vue inconsciemment tatouée par le tournage du film d'Allio.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
C'est un drôle de film, peut- être le plus personnel de tous ses documentaires, que signe là Nicolas Philibert. (...) Des réflexions qui finissent par dessiner, en creux, un autoportrait du documen tariste.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
L'une des qualités majeures de "Retour en Normandie" est qu'il n'est pas nécessaire d'avoir vu le film de René Allio, "Moi, Pierre Rivière"... pour s'y intéresser (...) Le temps fort du documentaire demeure ces retrouvailles, 30 années après, avec ses gens ordinaires de la campagne normande.