AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
1,7
167 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Venom ?
5
8 critiques
4
5 critiques
3
7 critiques
2
15 critiques
1
14 critiques
0
8 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Personne n'est en sècuritè, non personne n'est à l'abri [...] Pas très originale comme histoire, même si le rèalisateur du culte "I Know What You Did Last Summer" (1997) tient à lui donner un ton plus surnaturel que celui de son premier (et meilleur) film! Juste un voleur d'âmes qui tuera tout ceux qui sont sur sa route! Côtè acteur c'est assez fade et côtè actrice ça ne casse pas non plus des briquettes avec aucune scream queen à se mette sous la dent si ce n'est la prèsence anecdotique de Bijou Phillips! Pas assez flippant, du folklore vaudou de Louisiane (mambo, loas, baka qui vous protège du Mal...) ni plus ni moins! Ce slasher rituel a bon fond en fait (surtout dans son dernier quart d'heure) mais n'est pas assez plausible pour être vraiment captivant! Dommage pour Jim Gillespie qui n'a jamais vraiment su confirmer depuis son premier film à succès...
🎬 RENGER 📼
Le vaudou ayant déjà été maintes fois traité au cinéma ou à la télévision, on craignait le pire ici. Mais ce qui n’a pas rassuré, c’est de voir Jim Gillespie derrière les commandes de ce DTV. Après son slasher pour teenager : Souviens-toi... l'été dernier (1998) et son fiasco (échec commercial) avec : Compte à rebours mortel (2002), il revient avec Venom (2004), énième slasher pour ados, oscillant entre le thriller et le fantastique.
Si le film n’offre rien de nouveau au genre, on a surtout l’impression de voir et revoir toujours le même genre de film, comme cela avait pu être le cas avec : La Porte des secrets (2005), où une fois de plus, le film se situe dans un bayou de Louisiane et l’utilisation du vaudou est là aussi sur le devant de la scène.
En résumé, on assiste ici à un slasher sans saveur, dénué d’intérêt et difficilement distrayant.
Si le film n’offre rien de nouveau au genre, on a surtout l’impression de voir et revoir toujours le même genre de film, comme cela avait pu être le cas avec : La Porte des secrets (2005), où une fois de plus, le film se situe dans un bayou de Louisiane et l’utilisation du vaudou est là aussi sur le devant de la scène.
En résumé, on assiste ici à un slasher sans saveur, dénué d’intérêt et difficilement distrayant.
Yannickcinéphile
Venom est un métrage qui commence sur des bases originales mais qui s’avère finalement très quelconque, film d’horreur banal qui joue faussement aux durs.
Le casting n’est pas déplaisant, mais il est totalement fadasse, transparent, héritant de manière générale des personnages les plus classiques qui se puissent voir dans un métrage de ce genre. Des jeunes, peu caractérisés, pas très intelligents pour l’essentiel, qui traversent leurs aventures sans retenir le moins du monde l’attention. Aussi les interprètes, même s’ils n’ont pas l’air d’être mauvais, ne parviennent guère à intéresser, et on se contrefiche littéralement de ce qui peut leur arriver au bout du compte. Dommage.
Le scénario n’est pas non plus enthousiasmant. Le film est court, certes, mais il n’en est pas pour autant assez mal fichu. Il démarre lentement (premier meurtre du croquemitaine au bout d’une bonne demi-heure), et s’il part sur des bases audacieuses, avec un monstre différent, une plongée potentiellement bienvenue dans les mythes vaudous, malheureusement rien de cela. Le film s’oriente vers le slasher très banal, le vaudou est limité à bien peu de choses finalement, et la conclusion est très peu convaincante. Ainsi reste à Venom quelques scènes spectaculaires. J’oubliais encore de préciser que le film ne lésine pas sur les poncifs, en particulier lorsqu’il s’agit de rester figer comme un idiot pour aimablement se faire dézinguer par le méchant.
Visuellement Gillepsie n’a pas beaucoup changé son style depuis Souviens-toi l’été dernier, et il nous ressert un travail approchant, ce qui donne à ce Venom un côté année 90, post-scream dans certains de ses meurtres assez sympathique par l’aspect rétro. Après Gillepsie se débrouille bien aussi dans les scènes importantes du métrage (l’accident notamment) et le résultat est de ce point de vue convaincant. C’est déjà moins le cas des décors. Difficile de ce croire réellement dans les bayous du sud de l’Amérique, on est loin d’une ambiance Louisiane comme le film semble vouloir l’instaurer. Je m’attendais à beaucoup mieux. La photographie est du même acabit, trop sombre, manquant de personnalité, ne restituant pas une réelle ambiance. Alors Venom ne se rattrape pas non plus énormément avec sa créature, qui n’est finalement pas franchement impressionnante. Heureusement que le film distille quelques effets horrifiques soft d’assez bon aloi, et dispose d’effets spéciaux convenables. La bande son est en revanche faible, ayant été visiblement délaissée.
Pour ma part Venom ne m’a pas réellement enthousiasmé. Passé un bon départ, l’ensemble s’enlise finalement dans une réelle banalité, une dimension quelconque qui lui est nuisible. C’est un produit très formaté, qui se laisse regarder mais ressemble tout de même à un gâchis. Je lui donne 2, et c’est presque bien payé.
Le casting n’est pas déplaisant, mais il est totalement fadasse, transparent, héritant de manière générale des personnages les plus classiques qui se puissent voir dans un métrage de ce genre. Des jeunes, peu caractérisés, pas très intelligents pour l’essentiel, qui traversent leurs aventures sans retenir le moins du monde l’attention. Aussi les interprètes, même s’ils n’ont pas l’air d’être mauvais, ne parviennent guère à intéresser, et on se contrefiche littéralement de ce qui peut leur arriver au bout du compte. Dommage.
Le scénario n’est pas non plus enthousiasmant. Le film est court, certes, mais il n’en est pas pour autant assez mal fichu. Il démarre lentement (premier meurtre du croquemitaine au bout d’une bonne demi-heure), et s’il part sur des bases audacieuses, avec un monstre différent, une plongée potentiellement bienvenue dans les mythes vaudous, malheureusement rien de cela. Le film s’oriente vers le slasher très banal, le vaudou est limité à bien peu de choses finalement, et la conclusion est très peu convaincante. Ainsi reste à Venom quelques scènes spectaculaires. J’oubliais encore de préciser que le film ne lésine pas sur les poncifs, en particulier lorsqu’il s’agit de rester figer comme un idiot pour aimablement se faire dézinguer par le méchant.
Visuellement Gillepsie n’a pas beaucoup changé son style depuis Souviens-toi l’été dernier, et il nous ressert un travail approchant, ce qui donne à ce Venom un côté année 90, post-scream dans certains de ses meurtres assez sympathique par l’aspect rétro. Après Gillepsie se débrouille bien aussi dans les scènes importantes du métrage (l’accident notamment) et le résultat est de ce point de vue convaincant. C’est déjà moins le cas des décors. Difficile de ce croire réellement dans les bayous du sud de l’Amérique, on est loin d’une ambiance Louisiane comme le film semble vouloir l’instaurer. Je m’attendais à beaucoup mieux. La photographie est du même acabit, trop sombre, manquant de personnalité, ne restituant pas une réelle ambiance. Alors Venom ne se rattrape pas non plus énormément avec sa créature, qui n’est finalement pas franchement impressionnante. Heureusement que le film distille quelques effets horrifiques soft d’assez bon aloi, et dispose d’effets spéciaux convenables. La bande son est en revanche faible, ayant été visiblement délaissée.
Pour ma part Venom ne m’a pas réellement enthousiasmé. Passé un bon départ, l’ensemble s’enlise finalement dans une réelle banalité, une dimension quelconque qui lui est nuisible. C’est un produit très formaté, qui se laisse regarder mais ressemble tout de même à un gâchis. Je lui donne 2, et c’est presque bien payé.
RedArrow
Pas facile l'existence de Ray Sawyer, non seulement ce camionneur à la mine patibulaire vit dans une petite ville remplie d'adolescents-mannequins qui se moquent de lui mais le jour où il décide de sauver une vieille dame victime d'un accident de la route, celle-ci se révèle être une prêtresse vaudou (ben oui, ça se passe en Louisiane, on pratique le vaudou comme on respire là-bas) voyageant avec une valise remplie de serpents frappa-dingues, incarnations d'âmes malfaisantes qu'elle a purifié (enfin, un truc-bidule du genre).
Autant dire que cette rencontre ne va pas tourner à l'avantage du pauvre Ray : déclaré mort, celui-ci va pourtant se montrer très récalcitrant quant au fait de subir une autopsie et va partir faire une virée meurtrière avec ses potes serpents maléfiques nichés dans son corps.
À part une ou deux mises à mort amusantes, "Venom" n'est qu'un petit slasher quelconque teinté de surnaturel se contentant de reprendre sans génie tous les codes du genre.
Très classique mais pas plus stupide qu'un autre, le film tire néanmoins son épingle du jeu car il semble être le dernier balbutiement de cette époque bénite (ou non, c'est selon) des néo-slashers engendrés suite au succès de "Scream". Souvenez-vous de tous ces films horrifiques
sortis à la fin des années 90 jusqu'au début des années 2000 qui ont ressuscité pas mal de franchises en perte de vitesse (Halloween, Chucky,...) ou en ont créé des nouvelles pour le meilleur et surtout pour le pire.
Ayant grandi avec eux, découvrir aujourd'hui "Venom" réalisé par Jim Gillepsie ("Souviens-toi l'Été Dernier") et produit par Kevin Williamson (le pape-scénariste de ce courant) ne pouvait donc que coller un sourire nostalgique au petit adolescent que j'étais, en dépit de sa piètre qualité.
À part ça, rien à signaler.
Autant dire que cette rencontre ne va pas tourner à l'avantage du pauvre Ray : déclaré mort, celui-ci va pourtant se montrer très récalcitrant quant au fait de subir une autopsie et va partir faire une virée meurtrière avec ses potes serpents maléfiques nichés dans son corps.
À part une ou deux mises à mort amusantes, "Venom" n'est qu'un petit slasher quelconque teinté de surnaturel se contentant de reprendre sans génie tous les codes du genre.
Très classique mais pas plus stupide qu'un autre, le film tire néanmoins son épingle du jeu car il semble être le dernier balbutiement de cette époque bénite (ou non, c'est selon) des néo-slashers engendrés suite au succès de "Scream". Souvenez-vous de tous ces films horrifiques
sortis à la fin des années 90 jusqu'au début des années 2000 qui ont ressuscité pas mal de franchises en perte de vitesse (Halloween, Chucky,...) ou en ont créé des nouvelles pour le meilleur et surtout pour le pire.
Ayant grandi avec eux, découvrir aujourd'hui "Venom" réalisé par Jim Gillepsie ("Souviens-toi l'Été Dernier") et produit par Kevin Williamson (le pape-scénariste de ce courant) ne pouvait donc que coller un sourire nostalgique au petit adolescent que j'étais, en dépit de sa piètre qualité.
À part ça, rien à signaler.
Je viens de m'offrir le dvd et le premier mot qui me vient à l'esprit est : décevant !! Avec Kevin Williamson (scénariste de la saga "Scream", de "The Faculty" et de "Souviens-toi... l'été dernier") à la production et Jim Gillespie (réalisateur d'un de mes slashers préférés : "Souviens-toi... l'été dernier) à la réalisation, on pouvait s'attendre a du bon et même du très bon mais en réalité ce "Venom" est un slasher qui n'offre rien ou presque ! Les personnages sont peu attachants, les meurtres sont ni impressionnant ni divertissant, le tueur a du mal à convaincre... j'ai juste aimé la mise en scène (on retrouve bien le style de Jim), et la fin (mais particulièrement la deuxième partie du final qui se passe dans la journée). En bref, un film que je ne conseille pas !
J'avais vu Venom en 2005 et mon avis reste le même après l'avoir revu. Venom est un film d'horreur stupide et sanglant, mais j'ai passé un bon moment à le regarder même si ce n'est rien de plus qu'une excuse pour de la violence gratuite. Bien que je souhaitasse que l'aspect vaudou de l'intrigue ait été exploré davantage, il était assez intéressant dans sa mythologie. C'est un film slasher avec du vaudou qui se passe dans le Bayou. En tant que tel, c'est toujours assez amusant si vous aimez ce genre de films. Donc un slasher avec un penchant surnaturel. Étonnamment, je me suis retrouvé à l'aimer. L'action était assez décente sans la stupidité des personnages d'autres films slasher. Celui-ci est un peu plus sanglant que d'habitude, ainsi que meilleur que la plupart des autres slasher. Je le recommanderais si vous aimez ce genre. Pas génial du tout, mais juste assez bon pour que vous puissiez en profiter. Mais il est facile de voir pourquoi les gens détestent ce film car c'est en effet un film stupide. Mais Jim Gillespie est quand même le réalisateur de Souviens-toi...l'été dernier (1), il n'est pas n'importe qui...
Stephenballade
Construit à partir d’un titre attrayant (et surtout très trompeur puisque "Venom" n’a rien à voir avec le personnage de comic de Marvel), d’une affiche aguicheuse, et d’un scénario relativement original, "Venom" ne décolle pas vraiment et s’enlise dans les pièges tels que les clichés (plutôt nombreux), la facilité, et les incohérences. Si la première moitié du film est plutôt bien réussie, malgré une présentation de personnages pas très finauds, le reste ne propose rien de transcendantal. Le début est donc prometteur, avec une entrée en matière très mystique, ce qui a le mérite de soulever un certain nombre de questions
spoiler:
: comment cette vieille femme sait où se trouve cette valise ? pourquoi la déterre-t-elle ? que contient-elle ? pourquoi les incantations ?
Autant de questions qui instaurent efficacement l’intrigue, amenant un certain suspense assez plaisant je dois dire. A cela il faut rajouter les apparitions inquiétantes d’une silhouette pas moins inquiétante dans la noirceur de la nuit. Mais, parce qu’il y a un mais, c’est tout ce qu’on a. Outre un jeu d’acteurs un peu pauvre, le récit est plombé par de nombreuses incohérences spoiler: , dont la première est constituée par l’ouverture miraculeuse de la valise
. C’est ensuite assez convenu, avec cette bande de jeunes recroquevillés autour de leur peur panique. spoiler: Une situation qui impose d’appeler les secours, chose à laquelle ils pensent, mais qu’ils ne font pas sous prétexte qu’il n’y a pas de réseau alors qu’ils ne prennent même pas la peine de vérifier. Pathétique d’incrédibilité.
Donc les acteurs sont ce qu’ils sont, mais il faut reconnaître qu’ils ne sont pas aidés ni par l’écriture, ni par leur directeur artistique. spoiler: Comment peut-on transformer la personne la plus froussarde en la plus courageuse ?
Ce n’est pas tout. Le film démarre sur des rites vaudous, qui seront finalement très peu exploités au profit d’un traitement très classique et sans véritable ambition. Un style propre au genre thrillo-horrifique. Dommage, l’idée de départ promise par le début était intéressante et prometteuse, jusqu’au premier meurtre, fort bien mis en scène. Quant à la fin, elle est totalement ratée spoiler: . Le monstre résiste à tout, a une force colossale, mais tarde à soulever une plaque avant de faire une "indigestion"
pour laisser la place à une très probable suite… qui n’aura jamais lieu. Vu la qualité générale de ce film, je dis tant mieux.
Autant de questions qui instaurent efficacement l’intrigue, amenant un certain suspense assez plaisant je dois dire. A cela il faut rajouter les apparitions inquiétantes d’une silhouette pas moins inquiétante dans la noirceur de la nuit. Mais, parce qu’il y a un mais, c’est tout ce qu’on a. Outre un jeu d’acteurs un peu pauvre, le récit est plombé par de nombreuses incohérences spoiler: , dont la première est constituée par l’ouverture miraculeuse de la valise
. C’est ensuite assez convenu, avec cette bande de jeunes recroquevillés autour de leur peur panique. spoiler: Une situation qui impose d’appeler les secours, chose à laquelle ils pensent, mais qu’ils ne font pas sous prétexte qu’il n’y a pas de réseau alors qu’ils ne prennent même pas la peine de vérifier. Pathétique d’incrédibilité.
Donc les acteurs sont ce qu’ils sont, mais il faut reconnaître qu’ils ne sont pas aidés ni par l’écriture, ni par leur directeur artistique. spoiler: Comment peut-on transformer la personne la plus froussarde en la plus courageuse ?
Ce n’est pas tout. Le film démarre sur des rites vaudous, qui seront finalement très peu exploités au profit d’un traitement très classique et sans véritable ambition. Un style propre au genre thrillo-horrifique. Dommage, l’idée de départ promise par le début était intéressante et prometteuse, jusqu’au premier meurtre, fort bien mis en scène. Quant à la fin, elle est totalement ratée spoiler: . Le monstre résiste à tout, a une force colossale, mais tarde à soulever une plaque avant de faire une "indigestion"
pour laisser la place à une très probable suite… qui n’aura jamais lieu. Vu la qualité générale de ce film, je dis tant mieux.
Un des slayers les plus pourri que j'ai vu. Honnêtement on ce fait hier pendant tout le film, les acteurs sont minables, la mise en scène est inexistante et surtout il n'y a aucun scénario. Le seul truc pas mal en fait c'est l'affiche. Un film affligeant qui fait plus rire que peur d'ailleurs c'est peut être son seul point fort c'est d'être une excellente comédie tellement l'ensemble ne ressemble à rien. Je me demande comment on peut donner un budget à un truc aussi merdique.
Dik ap Prale
Dans les Bayous, méandres du Mississippi, aidé de sa grosse remorqueuse, le zombie des marais fait une bouillasse sympathique des Jeepers Creepers et autres slasher bien craspouilles qui patogent peu et proposent quelques idées sympathiques. Venom ne réinvente rien mais à l'avantage d'exploiter le mythe vaudou, culte de sorcellerie peu exploité jusqu'alors. On retrouve la pâte d'I Know What You Did... et D-Tox, conjuguant acteurs aux charismes d'huîtres et des ressorts quelques peu répétitifs.
On rit plus que ce qu'on a peur ca c'est sûr! Un navet complet...
slasher pour ado, le reste fait peine a voir. le monstre ne ferai meme pas peur a une mouche, le jeu d'acteurs est pitoyabe et l'histoire son grande originalité. seule l'ambiance du film est assez réussi, l'aspect glauque avec le camionneur possédé et la campagne vue de nuit. a oublier d'urgence.
Rien de palpitant, rien de nouveau pour ce Slasher surnaturel. Venom ne brille pas par son originalité et reprend les recettes bien connues du genre relancé avec Scream. Le renouveau nous ait présenté par une histoire surnaturelle mélangée dans le Vodou et un serial killer quelque peu différent. Est-ce bien suffisant ? Non, c'est sûr. Ce Venom est donc un petit film d'horreur basique avec lequel néanmoins on ne s'ennuie pas... c'est déjà ça. L'interprétation reste assez médiocre mais l'ensemble du film a au moins suffisamment d'action pour tenir son spectateur jusqu'au bout sans trop d'ennui. Les scènes de meurtres sont assez réussies mais la fin est bâclée et convenue... Donc l'ensemble est assez mitigé, bien moyen... mais on a déjà vu bien pire et bien plus ennuyeux.
16 / 20 J'adore ! Ce genre de film D'horreur / Epouvante est ce que j'aime ! Il y a beaucoup de clichés , mais c'est stréssant , c'est sadique & on est impatient de savoir ce qui se passe à la fin . Les acteurs sont passable , Agnes bruckner , comme toujours est excellente par contre ; c'est un peu court mais on ce régale , je vous le conseille . C'est un bon survival qui n'est pas assez connu malheureusement ! Si on compare sa à Catacombes ou Le bal de l'horreur , on voit vite la différence , on ne s'ennuie pas un seul moment , on est scotcher à l'écran , bref vous m'aurez compris j'ai bien adoré , c'est divertisant . j'aimerai même voir une suite si possible .
Jim Gillespie a en commun avec Ti West de filmer ses films avec un esthétisme certain, mais là où le réalisateur de Inkeepers excelle par une ambiance travaillée avec un soin particulier, celui de Souviens-toi L'Eté Dernier se complaît dans un copier-coller un peu agaçant. Voir Venom, c'est revoir d'une certaine façon I Know What You Did Last Summer. Alors les plans sont plutôt jolis, les acteurs pas vilains pour ce genre de produit bien calibré mais ça manque d'âme. Venom au final est un bon slasher mais loin des canons du genre. Mention spéciale en effet à Agnès Bruckner, aussi charmante qu'intéressante et dont la filmo comprend quelques beaux titres (The Woods, du grand Lucky McKee et Peaceful Warrior du non moins talentueux Victor Salva). Le film ? 3/5
Venom est un slasher dans la plus grande tradition du genre, avec serial killer et ados qui se font trucider. Donc on pourrait se dire encore un! Et oui encore un néanmoins l'originalité de certains meurtre et l'intrusion du vaudou relève ce film. Par contre là où Venom est beaucoup moins brillant c'est dans la mise en scéne et les acteurs quasi absent qui sont là juste la pour se faire découper. alors loin d'être un chef d'oeuvre horrifique, Venom reste une série B louable.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse