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Pascal I
804 abonnés
4 164 critiques
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4,5
Publiée le 5 février 2011
Un pure merveille, très touchant. Entre rires et larmes, ce biopic nous révèle tous les préjugés universels, la candeur, la sincérité. Le bien quoi ! Hopkins reste encore formidable dans ce film qui nous fait voyager aussi bien dans de très beaux espaces que dans "son" rêve. Dommage qu'il soit un peu trop court ! 4.5/5 Vraiment à découvrir !!!
Grâce à A. Hopkins mais aussi à une histoire touchante et entrainante, le film réussit à nous porter jusqu'au final même s'il aurait gagné à être plus court... Un film familial de bonne qualité.
En 1968, le vieil et extravagant Burt Munro, 68 ans, à moitié sourd, malade du cœur et de la prostate, vivant sans le sou dans sa banlieue néo-zélandaise, continue de bricoler, modifier, et même construire les pièces de sa vieille moto Indian 600 cm cubes de 1920, pour donner toujours plus de puissance à ce qui est devenu un bolide, une bombe, une curiosité, un antique et grossier monstre de course. Quand l’occasion financière se présente enfin, à son âge, d’aller l’essayer de l’autre côté de la planète, au grand championnat de vitesse de Salt Lake City, l’insolite papy ne se pose même pas la question. Voyage désynchronisé d’un généreux mais bourru dinosaure néo-zélandais dans un Los Angeles speedé et perverti, puis dans la campagne américaine, puis dépourvu de tout équipement et en décalage total avec la gadoue bureaucratique, sportive et sécuritaire de la fameuse course à l’époque (il n’aurait jamais pu concourir aujourd’hui), on suit avec émotion, tension et baume au cœur la détermination naïve et pure d’un ours passionné qui laissera à chaque occasion derrière lui une impression inébranlable de force, de bon sens, de séduction et de joie de vivre. Tirée de la véritable histoire de ce personnage atypique, l’excellent Anthony Hopkins incarne ici ce fanatique de bricolage, de moto et de vitesse qui défraya la chronique en battant le record de vitesse en moto de moins de 1000 cm cubes, toujours inégalé aujourd’hui (sans doute pour des raisons de sécurité !).
un petit film tout mimi et très frais avec beaucoup d'émotion, Hopkins est super touchant et parfait dans ce rôle, il mérite un 5 étoiles pour cette prestation.
Certes, si on ne connaît ni ne comprend la passion des belles mécaniques, de la lenteur des choses qui se construisent, et paradoxalement (quoique pas tant que ça) de la vitesse pure ou artificielle... on peinera à supporter les quelques trop pleins de bons sentiments, d'américanisme tendance tout le monde il est beau, etc ... Au milieu d'une belle photographie ( superbes paysages, belles bagnoles, Pubs 50's...) et quelques scènes même touchantes (comme celle du travesti ou de la maîtresse de passage), j'ai trouvé que ces défauts ne passaient pas trop mal, et j'ai pris mon pied devant le guidon de cette vieille Indian (seule marque acceptée parmi les légendaires Harley!!). Un petit + à mes trois étoiles pour l'excellente partition d' Anthony Hopkins, touchant, brillant, habité.
Basé sur la vie d’un passionné de moto néo-zélandais dont l'objectif obsessionnel est de se rendre sur le Grand Lac Salé de Bonneville en Utah, y tester son antique "Indian" et battre éventuellement un record de vitesse. Ce petit film, injustement méconnu, est une vraie pépite. Pour incarner "Burt Munro", le réalisation Roger Donaldson a fait appel à un excellent Anthony Hopkins, qui nous gratifie ici d'une interprétation tout en finesse et en tendresse. Un périple passionnant et émouvant à découvrir.
L'histoire de Burt Munro, vieillard néo-zélandais accro à la moto dans les années 60, et son voyage pour se rendre, lui et sa mythique Indian (vieille moto des années 20), à une compétition de vitesse en Utah. Un road movie marrant à un certain degré qui ne fait que tourner autour d'Anthonny Hopkins, lequel alors devait penser que ce rôle lui permettrait de finir sa carrière sur un oscar... Le film pourrait s'appeler "Burt et ses amis" tellement les aventures du vieux motard sont identiques (Burt a une galère, il se fait des potes; Burt roule, il se fait des potes; Burt va quelque part - potes, Burt-potes, Burt-potes,etc.). Bref, le scénario n'est qu'une série de détails accumulés au cours des enquêtes des scénaristes, finalement assez bien ficelés, mais un peut indigestes. Que dire de plus, si ce n'est que le film ne révolutionnera pas le genre (si il appartient vraiment à un genre)? Le personnage de Burt Munro lui même, est aux limites du supportable, et le regarder pendant deux heures non stop relève de l'endurance la plus virile. Moralité: la vérité ne fait pas la qualité et on ne peut pas faire de films sur n'importe quoi. Moyen, très moyen.
C'est l'histoire d'un papy cardiaque trompe-la-mort qui fait le jacky avec sa brêle toute pourrie qu'il rafistole à grands renforts de pièces de cafetière et de charnières de portes, de pneus rechapés et de chatterton. Papy Zinzin n'a qu'une idée dans la caboche : se rendre au grand rassemblement des trifouilleurs Castomerlin à Bonneville... ce qui fait une trotte de son patelin au fond de la Nouvelle-Zélande. Il aurait demandé, on lui aurait expliqué : "Papy, pour les runs, tu vas au Cora du coin, ça te reviendra moins cher".
Le vieux débris est donc une tronche à baffes insupportable mais le talent d'Anthony Hopkins suffit à faire passer la pillule gentillette et très neuneu, il faut bien le dire (on dirait que c'est produit par Disney). Néanmoins le film peut faire sourire de temps à autre et garde un rythme assez satisfaisant malgré ses deux heures bien tassées grâce à la réalisation de bon aloi de Roger Donaldson.
Film tres attachant et bien fait, porté par un Anthony Hopkins exceptionnel et des acteurs de second rôle loin d'être transparents, malgré leur peu de place dans l'histoire. De bons comédiens, une bonne histoire, une bonne mise en scène. Ce film fait plaisir a voir.
Enfin un film traitant les sports mécaniques autrement qu’avec sensationnalisme et accumulation de clichés ; ici, ce qui prime, c’est le moteur essentiel : la passion dévorante d’un homme magistralement interprété par Anthony Hopkins. La photographie, par moments superbe, est un atout supplémentaire. Par contre, les caractères sont très peu fouillés et l’histoire globalement simplifiée, les difficultés disparaissant comme par enchantement. Finalement, au lieu d’une fantastique aventure humaine, le résultat se résume davantage en un sympathique conte, plein de bons sentiments mais régulièrement irréaliste.
Anthony Hopkins porte son role mervilleusement bien. l'hisoitre est on ne peut plus simple, Burt decide d'aller aux USA, pour battre le record du monde de vitesse. son personnage est très interessant, aimé et avant tout aimable, j'ai adorer sa personalité. le film devient vraiment interessant vers la fin. D'aprés moi quand on va pour accomplir le reve de sa vie, il y a de la magie, de l'envoutement, tout ceci arrive, mais trop tard. le film nous montre a quel point il est important de realiser ses reves, pour burt il en va de sa vie, tout le reste, securité, amour, confort, et même sa vie, passe aprés, c'est donc le personnage qui fait le film.
je trouve toutefois que le film manque d'interet, je l'ai vu une fois, et ça me suffit, toutefois je le recomande, et j'espere qu'il vous parlera plus qu'a moi, moi qui ai aussi des reves qui m'attachent a cette terre.