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🎬 RENGER 📼
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2,5
Publiée le 15 octobre 2006
Manuel Pradal (Marie Baie des Anges - 1998), réalise ici un polar sombre et glaçant, remettant au goût du jour « la femme fatale » dans un film sombre qui ségare malgré un casting intéressant. Dans un New York doutre tombe, une femme invente un stratagème pour mettre la main sur un chauffeur de taxi, afin de le transformer en victime malgré lui. Dans le seul but, de conquérir son voisin, un homme traumatisé par la mort de son épouse. Si le scénario tient la route, la mise en scène, est quant à elle, capricieuse ! Le film est lent, les acteurs sont au ralentis, sauf la seconde partie du film, qui commence petit à petit à se réveiller. Seul les acteurs, ou plutôt le couple Harvey Keitel et Emmanuelle Beart, sont excellents. Un Crime, thriller psychologique, à la fois bien traité dans le jeu des acteurs, mais mal dirigé dans sa réalisation. Les acteurs errent dans la métropole, quant aux spectateurs, eux, ils errent dans la salle de cinéma, où ils ont le choix entre, sendormir ou saccrocher pour rester éveillés et suivre les péripéties du couple Keitel / Beart.
Bcp de feeling, une excellente BO, des acteurs somptueux, un vrai suspens... C'est déjà pas mal. Certes certaines scènes se donnent le temps mais on est en bonne compagnie. C'est bon...
Magnifique d'étrangeté. Magistrale mise en scène de la passion noire, du désir, de la haine, de la vengeance, de la trsitesse, du désespoir. Un scénario profond dans un cadre inquiétant. Les trois acteurs principaux sont exceptionnels. Un retour gagant à Hollywood pour la sublime Emmanuelle Béart.
Scénario prévisible, voire tiré par les cheveux, je ne suis pas rentré dans le film et c'est fort dommage, car pourtant j'aime bien les acteurs. Il manque quelque chose à ce film, un je ne sais quoi qui relie les scènes et les personnages entre eux pour former une histoire.
un bon polar, comme le cinéma français en fait peu. oui : j'ai bien dit cinéma français , car Manuel Pradal a bien écrit le film en France , avec une équipe française. le fait que le film se déroule à New York (et surtout ses environs) et soit joué en langue anglaise (Emmanuelle Béart maitrise très bien cette langue) ne doit pas nous faire assimiler ce film à du cinéma américain. ici les rebondissements sont nombreux et assez étranges... et on a droit à quelques signatures de scénariste assez savoureuses (en vrac : des bookmakers chinois, du boomerang et des levriers). à voir !
Un crime est un film ou il ya des retournements de situation et c'est ce qui fait que c'est un bon film, on acroche du début jusqu'à la fin, à voir quand on s'enuie un peu des gros film américains.
Un film commençant a toute allure mais qui s'essouflle aussi rapidemment. Les invraisemblances sont de rigueur dans un film qui traine inlassablement dans les longueurs.... Un film a voir juste pour revoir une prestation correcte de Harvey Keitel et découvrir un nouveaux visage en la personne de Norman Reed.A l'opposé, Emmanuel Beart....grande question ? Pourquoi faire un film comme ça. Son meilleur profil est celui de son sein gauches. Ses gemissement ne sont helas pas crédible dans un film ou elle n'incarne qu'un accesoire sans interet ( A part pour Harvey Keitel...) Une pauvreté de jeu sans precedent, un scenario cousu de fil blanc, un hasard abstrait font de ce film un navet. Pour ma part, aucun regret de ne pas avoir payer la place... C'est long, c'est pauvre, par contre, une mention speciale pour le jeu du levrier, le seul a ne pas etre la victime des coup de reins excessif de Emmanuel Beart. Une intensité equivalente a l'encephalogramme de la grenouille en hibernation. Bref, passer votre chemin, sans regret, et revoyer Bad Lieutnant, ça vous fera beaucoup plus de bien...
Scénario pas toujours très cohérent, ce film démarre d'entrée, relation forte entre les personnages, ce film noir marque par le force de son message. Jusqu'où sommes nous prêt à aller par amour...
Il n'y a pas forcemment de morale dans un film. On s'intéresse parfois exclusivement au caractère singulier d'un personnage à travers ses actes et ce afin de stimuler en nous une réaction. Un meutre, un viol, une descente aux enfers résultat d'une réflexion sur soi et l'existence et l'espoir de dépasser le quotidien banal de nos existences (taxi driver, Requieme for a dream), sont matières à servir ce genre de films. Si "taxi driver" ou "Requieme for a dream" ont su heurter nos consciences et nous éveiller un sentiment profond de compassion pour leurs personnages, dans le même genre "un crime" est un film qui nous émeut très peu, voir nous laisse pantois. Un bon point pour Harvey Keitel qui reste une étoile dans le firmament du cinéma.
Une étoile pour Norman Reedus, un acteur juste, qui joue le seul personnage crédible de cette histoire; une mention bien pour Harvey Keitel, qui campe un personnage bien improbable, du mieux qu'il peut. Un décor et une photographie admirable, qui nous révèle le New-york que j'ai connu personnellement, poisseux et fascinant. Le scénario ici ne permet pas de faire un film qui tienne la distance. Le happy end se fait attendre, et les rebondissements m'ennuient à bailler. Il manque le parti-pris du fantastique-policier, ou le parti-pris du réalisme qui aurait collé à l'image. Bref, il manque un parti-pris! De quoi vit cette femme (Alice) qui doit payer un loyer à Brooklyn, et ses soirs de biture? D'ailleurs, la figure refaite de cette pauvre Emmanuelle Béart ne convainc pas, pas plus que son jeu, décalé par rapport à ses partenaires. J'ai regretté mes 9.80.
Benacquista a co-signé le scénario de ce film, avec le réalisateur Manuel Pradal. Cest un spécialiste de ce genre dhistoire tordue, où tout le monde ment, pour sauver sa peau ou pour se faire aimer. Il y a dhabitude dans ses récits une certaine virtuosité (à défaut de finesse) pour embrouiller le lecteur ou le spectateur. Ce crime est cousu de fil blanc, tout est balisé, les personnages ont bien peu de latitude pour exprimer des doutes, des zones dombre... La mise en scène de Manuel Pradal fait dans la sobriété mais napporte aucun intérêt au récit. Pas de rythme, aucune peur, pas même un frémissement, juste une ambiance souvent nocturne assez bien rendue. Le pire est quà la presque toute fin, un événement probablement capital pour insuffler un peu d'ambiguïté dans les relations entre les personnages, est traité avec un amateurisme lamentable, et léventuelle ambiguïté est remplacé par un flou grossier, même pas artistique. Les trois acteurs surnagent et font ce quils peuvent, cest pour eux quon ne quitte pas son fauteuil.
Début difficile, on a du mal a entrer dans l'histoire puis, quand ça démarre, je ne sais pas vraiment quand, c'est merveilleux. On est à la fois assassin, voyeur et amoureux fou. Jusqu'au bout le plaisir augmente(ça fini bien!!!). Emmanuelle n'est pas très nue, jusque se qu'il faut, ni fatale, elle est simple et vrai. Un très bon moment donc.
Le couple Béart Keitel ne fonctionne pas. Le scénario accumule les invraisemblances, la plupart des scènes sont étirées à lexcès, avec des plans qui nen finissent pas, nous montrant les visages des protagonistes plongés dans de longues réflexions métaphysiques. Le théorique amour fou de la dame pour son voisin nest pas identifié, ce qui donne à ses actes aucune justification réelle. Cest nul sur toute la ligne. Mais ya de jolies images et les seins nus dEmmanuelle. Cest pas assez pour faire un film.
Belles prestations des acteurs. Bon scénario avec du suspense: le personnage de Harvey Keitel récèle bien des surprises. C'est également un plaisir de pouvoir se rincer l'oeil sur Emmanuelle Béart nue.
Le scenario est sympas, je jeu d'acteur est correct, dommage que le film soit aussi long, tout du moins les séquences sont longues, très longues, trop longues!
BEAUCOUP TROP LONGUES !!!
Il est rare que j'ai envie de sortir de la salle mais là j'avoue que ca m'a démangé.