Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Elle
par Anne Diatkine
La première qualité d' Un crime est de nous montrer ce qu'on pouvait voir dans le cinéma américain indépendant des années 70: une errance dans une ville tentaculaire, sans qu'elle ait l'air d'avoir été nettoyée ou proprement salie par la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
Contrôlant avec une égale aisance le temps et l'espace, la direction de comédiens comme l'ambiance générale, Manuel Pradal renouvelle film noir et femme fatale dans un récit sombre et haletant à souhait qui est aussi une variation sur la puissance dévastatrice du sentiment amoureux. On en redemande.
MCinéma.com
par Franz Miceli
Un crime est un film à la sensibilité exacerbée où le romantisme le dispute à la noirceur.
Score
par Audrey Zeppegno
Envoûtant, âpre, troublant, Un crime fait rimer romance et rance pour le meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Un conte cruel, d'un romantisme noir, sur l'amour à mort.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Un drame d'amour, de désir et de destruction magnifiquement interprété par Emmanuelle Béart, Harvey Keitel et Norman Reedus.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
par Alain Grasset
Ce que Jane Campion avait tenté dans In the cut avec Meg Ryan, Manuel Pradal le réussit beaucoup mieux ici, servi par deux comédiens habités par leurs personnages.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Le film vaut surtout par la rencontre des deux étonnants animaux sexuels que sont Harvey Keitel et Emmanuelle Béart.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Alexis Bernier
Dans un New York feuilleté de manière originale (...), mais sans toujours éviter les maladresses (...), Pradal réussit a donner corps à la mécanique de construction d'un coupable idéal malgré les failles d'un scénario qui repose sur des enchaînements d'incroyables hasards.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard delorme
(...) en dépit de bonnes performances (Keitel, bestial), le film s'égare dans un no man's land onirique et invraisemblable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
S'il se laisse, par moments, gagner par l'affectation, le cinéaste impose, le plus souvent, à ce conte cauchemardesque un charme vénéneux, poisseux et pervers.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Samuel Lebon
Il manque la petite étincelle qui mettrait le feu à cette histoire de faux coupable (...) et l'on s'y ennuie assez rapidement...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche et Carlos Gomez
S'il parvient à créer une réelle atmosphère, le scénario, truffé d'ellipses, se révèle bancal.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Hélas, le scénario, coécrit avec Tonino Benacquista, est trop abracadabrant, et Emmanuelle Béart pas assez convaincante pour que l'on accepte de se laisser ensorceler par ces envoûtements charnels.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
(...) Il est bien difficile jusqu'à l'improbable de croire à cette histoire trop coupée de ses fondements réalistes et plausibles. Et davantage versée dans les mirages de l'artifice.
Positif
par Fabien Baumann
(...) Manuel Pradal rêvait en bon cinéphile de tourner un film noir à New York. Il ne nous renvoie hélas que quelques cartes postales léchées mais mais incohérentes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
On finit pourtant par ne plus trop y croire, tant le dénouement se fait attendre.
Elle
La première qualité d' Un crime est de nous montrer ce qu'on pouvait voir dans le cinéma américain indépendant des années 70: une errance dans une ville tentaculaire, sans qu'elle ait l'air d'avoir été nettoyée ou proprement salie par la caméra.
L'Humanité
Contrôlant avec une égale aisance le temps et l'espace, la direction de comédiens comme l'ambiance générale, Manuel Pradal renouvelle film noir et femme fatale dans un récit sombre et haletant à souhait qui est aussi une variation sur la puissance dévastatrice du sentiment amoureux. On en redemande.
MCinéma.com
Un crime est un film à la sensibilité exacerbée où le romantisme le dispute à la noirceur.
Score
Envoûtant, âpre, troublant, Un crime fait rimer romance et rance pour le meilleur.
Télé 7 Jours
Un conte cruel, d'un romantisme noir, sur l'amour à mort.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un drame d'amour, de désir et de destruction magnifiquement interprété par Emmanuelle Béart, Harvey Keitel et Norman Reedus.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Ce que Jane Campion avait tenté dans In the cut avec Meg Ryan, Manuel Pradal le réussit beaucoup mieux ici, servi par deux comédiens habités par leurs personnages.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Le film vaut surtout par la rencontre des deux étonnants animaux sexuels que sont Harvey Keitel et Emmanuelle Béart.
Libération
Dans un New York feuilleté de manière originale (...), mais sans toujours éviter les maladresses (...), Pradal réussit a donner corps à la mécanique de construction d'un coupable idéal malgré les failles d'un scénario qui repose sur des enchaînements d'incroyables hasards.
Première
(...) en dépit de bonnes performances (Keitel, bestial), le film s'égare dans un no man's land onirique et invraisemblable.
Télérama
S'il se laisse, par moments, gagner par l'affectation, le cinéaste impose, le plus souvent, à ce conte cauchemardesque un charme vénéneux, poisseux et pervers.
Brazil
Il manque la petite étincelle qui mettrait le feu à cette histoire de faux coupable (...) et l'on s'y ennuie assez rapidement...
Le Journal du Dimanche
S'il parvient à créer une réelle atmosphère, le scénario, truffé d'ellipses, se révèle bancal.
Le Monde
Hélas, le scénario, coécrit avec Tonino Benacquista, est trop abracadabrant, et Emmanuelle Béart pas assez convaincante pour que l'on accepte de se laisser ensorceler par ces envoûtements charnels.
Ouest France
(...) Il est bien difficile jusqu'à l'improbable de croire à cette histoire trop coupée de ses fondements réalistes et plausibles. Et davantage versée dans les mirages de l'artifice.
Positif
(...) Manuel Pradal rêvait en bon cinéphile de tourner un film noir à New York. Il ne nous renvoie hélas que quelques cartes postales léchées mais mais incohérentes.
TéléCinéObs
On finit pourtant par ne plus trop y croire, tant le dénouement se fait attendre.