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La première qualité d' Un crime est de nous montrer ce qu'on pouvait voir dans le cinéma américain indépendant des années 70: une errance dans une ville tentaculaire, sans qu'elle ait l'air d'avoir été nettoyée ou proprement salie par la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Contrôlant avec une égale aisance le temps et l'espace, la direction de comédiens comme l'ambiance générale, Manuel Pradal renouvelle film noir et femme fatale dans un récit sombre et haletant à souhait qui est aussi une variation sur la puissance dévastatrice du sentiment amoureux. On en redemande.
Ce que Jane Campion avait tenté dans In the cut avec Meg Ryan, Manuel Pradal le réussit beaucoup mieux ici, servi par deux comédiens habités par leurs personnages.
Dans un New York feuilleté de manière originale (...), mais sans toujours éviter les maladresses (...), Pradal réussit a donner corps à la mécanique de construction d'un coupable idéal malgré les failles d'un scénario qui repose sur des enchaînements d'incroyables hasards.
La critique complète est disponible sur le site Libération
S'il se laisse, par moments, gagner par l'affectation, le cinéaste impose, le plus souvent, à ce conte cauchemardesque un charme vénéneux, poisseux et pervers.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Hélas, le scénario, coécrit avec Tonino Benacquista, est trop abracadabrant, et Emmanuelle Béart pas assez convaincante pour que l'on accepte de se laisser ensorceler par ces envoûtements charnels.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) Il est bien difficile jusqu'à l'improbable de croire à cette histoire trop coupée de ses fondements réalistes et plausibles. Et davantage versée dans les mirages de l'artifice.
(...) Manuel Pradal rêvait en bon cinéphile de tourner un film noir à New York. Il ne nous renvoie hélas que quelques cartes postales léchées mais mais incohérentes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Elle
La première qualité d' Un crime est de nous montrer ce qu'on pouvait voir dans le cinéma américain indépendant des années 70: une errance dans une ville tentaculaire, sans qu'elle ait l'air d'avoir été nettoyée ou proprement salie par la caméra.
L'Humanité
Contrôlant avec une égale aisance le temps et l'espace, la direction de comédiens comme l'ambiance générale, Manuel Pradal renouvelle film noir et femme fatale dans un récit sombre et haletant à souhait qui est aussi une variation sur la puissance dévastatrice du sentiment amoureux. On en redemande.
MCinéma.com
Un crime est un film à la sensibilité exacerbée où le romantisme le dispute à la noirceur.
Score
Envoûtant, âpre, troublant, Un crime fait rimer romance et rance pour le meilleur.
Télé 7 Jours
Un conte cruel, d'un romantisme noir, sur l'amour à mort.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un drame d'amour, de désir et de destruction magnifiquement interprété par Emmanuelle Béart, Harvey Keitel et Norman Reedus.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Ce que Jane Campion avait tenté dans In the cut avec Meg Ryan, Manuel Pradal le réussit beaucoup mieux ici, servi par deux comédiens habités par leurs personnages.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Le film vaut surtout par la rencontre des deux étonnants animaux sexuels que sont Harvey Keitel et Emmanuelle Béart.
Libération
Dans un New York feuilleté de manière originale (...), mais sans toujours éviter les maladresses (...), Pradal réussit a donner corps à la mécanique de construction d'un coupable idéal malgré les failles d'un scénario qui repose sur des enchaînements d'incroyables hasards.
Première
(...) en dépit de bonnes performances (Keitel, bestial), le film s'égare dans un no man's land onirique et invraisemblable.
Télérama
S'il se laisse, par moments, gagner par l'affectation, le cinéaste impose, le plus souvent, à ce conte cauchemardesque un charme vénéneux, poisseux et pervers.
Brazil
Il manque la petite étincelle qui mettrait le feu à cette histoire de faux coupable (...) et l'on s'y ennuie assez rapidement...
Le Journal du Dimanche
S'il parvient à créer une réelle atmosphère, le scénario, truffé d'ellipses, se révèle bancal.
Le Monde
Hélas, le scénario, coécrit avec Tonino Benacquista, est trop abracadabrant, et Emmanuelle Béart pas assez convaincante pour que l'on accepte de se laisser ensorceler par ces envoûtements charnels.
Ouest France
(...) Il est bien difficile jusqu'à l'improbable de croire à cette histoire trop coupée de ses fondements réalistes et plausibles. Et davantage versée dans les mirages de l'artifice.
Positif
(...) Manuel Pradal rêvait en bon cinéphile de tourner un film noir à New York. Il ne nous renvoie hélas que quelques cartes postales léchées mais mais incohérentes.
TéléCinéObs
On finit pourtant par ne plus trop y croire, tant le dénouement se fait attendre.