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weezlesanguinaire
69 abonnés
457 critiques
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5,0
Publiée le 19 décembre 2015
Une comédie jouissif qui fait mouche . Son histoire ses répliques et ses acteurs sont tous très bons . Mention spéciale a Will Ferell et Sacha Baron Cohen qui livre un duel irrésistible . Un classique de la comédie américain malheureusement très peu connu chez nous en france .
Si vous n'êtes pas adepte de l'humour con passez votre chemin car cette comédie ne sera pas faite pour vous ; personnellement devant ce genre d'humour parfois je le trouve déplorable et parfois il me fait bien marrer surtout lorsque les bons acteurs sont là et c'est le cas ici avec la présence de Will Ferrell ainsi que celle de Sacha Baron Cohen dans le rôle d'un pilote de course français et homosexuel mais rapidement on se rendra compte que Ricky Bobby : roi du circuit ne se moque pas vraiment de la France mais plutôt des fans des courses Nascar et de ses enjeux. Ricky Bobby : roi du circuit n'est pas une très grande comédie mais c'est bien mené, l'humour est présent et surtout fonctionne sans problème. Amusant à voir.
Will F. commence à devenir le nouveau Eddy Murphy, a savoir : trop de Will, tue le Will. Cet acteur au jeu très stéréotypé et répétitif commence à agacéer par ces mimiques semblables à tous ces films. Seul le personnage de Cohen est vraiment jouissif.
Malgré de sympathiques acteurs, pilier de la comédie US, le film est modérément comique notamment par un manque de dialogues amusant et de gags drôles. Pas top.
Plus qu’un échec, c’est un scandale. C’est sûr que quand on regarde ce genre de film il ne faut pas s’attendre à un miracle mais quand même… Pensant avoir touché le fond en regardant le nullissime Rien que pour vos cheveux, j’ai découvert qu’il existait pire… bien pire. Le summum de la bouse, l’apogée de la nullité, la crème de la bouse, bref, un supplice. Et bien que l’histoire tienne en 2 lignes, le film dure 2 heures. J’ai beau chercher une remarque positive, je bloque. A croire que l’objectif du réalisateur était de bruler de la bobine en filmant des acteurs en pleine impro (en voyant les bonus, on a le sentiment que toutes les scènes ont été tournées 15 fois pour avoir de la matière…) et qu’ensuite le monteur allait faire un miracle. Et bien c’est loupé. Le jeu habituellement lourdaud (mais efficace malgré tout) de Will Ferrell, John C. Reilly et Sacha Baron Cohen atteint ici des sommets de ridicule…
J'ai de plus en plus de mal avec Will Ferrell. Les films que je vois avec lui sont soit noirs, soit blancs, je ne parviens pas à leur trouver un juste milieu. Ferrell est plutôt agaçant dans son personnage et Sasha Baron Cohen lui vole clairement la vedette. Je n'ai pas ri une seule fois aux situations qui se veulent hilarantes pour certains, mais je n'ai pas marché et encore moins roulé.
Adam McKay dirige une fois de plus Will Ferrell dans cette comédie délirante qui semble n'avoir aucune limites. Se déroulant dans le monde du Nascar, "Ricky Bobby : roi du circuit" fait le portrait d'un homme au sommet qui tombe plus bas que terre pour mieux remonter. Une construction très classique donc mais qui fonctionne à bloc dans ce film complètement déjanté qui se paye la tronche des américains et de leur volonté de toujours réussir mais aussi des français (Sacha Baron Cohen trouvant là un rôle irrésistible et très caricatural). Ponctué par de nombreux gags formidables, des répliques totalement absurdes et porté par des acteurs en grande forme, voilà une comédie qui mérite sérieusement que l'on s'y attarde.
Avant de devenir une tête bankable dans nos contrées, Will Ferell était un habitué des seconds rôles, puis tourna en tête d'affiche dans plusieurs comédies US à budget confortable dans les années 2000, sorties en direct to DVD chez nous. Parmi elles, "Talladega Nights: The Ballad of Ricky Bobby", qui se moque allègrement des films sportifs façon "Days of Thunder", et aussi du monde du NASCAR. Ferell incarne un champion arrogant, qui va mordre la poussière et devra remonter la pente. L'ensemble s'avère très inégal, et surtout assume parfaitement la débilité de ses personnages et situations, sans pour autant aller vers dans l'humour potache. Il est plutôt question d'absurdité à l'américaine, tirant sur la prétentieux de l'Américain moyen, et le business monté autour des courses. Tantôt cela fonctionne, tantôt de nombreuses scènes sont lourdes ou longuettes. Will Ferell fait du Will Ferell, en jouant un protagoniste ahuri et imbuvable, mais Sacha Baron Cohen est amusant en pilote français caricatural. Moyen.
Sacha Baron Cohen est en roue libre, il démarre son bolide directement en quatrième et nous surprend (stupéfait) à être - à notre humble avis - le véritable premier rôle du film. Ce qui est assez constant dans les productions de Adam McKay qui ont pour vedette Ron Burgun...pardon, Will Ferrell, c'est l'amabilité de laisser les seconds rôles exister autant que le premier, leur déroulant le tapis pour des compétitions amicales de jeux d'acteurs qui s'éclatent : toute la bande (et notamment Steve Carell) dans les Ron Burgundy, John C. Reilly dans Frangins malgré eux, et maintenant Sacha Baron Cohen dans ce Ricky Bobby, roi du circuit qui doit beaucoup à sa caricature du Français (à écouter absolument en VO, pour l'entendre écorcher chaque syllabe de ses répliques, qu'elles soient en français ou en anglais : un prodige, on vous dit). On l'adore tellement qu'on n'arrive pas à le détester, d'autant plus que le scénario est assez malin pour lui prêter un esprit sportif (très fairplay) et une liberté de vivre que l'Américain lui envie parfois, Ricky Bobby étant également une caricature du bon Américain gavé à la surconsommation, à la religion de façade (on prie au repas, on va s'asseoir le dimanche sur les bancs du curé, et on peut faire tous les excès qu'on veut les six autres jours) et à l'ego démesuré. Ricky Bobby, sous ses airs de grosse comédie qui tache, se révèle plus fine, oppose deux cultures par leurs portraits déformés, y saupoudre une histoire de potes qui est très prévisible (l'aspect faible du scénario), et nous régale par son final très fairplay (encore). Et si vous n'êtes pas convaincu par tout ça, on abat notre dernière carte : Will Ferrell qui court en slip, avec les mécanos du stand qui essaient de l'attraper. Une des meilleures vannes du film, sans compter chaque réplique délicieusement massacrée par Sacha Baron Cohen.
Avec Will Ferrell il y a rarement de demie mesure, soit c’est très drôle, soit c’est consternant. Ricky Bobby fait partie de la seconde catégorie. Ça n’est jamais drôle, on ne s’intéresse pas aux personnages, j’ai eu souvent une impression de déjà vu. Bref il n’y a rien à sauver et je me suis ennuyé du début à la fin.
Comédie complètement foutraque, punk et déjantée de ceux qui nous ont aussi servi Step Brothers et plus récemment The Other Guys. Et comme dans ces deux films, on y mélange ici folie, satire et fantaisie avec bonheur. On relèvera au milieux de ce joyeux délire, la performance une nouvelle fois hallucinante de Sasha "Borat" Baron Cohen absolument hillarant en pilote de Nascar, français et gay. On regrettera peut-être un petit coup de mou au deuxième tiers du film. Shake and Bake !
Vroum vroum lol lol Je poursuis l’exploration en pantoufles de la filmo d’Adam McKay. Pour replacer dans le contexte, c’est le deuxième film de notre gus et ce n’est ni le meilleur ni le pire. Il est à noter qu’il n’a pas bénéficié d’une sortie en salles. Cette fois, on suit un autre winner de l’Amérique conquérante en la personne de Ricky Bobby, pilote de NASCAR à succès et abruti notoire. Tout va bien pour lui et son pote, éternel second, jusqu’au jour où son écurie recrute un français champion de formule 1, Jean Girard. La rivalité entre les deux est féroce. Bon, on ne passera pas par quatre chemins, on est dans la droite lignée de Ron Burgundy, le discours en moins. C’est dans l’ensemble assez drôle et le côté lourdingue qui fait partie du concept n’est pas trop pesant si c’est ce pourquoi on est là. L’intrigue n’est pas d’une originalité dingue mais elle nous tient bien jusqu’au bout grâce notamment à un montage dynamique et une mise en scène assez pêchue. Mais la véritable réussite tient surtout à l’interprétation. Will Ferrell est parfait même si on pourrait se fatiguer de le voir jouer toujours le même rôle. John C. Reilly est nickel dans son jeu d’accent. Et surtout, Sacha Baron Cohen est une formidable caricature du snobisme français. C’est cliché ? Oui mais c’est bon et cet accent croquignolesque fait tout le sel du personnage. En résumé, ce n’est certainement pas un traité de philosophie mais ça fonctionne bien. What else ? Ha si, chose essentielle, c’est à voir en V.O. bien sûr !
Avec toute la bonne volonté du monde, je n'arrive pas à comprendre pourquoi tout le monde qualifie cette comédie de géniale. Je suis plutôt bon public avec les comédies, mais là, je n'ai presque pas ri. J'ai un peu l'impression d'être passé à côté d'un truc. Peut-être est-ce parce que je ne suis pas fan du milieu dans lequel se déroule l'action, à savoir le monde des courses automobiles? Ces compétitions me laissent de marbre, et peut-être que le fait de ne pas me sentir concerné fait que j'ai du mal à rentrer dedans. En tout cas, même d'un point de vue comique, je n'ai fait que sourire, contrairement à la comédie Very Bad Cops (The Other Guys en VO) du même réalisateur, qui m'avait ait pleurer de rire avec une de ses scènes. Le problème avec Ricky Bobby, c'est que les vannes sont tirées en longueur, on a l'impression que la blague est finie et qu'on va passer à la suivante, mais non, la blague est inlassablement répétée. Concernant les acteurs, ils en font parfois des tonnes, mais disons que ça reste fidèle à l'esprit des personnages qu'ils incarnent. Sacha Baron Cohen exagère l'accent français de son personnage, mais ça ne me gêne pas vu que c'est le but du personnage. Concernant l'histoire, même si elle n'est pas vraiment importante dans ce genre de film, je l'ai trouvée trop longue. Peut-être est-ce parce que je me suis ennuyé devant ce film, à cause d'un manque de rythme. Du coup, tout me paraissait long. Bref, j'ai l'impression d'être passé à côté de quelque chose. À moins que ce soit moi qui ait des goûts de merde. Et ça, ce ne sont pas les fans de ce film qui me contrediront!