AlloCiné
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Votre avis sur Je vais bien, ne t'en fais pas ?
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Un film poignant, servi par des acteurs admirables et d'un réalisme saisissant. On y croit toujours, on s'attache aux personnages. La 1ère fois on est secoués par la fin, mais les suivantes le film séduit encore, sans oublier la BO sublime d'AaRON...
Ce film est un très bon drame ou Kad Mérad ma vraiment surpris . Lui qui est toujours calibré pour des rôles auquel il prend plaisir à faire le pitre , ici on voit bien le changement. Jouant ce père de famille désorienté, nerveux et complexe. Vraiment surprenant. IL est impeccable dans ce film signé par Philippe Lioret qui réussit à bien traité ce sujet sentimentale très bien construit , qui multiplie habilement les fausses pistes jusqu'à ce rebondissement final dès plus surprenant et étonnant. Dans ce film , les comédiens sont toujours impeccables , c'est le cas pour Mélanie Laurent qui nous livre ici une magnifique prestation, très convaincante de cette jeune femme à la recherche de son frère disparu . Un très beau film émouvant avec beaucoup de sentiments , de sensibilité , de charme et d'une atmosphère quelques fois troublante.
Ti Nou
Un drame très puissant, qui doit beaucoup aux interprétations de Kad Merad et de Mélanie Laurent. D'autant plus que le réalisateur, utilisant une mise en scène très sobre, les laisse pleinement s'exprimer.
Film très bouleversant. Le scénario est bien ficelé et le twist ending est époustouflant. Mélanie Laurent a un gros potentiel. Celui qui m'a surpris, c'est Kad Merad qui pour une fois m'a fait pleuré non de rire mais par son interprétation touchante et inoubliable.
Ce film réalisé par Philippe Lioret, sorti en 2006 et adapté du roman homonyme d'Olivier Adam, que je n'ai d'ailleurs pas lu et que je ne peux donc pas comparer, est franchement très bon. Le scénario présente l'histoire de
spoiler:
Lili qui en rentrant de voyage apprend que son frère jumeau a disparu et ses parents ne lui donnent pas plus d'informations. C'est alors qu'elle se lance à sa recherche et qu'elle va découvrir pas mal de choses
. Le scénario est donc vraiment très bon, le film est présenté comme un drame mais c'est également un thriller puisqu'on ne sait pas spoiler: ce qui est arrivé à son frère
et toute la trame du film se joue là-dessus d'ailleurs. Du côté des acteurs, ils jouent franchement très bien, notamment Mélanie Laurent qui interprète très bien son rôle et j'ai été également été surpris de la prestation de Kad Merad où ce fut la première fois que je le voyais dans un rôle sérieux. J'ai également beaucoup aimé la mise en scène et la réalisation dont les scènes s'attardent plus sur les émotions des personnages que sur les dialogues, ce qui est très intéressant. Et puis, bien sûr, j'ai également beaucoup aimé le morceau "U-Turn" du groupe Aaron. "Je vais bien, ne t'en fais pas" est donc un très bon film dramatique avec un retournement final inattendu qui tient la route et qui est tout de même assez sombre finalement, mais qui est à découvrir si on ne l'a pas déjà vu
. Le scénario est donc vraiment très bon, le film est présenté comme un drame mais c'est également un thriller puisqu'on ne sait pas spoiler: ce qui est arrivé à son frère
et toute la trame du film se joue là-dessus d'ailleurs. Du côté des acteurs, ils jouent franchement très bien, notamment Mélanie Laurent qui interprète très bien son rôle et j'ai été également été surpris de la prestation de Kad Merad où ce fut la première fois que je le voyais dans un rôle sérieux. J'ai également beaucoup aimé la mise en scène et la réalisation dont les scènes s'attardent plus sur les émotions des personnages que sur les dialogues, ce qui est très intéressant. Et puis, bien sûr, j'ai également beaucoup aimé le morceau "U-Turn" du groupe Aaron. "Je vais bien, ne t'en fais pas" est donc un très bon film dramatique avec un retournement final inattendu qui tient la route et qui est tout de même assez sombre finalement, mais qui est à découvrir si on ne l'a pas déjà vu
Shawn777
Ce film réalisé par Philippe Lioret, sorti en 2006 et adapté du roman homonyme d'Olivier Adam, que je n'ai d'ailleurs pas lu et que je ne peux donc pas comparer, est franchement bon. Le scénario présente l'histoire de Lili qui en rentrant de voyage, apprend que son frère jumeau a disparu et ses parents ne lui donne pas plus d'informations. C'est alors qu'elle se lance à sa recherche et qu'elle va découvrir pas mal de choses. Le scénario est donc vraiment très bon, le film est présenté comme un drame mais c'est également un thriller puisqu'on ne sait pas ce qui est arriver à son frère et toute la trame du film se joue là-dessus d'ailleurs. Mon seul regret, c'est que je connaissais déjà une partie de la fin du film,
spoiler:
que c'était en fait le père de Lili qui envoyait les lettres
mais je ne connaissais pas le reste spoiler: (que son frère était mort)
et cela m'a donc tout de même beaucoup surpris et surtout de voir la réaction des personnages. Du côté des acteurs, ils jouent franchement très bien, notamment Mélanie Laurent qui interprète très bien son rôle et j'ai été également été surpris de la prestation de Kad Merad où ce fut la première fois que je le voyais dans un rôle sérieux. J'ai également beaucoup aimé la mise en scène et la réalisation dont les scènes s'attardent plus sur les émotions des personnages que sur les dialogues, ce qui est très intéressant. Et puis, bien-sûr, j'ai également beaucoup aimé le morceau "U-Turn" du groupe AaRON. "Je vais bien, ne t'en fais pas" est donc un bon film qui tient la route et qui est tout de même assez sombre finalement.
mais je ne connaissais pas le reste spoiler: (que son frère était mort)
et cela m'a donc tout de même beaucoup surpris et surtout de voir la réaction des personnages. Du côté des acteurs, ils jouent franchement très bien, notamment Mélanie Laurent qui interprète très bien son rôle et j'ai été également été surpris de la prestation de Kad Merad où ce fut la première fois que je le voyais dans un rôle sérieux. J'ai également beaucoup aimé la mise en scène et la réalisation dont les scènes s'attardent plus sur les émotions des personnages que sur les dialogues, ce qui est très intéressant. Et puis, bien-sûr, j'ai également beaucoup aimé le morceau "U-Turn" du groupe AaRON. "Je vais bien, ne t'en fais pas" est donc un bon film qui tient la route et qui est tout de même assez sombre finalement.
De retour de vacances en Espagne, Élise dite "Lili" (Mélanie Laurent), une jeune étudiante âgée de 19 ans, apprend que son frère jumeau, Loïc, s'est enfui de la maison après s'être violemment disputé avec leur père (Kad Merad). Profondément touchée par son absence continuelle, la jeune fille se laisse peu à peu mourir de faim et est hospitalisée. Cependant, une lettre signée de son frère lui parvient, dans lesquelles on apprend qu'il voyage à travers la France, loin de ses relations familiales conflictuelles. Mais que devient réellement Loïc, au fond? Adaptation du roman du même nom signé Olivier Adam (2000) ayant dépassé le million d'entrées lors de sa sortie en salles en 2006, ce film signé Philippe Lioret (entre autres réalisateur de "L'équipier" en 2004 et "Welcome" et 2009) s'avère être une oeuvre émotionnellement très puissante ! L'histoire, naviguant spatiallement entre paysages essonniens (qui me sont par ailleurs familliers ^^) et normands, apparait d'abord comme un sorte de drame social pour finalement se pencher davantage vers le thriller moral dans lequel le spectateur doit distinguer le vrai du faux, dans l'intrigue. Mélanie Laurent est une actrice française que j'apprécie beaucoup, que ce soit dans le doublage (le fameux "Mon voisin Totoro" et "Vice-Versa") mais aussi dans les rôles physiques ("Le concert" de Radu Mihaileanu, "Enemy" de Denis Villeneuve", "Inglorious Basterds" ou plus récemment dans "Le retour du héros"). Réaliste et touchant, son personnage y part à la fois à la recherche de son frère mais surtout à la recherche d'elle-même, tourmentée par une absence insupportable à la fois pour elle et pour nous, spectateurs, et pesée par le thème principal du film ("U-Turn" d'AaRON, entre la bande-sonore originale de Nicola Piovani- "La vie est belle"), revenant durant maintes fois. Rejoignant cette idée directive, la musique, art indispensable, joue un élément clé dans le film:
spoiler:
elle rapprochera les personnages plusieurs fois ; la première, lorsque Lili songe à son frère, la seconde lorsque Merad prend conscience de la gravité des faits et tente, en vain, de rattraper le temps qu'il n'a pu consacrer à son fils durant son enfance, en écoutant son album, étant musicien.
Cette ambiance nostalgique et aux allures mystérieuses au sein des situations présentes s'installe dès le début du film, distinguée par l'absence totale de musique même à la première image, annonçant par avance ce qu'on a à attendre de la suite de l'oeuvre. Le plus fort dans le portrait des personnages, c'est que nous remarquons qu'en l'espace temporel d'un an, malgré le drame ici présent, notre héroïne est inconstante, et Lioret, même s'il adapte seulement une oeuvre littéraire, réussit à ne pas rester bloquer sur la case "film tire-larmes" et en tire finalement toute une morale présentée comme une véritable mise en garde pour certains spectateurs qui s'y reconnaitront, le tout révélé à travers la fin: les parents de Lili lui ont en réalité menti sur le sort de Loïc, s'étant tué d'une violente chute en séance d'escalade durant l'absence de sa soeur. Cette fin montre terriblement les conséquences du mensonge sur la vie de famille, ou sur une personne en générale, mais plus sereinement encore, que le mensonge peut aider certaines personnes à tenir en vie, tout ceci dû à l'absence. La narration chuchote ainsi au creux de l'oreille du spectateur une parole obscure que ce dernier devra prendre comme bon lui semble. Pour ma part, j'opterais davantage pour la première. Philippe Lioret fournit avec "Je vais bien ne t'en fais pas" un drame se démarquant des autres films français habituels de notre décennie, ponctué de personnages intéressants, tantôt énervants tantôt touchants, et qui prête sérieusement à réfléchir.
Cette ambiance nostalgique et aux allures mystérieuses au sein des situations présentes s'installe dès le début du film, distinguée par l'absence totale de musique même à la première image, annonçant par avance ce qu'on a à attendre de la suite de l'oeuvre. Le plus fort dans le portrait des personnages, c'est que nous remarquons qu'en l'espace temporel d'un an, malgré le drame ici présent, notre héroïne est inconstante, et Lioret, même s'il adapte seulement une oeuvre littéraire, réussit à ne pas rester bloquer sur la case "film tire-larmes" et en tire finalement toute une morale présentée comme une véritable mise en garde pour certains spectateurs qui s'y reconnaitront, le tout révélé à travers la fin: les parents de Lili lui ont en réalité menti sur le sort de Loïc, s'étant tué d'une violente chute en séance d'escalade durant l'absence de sa soeur. Cette fin montre terriblement les conséquences du mensonge sur la vie de famille, ou sur une personne en générale, mais plus sereinement encore, que le mensonge peut aider certaines personnes à tenir en vie, tout ceci dû à l'absence. La narration chuchote ainsi au creux de l'oreille du spectateur une parole obscure que ce dernier devra prendre comme bon lui semble. Pour ma part, j'opterais davantage pour la première. Philippe Lioret fournit avec "Je vais bien ne t'en fais pas" un drame se démarquant des autres films français habituels de notre décennie, ponctué de personnages intéressants, tantôt énervants tantôt touchants, et qui prête sérieusement à réfléchir.
T-Tiff
"Je vais bien, ne t'en fais pas" est un film très troublant. Mélanie Laurent livre une splendide prestation, extrêmement touchante, à l'instar de Kad Merad, très surprenant dans un rôle auquel il n'est pas habitué. Philippe Lioret a eu la très bonne idée de faire un film très triste, en dévoilant le vrai côté tragique à la fin. Le milieu est un peu plat avec beaucoup d'éléments répétitifs et pas toujours très utiles au bon déroulement de l'histoire. Cependant, le scénario est écrit finement avec beaucoup de tendresse. On peut noter aussi la musique de Nicola Piovani accompagnant à merveille ce triste récit.
Un film calme et humain qui prend même des allures de thriller. C'est bien réalisé avec des acteurs qui jouent justes et avec beaucoup d'intrigue. Le final m'a surpris malgré que j'y avais songé à un moment du film, mais je n'étais pas rester sur cette idée.
lhomme-grenouille
Nul doute quil faudra une certaine patience pour tirer tout le parti de ce film, mais la simplicité pour laquelle a opté Philippe Lioret savère au final incontestablement payante. Dun propos qui peut sembler plus quéculé et un brin nian-nian, on glisse progressivement vers un moment de grande justesse. En somme, un bon film qui mérite fortement le détour et dont il sera difficile de ne pas en ressortir ému.
"Je vais bien ne t'en fais pas" est un très joli film de Philippe Lioret. Un film dont l'intrigue restera à jamais gravé dans ma mémoire, tant elle est touchante. C'est un drame bien interprété (Kad Merad y est effarant de sobriété), tout en finesse, en silences, et qui réussit le pari de ne jamais sombrer dans le pathos. L'autre point fort du film c'est sa BO, dont les interprètes du thème principal - le groupe Aaron - connurent un véritable succès à sa sortie. Une belle idée, très bien réalisée, et qui tient la route jusqu'au bout. Bouleversant.
Film percutant, acteurs convaincus et convaincants, histoire prenante: tout est réuni ici pour adorer ce film...
Philippe Lioret nous ballade comme son personnage principal (Mélanie Laurent très émouvante) dans ce drame familial au dénouement en forme de coup de théatre.
C'est prenant et bien interprété.
Kad Merhad trouve ici son meilleur rôle.
C'est prenant et bien interprété.
Kad Merhad trouve ici son meilleur rôle.
C'est vrai qu'il y a quelques incohérences, mais elles seront excusées car elles servent le scénario.
C'est vrai aussi qu'on se doute de la fin à partir de la 2ème lettre (voire avant, pour les plus futés).
Cependant, la brillante interprétation des acteurs et la méthodique montée dramatique, oppressante comme un orage qui tarde à éclater un soir d'été, laissent l'impression d' avoir pris un coup de poing dans l'estomac.
excellente réalisation de la part du talentueux Philippe Lioret.
C'est vrai aussi qu'on se doute de la fin à partir de la 2ème lettre (voire avant, pour les plus futés).
Cependant, la brillante interprétation des acteurs et la méthodique montée dramatique, oppressante comme un orage qui tarde à éclater un soir d'été, laissent l'impression d' avoir pris un coup de poing dans l'estomac.
excellente réalisation de la part du talentueux Philippe Lioret.
"JE VAIS BIEN,..." est l'un de ces films "audacieux" multipliant les paralogismes circonstanciels et anecdotiques pour faire avancer à reculons et à cloche-pieds une intrigue alambiquée et tordue avec des tenailles.
On pige "l'astuce foireuse" au bout de 15 minutes, et le ressort dramatique censé amener un "twist final tragique" s'aplatit mollement dans des grincements insupportables.
Pour que le canevas dramatique puisse fonctionner avec un minimum de réalisme, il aurait fallu inverser les durées des 2 périodes de la vie de l'héroïne (Lily en Espagne et Lily dans sa famille)
- ainsi, Lily (la soeur du disparu - Mélanie LAURENT) aurai dû demeurer une année entière en Espagne, afin de "donner le temps" à ses parents de boucler le nécessaire administratif, mener un travail de deuil minimal et aussi "accorder leurs violons" entre "père et mère", sur les mensonges à faire gober à leur fille. On peut cacher à un enfant, la mort de son canaris en enterrant celui-ci dans le jardin - il est impossible de masquer la mort d'un frère (et d'un fils) en seulement 2 semaines à moins d'habiter sur une putain d'ile déserte loin de toutes civilisations.
LIORET ne s'embarrasse d'aucune crédibilité sociale, relationnelle et inter-humaine pour faire avancer d'un point A vers un point B son drame familial boiteux, le disparu est un jeune guitariste, il est solidement inséré dans la société par ses différentes activités et ses amis d'enfances en abondances, pourtant ceux-ci sont absents du film pour permettre la mise en place d'une chape de mystère artificielle sur sa "disparition".
Enfin, la démarche paternelle auto-flagellatoire (et de faussaire) menée par courriers adressés à sa fille en se faisant passer pour son frère est une pitrerie bo-bo et est aggravée par le jeu laborieux des acteurs - Kad Merad est amorphe et semble avoir 3 de tension sanguine, et Julien Boisselier possède le charisme et la diction d'un hamster mastiquant péniblement ses mots entre 2 carottes.
On pige "l'astuce foireuse" au bout de 15 minutes, et le ressort dramatique censé amener un "twist final tragique" s'aplatit mollement dans des grincements insupportables.
Pour que le canevas dramatique puisse fonctionner avec un minimum de réalisme, il aurait fallu inverser les durées des 2 périodes de la vie de l'héroïne (Lily en Espagne et Lily dans sa famille)
- ainsi, Lily (la soeur du disparu - Mélanie LAURENT) aurai dû demeurer une année entière en Espagne, afin de "donner le temps" à ses parents de boucler le nécessaire administratif, mener un travail de deuil minimal et aussi "accorder leurs violons" entre "père et mère", sur les mensonges à faire gober à leur fille. On peut cacher à un enfant, la mort de son canaris en enterrant celui-ci dans le jardin - il est impossible de masquer la mort d'un frère (et d'un fils) en seulement 2 semaines à moins d'habiter sur une putain d'ile déserte loin de toutes civilisations.
LIORET ne s'embarrasse d'aucune crédibilité sociale, relationnelle et inter-humaine pour faire avancer d'un point A vers un point B son drame familial boiteux, le disparu est un jeune guitariste, il est solidement inséré dans la société par ses différentes activités et ses amis d'enfances en abondances, pourtant ceux-ci sont absents du film pour permettre la mise en place d'une chape de mystère artificielle sur sa "disparition".
Enfin, la démarche paternelle auto-flagellatoire (et de faussaire) menée par courriers adressés à sa fille en se faisant passer pour son frère est une pitrerie bo-bo et est aggravée par le jeu laborieux des acteurs - Kad Merad est amorphe et semble avoir 3 de tension sanguine, et Julien Boisselier possède le charisme et la diction d'un hamster mastiquant péniblement ses mots entre 2 carottes.
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